Alsace
Romain Iltis succède à Serge Dubs à la présidence de l’Association des Sommeliers d’Alsace.

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Occitanie
La passion du vin récompensée pour Margot Duffort, sommelière de l’année.

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oliv écrit:

Entretien
Florent Martin : "Un bon sommelier doit avoir ses propres convictions, sa personnalité et les assumer".

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Absolument ! mais il ne doit aussi pas prendre le client pour un con Heureusement, j'ai l'impressionq que c'est devenu plus rare comme sport

Excellent !

Récompense
Jean-Baptiste Klein sommelier de l’année Gault&Millau 2024.

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Jonathan Beeckman, ancien sommelier passé chez Joël Robuchon, Gordon Ramsay, Christopher Coutenceau, entre autres, assure depuis trois années environ la direction, la cuisine et la sommellerie de son restaurant « Le Bon Laboureur » à Menetou-Ratel , au pied de la colline sancerroise.

L’adresse est très recommandable pour l’ambiance, la cuisine, la carte des vins, avec un bon rapport qualité prix.
Voir dans le fil « Autour de Sancerre » dans la rubrique « Bonnes adresses ».

Gérard ​



 

Bourgogne
C'est un métier essentiel pour la promotion et la vente des vins en restauration, mais qui rencontre des difficultés à attirer les jeunes. La sommellerie, en manque de candidats ? Au lycée Le Castel de Dijon (Côte-d'Or), la formation ne compte que trois élèves, sur une capacité de douze.

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Témoignages
Sommeliers des stations de ski huppées, ils racontent leurs anecdotes mémorables.

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Et les vins de Savoie c'est quoi, de la neige fondue ?  

Gerard58 écrit:

Jonathan Beeckman, ancien sommelier passé chez Joël Robuchon, Gordon Ramsay, Christopher Coutenceau, entre autres, assure depuis trois années environ la direction, la cuisine et la sommellerie de son restaurant « Le Bon Laboureur » à Menetou-Ratel , au pied de la colline sancerroise.

L’adresse est très recommandable pour l’ambiance, la cuisine, la carte des vins, avec un bon rapport qualité prix.
Voir dans le fil « Autour de Sancerre » dans la rubrique « Bonnes adresses ».

Gérard ​




 

Je ne peux que confirmer, excellente adresse.

Profession sommelier : "Être capable en deux minutes de juger ce que veut le client"

Président de l’Association des Sommeliers de Lorraine, le Mosellan veut faire venir les jeunes à ce beau métier de partage.

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Concours
Pascaline Lepeltier future meilleure sommelière d’Europe et d’Afrique ?

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Portrait
Lise Périssat, la nouvelle étoile montante de la sommellerie française.

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Sommellerie
« On manque de sommeliers dans les restos » : L’Épaulée nantaise au chevet de la sommellerie.

www.ouest-france.fr/...

Conseils
5 sommeliers de restaurants étoilés révèlent leurs vins coups de cœur.

avis-vin.lefigaro.fr...

Ca mériterait de figurer dans le fil Bourgogne, région optimale

T'as vu les recommandations... recommander Selosse et Rayas... franchement... heureusement que les autres ont un peu plus exploré leur cartes

hyllos écrit:

T'as vu les recommandations... recommander Selosse et Rayas... franchement... heureusement que les autres ont un peu plus exploré leur cartes

Un peu d'indulgence pour la jeune femme qui a recommandé Selosse : elle n'a que 26 ans, est italienne et francophile. Le vrai coup de pied de l'âne serait plutôt de signaler qu'elle travaille chez Bruno Verjus dont la carte des vins serait la plus "journalistiquement RVFment correcte", en d'autres termes à la fois pointue et éculée.

Sinon pour une fois il n'y a pas vraiment d'éléments à tourner en dérision dans cet article (pas de description digne des précieuses ridicules, pas de charge politique nature vertueux versus conventionnel méchant) et on ne peut même pas reprocher un chauvinisme non plus (mixte français/étranger tant en France qu'ailleurs).

Et bien au contraire il n'y aucune mention de vin de Bourgogne que l'on pourra évidemment interpréter avec plus ou moins d'inquiétude selon les sensibilités.

Oui en fait, j'ai même été étonné que juste deux recommandent des poncifs.

hyllos écrit:

Oui en fait, j'ai même été étonné que juste deux recommandent des poncifs.
 

Cinq sommeliers exerçant dans des établissements étoilés dévoilent aux lecteurs du Figaro Vin leurs plus beaux souvenirs de dégustation, ainsi que leurs cuvées coup de cœur à moins de 50 euros.

Donc avoir Sélosse et Rayas comme meilleurs souvenirs de dégustations en recommandant ensuite des vins d'un réel éclectisme, moi je veux bien que tu aies conservé ton gêne français en râlant pour râler.
Mais faudrait quand même pas non plus réécrire l'article.

