C'était donc ça ... 

je sais que ce que je vais dire est un peu a contrecourant de la mode actuelle, mais le chardo sans bois,  c'est quand même pas ce que je préfère.

Domaine Guillemot-Michel -Viré Clessé - Quintaine - 2018

J'adore ce domaine qui vinifie sa cuvée Quintaine en cuve béton.
La différence entre millésime est souvent très marquée, et l'absence de bois permet d'apprécier les nuances du chardonnay, à l'état brut et sans artifices.
Le Quintaine 2018 (très différent du 2017) dégusté hier avait une robe jaune dorée.
Son nez avait au début des notes de fruits jaun  es mais après quelques minutes dans le verre et en se réchauffant, c'était clairement des arômes de fruits exotiques et plus particulièrement d'ananas.
La bouche est tendue, agréable et relativement longue.
Très bon vin, qui je pense mérite encore quelques années en cave
note : 16/20

 

Domaine Guillemot-Michel – Macon – Quintaine – 2020

Bue  ICI

La robe est teintée d’un or clair.
Le nez intense développe des fruits blancs, de l’acacia et une touche crayeuse. C’est toujours pareil avec cette cuvée : j’ai l’impression d’avoir du chenin dans le verre !
La bouche élégante présente une harmonie remarquable avec un beau fruité et une fraîcheur vivifiante. C’est dans la finale salivante que la sensation crayeuse ressort.
Très Bien (+)

Jean-Loup

Festifs les bourgognes blancs ? par Gilt


Domaine Guillemot-Michel - Quintaine 2017 - Viré-Clessé

Un vin d'un doré léger.
Le nez est discret sur le coing, le raisin.
La bouche est ronde avec de la chair et un peu de douceur .
C'est le dernier (pas le mien) mais cela reste un vin très correct.

Domaine Guillemot-Michel – Viré-Clessé – Quintaine – 2018

 

La robe est parée d'un or finement ambré qui reste clair.
Le nez primesautier et profond délivre un message complexe, en mêlant arômes de pomme, de miel, de tisane, mais aussi quelques fruits secs et du whishy non tourbé, comme un Highland. Cela évoque pour moi, une fois de plus et quel que soit le millésime, un chenin !
La bouche pleine et très goûteuse se déploie avec une certaine opulence, renforcée par une sensation de quelques sucres résiduels. Elle affiche donc une grande gourmandise mais elle se montre également racée, doublée d'une acidité mûre. La finale de grande allonge joue sur l'élégance et la pureté.
Très Bien +(+)

L'accord est validé (3,5 + / 5) avec du poulet à l'estragon qui met en valeur sa belle acidité.

Jean-Loup
 

 Domaine Guillemot Michel - Viré Clessé - Retour à la terre - 2020

Après un 2019 que j’avais trouvé un peu dodu , j’ai maintenant la technique, il suffit d’aérer.
Donc après oxygénation je retrouve une aromatique d’écorces d’agrumes, de fruits jaune, de miel léger.
En bouche une certaine richesse mais ça reste tendu et digeste. Pas encore au niveau du 2018 dans mes souvenirs mais ça se laisse quand même boire sans déplaisir.

 

Les Grands Soirs de Bourgogne : Épisode 2024


Domaine Guillemot-Michel, Quintaine, 2008



Oliv
Robe bouton d’or.
Beau nez précis et complexe, fruité et évolué à la fois, sur des notes de verveine, avec comme un début de petit truffé.
Chouette bouche tendue et pleine, sur une belle concentration à cœur, à l'acidité précise et au corps souple et confortable.
Finale avec de la relance, sur des goûts très en phase avec le nez.
Un beau vin parfaitement à point.

POP
Nez et bouche sur le tertiaire qui truffe.
J’ai trouvé le vin assez large en bouche (corps plein) et traçant en fin de bouche (l’acidité joue tout son rôle).
Très bien et à boire maintenant.

LPV Nice 91ème par joel


Domaine Guillemot-Michel, Quintaine Viré-Clessé, 2008
Robe dorée claire. Nez très sympa, sur le citron, confiture de rhubarbe, bonbon arlequin, un côté champignon, jolie évolution en second plan. La bouche est fraîche, salivante, sur la rhubarbe, citron, énergique, avec une finale légèrement évoluée, qui truffe légèrement. 

Domaine Guillemot Michel - Viré Clessé - Quintaine - 2018

ouvert ce jour.
un grand vin avec du corps et une légère sucrosité en finale.15/20

Domaine Guillemot-Michel, Quintaine 2015, Viré-Clessé
100% Chardonnay / alc. : 13%

J’avais bu ce vin sur ce millésime en jeunesse (mars 2017) et je l’avais bien aimé. Je le goûte cette fois avec de la garde … j’ai plutôt aimé mais c’est un vin que j’ai un peu de mal à cerner et à décrire.
Robe : dorée, de limpidité moyenne.

Nez : difficilement lisible, beaucoup moins expressif que lors de ma précédente expérience … j’y distingue quelques fruits jaunes, des notes végétales et d’encaustique. Un nez peu disert.

Bouche : il y a une certaine douceur/tendresse sans que cela soit riche ou sucré … ce n’est pas tendu mais on ne peut pas vraiment parler de mollesse non plus, c’est donc assez équilibré de ce point de vue-là. Aromatiquement, c’est quasi aussi inexpressif qu’au nez … je retrouve quelques fruits jaunes et agrumes, peut-être une fine touche beurrée (mais c’est léger) … la pointe d’encaustique est toujours là, avec aussi des notes végétales/racinaires. La finale se pare de quelques notes minérales et légèrement fumées, sur une impression globale de fraîcheur. Longueur moyenne.

Un vin qui me laisse donc un peu perplexe … il se boit très facilement et avec un certain plaisir, il est équilibré, mais il est globalement peu marquant. Bien : 14,5+/20.

Fred