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Le OFF du Marché de l'Odyssée

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Le OFF du Marché de l'Odyssée a été créé par LaurentM

Attention, c'est long mais c'était bon;)

Les Marchés de l’Odyssée, qu’ils soient de Printemps, d’Eté ou de Noël, sont souvent des occasions, j’ai pas dit des prétextes, ;-) à se rencontrer autour d’une bonne table (celle de nos voisins, merci Claude et Dominique, merci !) et de bonnes bouteilles entre amis, amateurs (qui font vite partie du groupe précédent ;-) et vignerons (qui font vite partie du premier groupe aussi). Cette fois, outre Fanfan Ganevat, j'avais la chance d'accuellir Henri Milan, Jean-Phi Bret et Christophe Beau, encore merci à eux pour leur présence et leur talent!

Ces « Off » sont toujours l’occasion pour les participants de présenter leurs coups de cœur, leurs découvertes, leurs petits pièges ou simplement leurs "grandes" ou vieilles bouteilles. Il y a parfois des LPViens, parfois pas (mais presque tous le lisent ;), et il y a même souvent un DCéien, et oui, j’ai toujours été contre le mur de Berlin. Les bouteilles sont dégustées à l’aveugle par qui aime jouer, crachées par qui veut, bues par qui peut. Le premier soir est plutôt sage, le second presque sans limites.

Ce premier soir (qui était déjà le lendemain de notre diagonale giganevatesque et le surlendemain d’un cours sur les champagnes ;-), nous a valu une belle opposition de style, avec une bouteille de Ducru Beaucaillou 1999, plutôt en finesse, fruit assez net, boisé intégré, pas de surextaction, à peine un peu de poivron, très propre sur elle et un pinot noir Bildstocklé 2004 de chez Schueller, sur un nez très réduit, mais qui offrait une densité, une suavité en bouche, et, pour qui sait attendre, une complexité au nez assez inouïe (rose, cerise, confiture vieux garçon, épices, …)…et puis quelle buvabilité… Un vin « conventionnel » face à un vin « nature »; clairement deux « camps » se sont dessinnés autour de la table…. ;-) ! Mais je vous laisse deviner laquelle a été complètement vidée ;-). Outre un chardonnay 1964 encore bien vivant, à peine oxydatif, mais malheureusement aussi à peine légieux (il y a avait une deuxième bouteille pour le lendemain, mais mon William a décidé de jouer aux quilles avec :S), Fanfan nous avait aussi apporté un vin jaune 1925, embouteillé dans un clavelin de Château Chalon. Un vin octagénaire bien fringant, pas débordant de sotolon ou d’ethanal, mais tout en finesse. Lors des vendanges de ces raisins, mon papa avait 3 ans, ma maman 2 …. beau moment d’émotion, merci Fanfan !

Samedi soir, 20 heures trente, les derniers amateurs s’en vont, mais j’en vois un qui trépigne d’impatience, il ne résiste plus, une bouteille cachée sous une chaussette tricotée, c’est parti, le premier vin à l’aveugle est servi ! C’est un effervescent, j’ai soif, je bois la première gorgée plus que je ne la déguste, le nez un peu baroque ne me fait pas penser à un champagne, la bouche un peu rustique non plus, je pars sur la Loire, et je prends le bon chenin ;-). Henri Milan le hume, et nous dit « c’est un Vouvray, j’adore le Vouvray », Respect ! C’est un Vouvray Brut Reserve 1995 de Foreau, je ne suis pas un amateur des vins de ce vigneron (trop réservés? peu expressifs? austères et peu de buvabilité? peut-être étriqués par le SO2 ?), mais celui-ci me plait bien. Pas l’extase, mais un mousseux qui a bien vieilli. Pas mal ! Pour la suite, pas de notes, je ne parlerai donc que des bouteilles qui m’ont marqué (et il y en a pas mal ;-) ; vous me pardonnerez les imprécisions, on était surtout là pour s’amuser ! Je ne mets en gras que les bouteilles de vignerons que je ne distribue pas pour éviter toute confusion.

Une bouteille qui a fait coulé pas mal de salive, le Clos du Breuil 2002 de François Chidaine. Pour moi, le nez est terne, sur les fruits jaunes mûrs, un peu fumé, je pense à un pinot gris jeune, peu évolué. La bouche est austère, serrée, un peu marquée par l’amertume, l’acidité peu juteuse, un vin fermé à triple tour, pas envie d’en boire ! D’autres y voient un grand potentiel, un vin d’une grande minéralité, le ton monte, Fanfan me menace de m’enlever la distribution de ses vins ;). J’adore les divergences, il n’y a rien de plus ennuyant que d’être tout le temps d’accord avec son voisin de droite ;). Les avis sont tranchés, mais tout le monde s’accorde finalement à dire qu’il faut le revoir dans quelques années pour vraiment ... trancher.

Le suivant a une histoire, c’est un échange avec un LPVien qui avait été très déçu par sa dernière dégustation en raison de notes d’oxydation rédhibitoires. Comme j’aime comprendre le goût des gens, j’avais sauté sur l’occasion pour en échanger une. Sa robe est plus dorée et le nez plus explosif que le précédent. Très fruité, sur la mangue, la pâte de coing, l’ananas, juste un peu de pomme blette, mais je suis le seul à la remarquer, c’est peut-être de l’autosuggestion. J’entends « savagnin » à ma droite, mais c’est plus en raison de l’acidité que pour cause d’oxydation je crois. Et c’est vrai que cette acidité est un peu trop mordante, et déséquilibre le vin. C'est L'Insolite 2002 de Thierry Germain. Dommage, cela en fait quand même une belle bouteille pour la table et un vin en ce moment supérieur au précédent, ce que reconnaîtra finalement mon ami Fanfan, ouf, je peux continuer à vendre ses vins ;-).

On passe ensuite à un vin présenté comme un Ovni, et c’est bien un Ovni (objet viticole non identifié). Personne ne reconnaît la région d’origine, et encore moins le cépage. Nez chahuté de notes lactées, mais qui dévoile un beau fruit, une belle complexité. La bouche est ronde, juteuse, un chouia trop chaude et manque un peu d’élégance et de fond par rapport au précédent. Mais c’est un vrai vin de soif, pour l’été, un régal. Et puis surtout, un sauvignon mûr qui évite de marquer son territoire entre vos lèvres ! Ce Suavignon de Michel Augé aurait dû être présenté avant les précédents, erreur de casting de ma part.

Il est temps de passer aux rouges, et très vite, une bouteille choc ! Nez un peu réduit qui s’ouvre vite sur des fruits rouges macérés, fraise, cerise, rose, je pars sur un vin de Bruno Schueller, mais les notes de poivre marquées me rabattent vers le Sud. La bouche est moins trompeuse, c’est fin et dense à la fois, d’une suavité exemplaire, d’un équilibre parfait et d’une longueur infinie. Un coup de cœur ! Le millésime, en les éliminant à partir de 2005, j’y arrive par déduction, c’est un 1998 ! Le vigneron ? Je pense à Cluzel Roch que j’ai déjà confondu par le passé avec un pinot noir ; on me dit non, alors ce ne peut-être que Jamet, c’est bien lui "Côte Rotie 1998 de Jamet". Fanfan, qui l'a reconnu au premier nez, adore, tout le monde est « Sul Q », seul Henri Milan lui trouve une petite note de vanille, Jamet boisé ? Jamais ;)

Le vin suivant est offert par mon beauf. Le sot en dévoile cependant très vite l’origine. Pour brouiller un peu les pistes, il sera dégusté en parallèle avec un autre. Je file donc dans ma cave sombre avec ma carafe, je vois une malheureuse caisse de Los Abuleos 2003, j’y pique une quille et je la carafe illico. J’annonce donc un vin de grenache et un vin de syrah. Pas photo, presque tout le monde reconnaît la syrah. C’est la Syrare de Gallety, en 2001, une bouteille que j’ai adoré à sa sortie, avec de belles notes de lard fumé, de chocolat, mais qui est actuellement un peu trop marquée par le bois en bouche. Le tout étant un peu too much face à la puissance réservée de l’autre bouteille qui fait l’unanimité. Je ne retrouve pas le côté soyeux-caresse du Los Abuelos, ses arômes de yaourt à la framboise, mais un vin très gourmand, équilibré, avec des tannins le rendent plus jeune que le LA 2003. C’est normal, je me suis planté, j’ai pris une bouteille de Leonie 2003 égarée dans cette caisse. Léonie, c’est du carignan, et bien au vu des réactions, vive le carignan et bravo Robert !

La suivante est également un grand moment, une robe un peu plus pâle que les précédentes, des notes de fruits écrasés à peine cuits, la rose, les épices, une bouche fruitée, soyeuse, longue, juste un peu marquée par l’alcool. Mon dieu que c’est bon, c’est Rayas, c’est 2003, et je regrette de ne pas en avoir en cave ! Merci Marcus pour ce beau cadeau que je voulais absolument boire en bonne compagnie.

Un peu perdu au milieu de ces monstres, un vin du Trentin nous rafraîchira, mais ne laissera pas de souvenirs impérissables. Un nouvel arrivant arrive (c’est le propre des arrivants non ?) avec un magnum. C’est un blanc, nos papilles sont habituées aux épingles à cheveux, la preuve ? Je le hume, nez de fruits blancs, notes à peine miellée, fumée, bouche gourmande, acidité en retrait, mais sec ! Je glisse à l’oreille de mon voisin : « PG, Schueller », C’est exact ! Applaudissements ;-) ! Un beau vin qui manque encore de complexité à ce stade, il faut impérativement l’attendre.

Les amateurs furieux ne sont pas rassasiés, un vin jaune de Fanfan tout en équilibre devrait les calmer, mon dieu que c’est bon de siroter gentiment ce genre de vin, sans se poser de questions, avec un petit bout de fromage, juste pour le plaisir… C’est la fin, tout le monde se lève, direction la sortie, mais c’est sans compter le rappel qui se déroulera dans la boutique. Un champagne BSA Jacques Beaufort pour vraiment se désaltérer, sur la pomme mûre, arômes de calva, bouche dense, grand miam, suivi d’un Grand cru du même vigneron, plus en finesse, avec une toute petite note de gueuze, des agrumes confits, de l’écorce d’orange, re miam ! La discussion revient sur le chenin et on me demande si j’ai de la Coulée de Serrant. Je nie, je nie avec force, mais après maintes tortures, j’avoue ! Ce sera un 2002, bu non carafé, à la volée. Il est très ouvert, sur des arômes de coing, de gingembre ; une bouche dense, un peu trop tendue à mon goût, mais grasse, équilibrée, longue, presque trop parfaite ! Décidément, la Coulée ne s’offrirait-elle qu’à ceux qui la respectent. Un sans faute chez moi jusqu’à présent ;).

Voilà, il est temps d’y aller, juste une dernière pour la route, ce sera le très beau « Noël de Montbenault 2001 de Richard Leroy », moins minéral, plus fruité, moins de classe peut-être, mais plus de jus, je l’ai préféré à la Coulée, c’est dire ! Voilà, c’est tout (je ne vais quand même pas vous raconter le OFF du OFF ;-) ; un week-end réussi à tout point de vue, merci à tous, et laissez moi maintenant pousser un grand OUF !

photos et liens bientôt disponible sur le blog...

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laurent

Laurent - Caviste
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15 Déc 2007 13:08 #1

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Réponse de oliv sur le sujet Re: Le OFF du Marché de l'Odyssée



Superbe Cr Laurent, vivant, décontracté!!
Un vrai plaisir à lire!

Et dans ce cas là (aussi? :D), plus c'est long...

15 Déc 2007 23:54 #2

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Réponse de milleret jean luc sur le sujet Re: Le OFF du Marché de l'Odyssée

""Mon dieu que c’est bon, c’est Rayas, c’est 2003, et je regrette de ne pas en avoir en cave ! Merci Marcus pour ce beau cadeau que je voulais absolument boire en bonne compagnie. ""

Laurent ...si tu reviens un jour en Savoie , nous pourrions ouvrir un petit Rayas .Si je ne devais conserver qu'un seul vin en cave , c'est bien Rayas ...mais Jamet n'est pas bien loin !! Tiens , je vais ouvrir un petit post sur ce forum : " Si vous deviez conserver qu'une seule bouteille en cave " .

Laurent ..pour Schueller ...le millésime !!
16 Déc 2007 14:22 #3

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Réponse de alfonso sur le sujet Re: Le OFF du Marché de l'Odyssée

j'était la en mode ON du marché de l'odyssée et j'ai encore passé un excellent moment.

avec encore une fois un excellent blanc de Ganevat, les chalasses VV 2005 et celà m'as permis aussi de goûter le clos milan 2003

Par ailleurs, je ne me bats pas pour avoir raison, puisque j'ai raison...;) L.J.
17 Déc 2007 11:46 #4

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Réponse de Luc Javaux sur le sujet Re: Le OFF du Marché de l'Odyssée

D'accord avec toi sur l'excellence des Chalasses VV 2005 de Ganevat, et pas seulement cette cuvée d'ailleurs, tant tout est bon chez Ganevat (j'ai aussi flashé sur le remarquable vin de paille). En ce qui concerne le Clos Milan, j'ai préféré la finesse du 2002 à la force un peu brutale du 2003.

Luc
17 Déc 2007 13:30 #5

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Réponse de MatthieuS sur le sujet Re: Le OFF du Marché de l'Odyssée

Laurent,
Bien beau programme de dégustation.
Comme je l'ai demandé à Chamber', qui lui aussi a goûté Rayas 2003 dernièrement, je désirerais savoir la façon avec laquelle vous avez préparé la bouteille de Rayas 2003? Temps de décantation? Température?...
Merci beaucoup.

Matthieu
17 Déc 2007 21:12 #6

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Réponse de LaurentM sur le sujet Re: Le OFF du Marché de l'Odyssée

Merci pour vos commentaires,

Mathieu, le rayas était simplement remonté à l'entrée de la cave, et carafé juste avant service, il aurait pu être carafé deux heures peut-être, par contre il est important de surveiller la température de service

Jean Luc, si je reviens en Savoie je ne manquerai par de te faire signe, j'y ai encore beaucoup à découvrir;) Le millésime du Pinot Gris Schueller est le 2002 (j'ai du faire appel à l'équipe ;-) et c'est la cuvée de l'Oncle Leon

PS j'ai oublié de mentionner deux cuvées de Meyer, dont une oxydative voulue ;) un sylvaner VV 2001 avec pas mal de fruit, un peu moins puissant et expressif que lors de notre rencontre précédente, mais un régal sur le curry d'agneau.

bonne soirée

Laurent

Laurent - Caviste
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18 Déc 2007 21:48 #7

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Réponse de MatthieuS sur le sujet Re: Le OFF du Marché de l'Odyssée

Merci pour votre conseil Laurent:). Je serais curieux de savoir ce que vous pensez de la méthode totalement différente qui m’a été donnée dans un autre post « l'idéal serai de pouvoir ouvrir la bouteille de Rayas 2003 24 voir 48 heures à l'avance, avec un carafage de 3 heures.
Je te recommande de le servir à 16 degrés. » . Cela me parait très long, mais en accord avec ce que j’ai pu lire, une fois, où M. Reynaud conseillait d’ouvrir Rayas 1995 avec 2 jours d’avance !!!

Matthieu
18 Déc 2007 22:08 #8

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Réponse de LaurentM sur le sujet Re: Le OFF du Marché de l'Odyssée

Mathieu, je rejoins sur le carafage et la température (surtout pour le 2003)
mais je n'ai aucune expérience sur un rayas ouvert 24-48 heures à l'avance.

bonne soirée

lt

Laurent - Caviste
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19 Déc 2007 00:21 #9

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Réponse de milleret jean luc sur le sujet Re: Le OFF du Marché de l'Odyssée

Pour la dégustation chez Malleval ( le samedi matin ) , les btlles ont été ouvertes le jeudi matin !!! Millésimes présentés : 98 et 2000 .
19 Déc 2007 09:11 #10

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Réponse de teddyteddy sur le sujet Re: Le OFF du Marché de l'Odyssée

Salut Laurent,

Je découvre seulement maintenant ton CR sur l'Insolite 2002 du Domaine des Roches Neuves.

Je suis content de lire que ce vin ne présentait pas, sur cette bouteille, de notes oxydatives marquées.

Personnellement, j'ai bu deux bouteilles excellentes sur le fruit, et deux bouteilles oxydées.

Il m'en reste encore une, nous verrons bien...

Pour le reste, j'ai bu mardi En Barberon 2002 de Tissot, et j'ai beaucoup apprécié le côté pur, naturel, dynamique de ce joli Chardonnay, qui ne présentait aucune trace d'oxydation.

Il faudra que j'en recommande un jour...

Laurent
18 Jan 2008 09:11 #11

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Réponse de Guest sur le sujet Re: Le OFF du Marché de l'Odyssée

Merci pour ces pistes agréablement commentées.

Pris le Vouvray brut de Foreau 1995 pour un beau champagne.

Choisilles 2002 bu la semaine dernière : pas mal du tout (15/20)

Insolite 2002 : tiens, tiens !;)

La Coulée 2002 m'a beaucoup plu la semaine dernière (17/20 pour 4 dégustateurs, au passage).
Une oxydation acceptée ? (contrairement à celle dénoncée sur le vin de Leroy) : une petite explication s'impose, non ?:)

Noëls de Montbenault 2002 était correct sans plus.
Le liquoreux 2001 est superbe (il est sorti en tête dans un comparatif alignant les meilleurs cuvées du millésime en Layon).

La proximité Jamet/Clusel-Roch fait sens !
18 Jan 2008 10:07 #12

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Modérateurs: GildasPBAESMartinezCédric42120Vougeotjean-luc javauxstarbuck