Il faudrait le même article avec 5 sommelier(ère)s français(es), travaillant en France. Juste pour comparer...

oliv écrit:

hyllos écrit:

Oui en fait, j'ai même été étonné que juste deux recommandent des poncifs.

 

Cinq sommeliers exerçant dans des établissements étoilés dévoilent aux lecteurs du Figaro Vin leurs plus beaux souvenirs de dégustation, ainsi que leurs cuvées coup de cœur à moins de 50 euros.

Donc avoir Sélosse et Rayas comme meilleurs souvenirs de dégustations en recommandant ensuite des vins d'un réel éclectisme, moi je veux bien que tu aies conservé ton gêne français en râlant pour râler.
Mais faudrait quand même pas non plus réécrire l'article.

Absolument, j'ai pas honte de dire que mon plus beau souvenir de champagne est un Selosse (Substance) et même sans doute l'un de mes plus beaux souvenirs de vin tout court.
Et Rayas (2003) pas si loin derrière...

Je vais pas quand même commencer à faire la lèche au Figaro non ? 


Allez, on va être un peu constructif.

Substance est un cas intéressant. J'en ai bu un merveilleux en 2010 je crois. Certainement une des plus belles cuvées de Champagne bue (mais pas la seule). Et depuis je l'ai regoûté 4 fois, très décevant. Une fois correct et deux fois hum, une fois vraiment trop oxydée. Du coup... j'ai du mal à le conserver comme un top de dégustation car si je veux partager l'émotion avec quelqu'un, et bien j'ai plus de contre exemple (personnels) que de certitudes. 

Ceci dit, j'ai un peu de mal, malgré la beauté du premier Substance, à mettre cette bouteille ne serait-ce que dans mon top 10. 

hyllos écrit:

Je vais pas quand même commencer à faire la lèche au Figaro non ? 

L'honnêteté intellectuelle, c'est un principe de vie.
Mais faut reconnaître qu'il y a des moments où c'est pas simple d'y rester fidèle !

hyllos écrit:

Je vais pas quand même commencer à faire la lèche au Figaro non ? 

 Il ne faut donc surtout pas cliquer sur les liens que te propose le diable 

hyllos écrit:

T'as vu les recommandations... recommander Selosse et Rayas... franchement... heureusement que les autres ont un peu plus exploré leur cartes

Mathieu, qu’est-ce qui te choque dans le fait que ce soit leur meilleur souvenir ? 

Edit 1 : comme toujours, grillé par Oliv. 
Edit 2 : à mon avis, Mathieu, c’est parce que Substance est trop boisé pour toi.
Comme je fais partie des blaireaux qui n’ont rien compris au chardo et se délectent des Grivault, Boisson, JC Bachelet, Comtes Lafon, et même,  horreur, Coche, qui plus est en y percevant des différences en dépit du masque abominable de l’élevage, il n’est pas étonnant que je place Substance sur mon podium. 

DemiLune écrit:

Il faudrait le même article avec 5 sommelier(ère)s français(es), travaillant en France. Juste pour comparer...

ce serait sûrement très rigolo. 

Jean-Paul B. écrit:

Edit 2 : à mon avis, Mathieu, c’est parce que Substance est trop boisé pour toi.
Comme je fais partie des blaireaux qui n’ont rien compris au chardo et se délectent des Grivault, Boisson, JC Bachelet, Comtes Lafon, et même,  horreur, Coche, qui plus est en y percevant des différences en dépit du masque abominable de l’élevage, il n’est pas étonnant que je place Substance sur mon podium. 

Ah mais je n'ai jamais dit qu'il fallait détester les vins boisés j'ai dit que ça me hérisse le poil d'entendre qu'on n'aime pas l'élevage ou qu'on recherche la pureté de terroir et qu'on me cite Coche. Coche fait clairement des grands vins mais il ne faut pas venir me dire que ce n'est pas boisé. . Après, ponctuellement, je peux aussi donner dans un beau Bourgogne bien élevé. Bon... je ne te cache pas que je prendrais certainement plus mon pied si c'était moins marqué.

Par ailleurs, si tu as lu mes propos, tu verras que je disais justement que sur le Corton Charlemagne, j'aimais énormément l'interprétation de Sala vs Bouchard, sur la même cuvée. Les deux sont extrêmement marqués par l'élevage et pourtant en terme d'élégance et de plaisir, c'est incomparable. Sala sortait un des meilleurs GC que j'ai goûté en jeunesse alors que Bouchard donne l'impression de faire ça à la truelle. Il est évident que tu vas trouver des différences et que le terroir s'exprime. Ce que je remarquais, c'est que les élevages sont objectivement discutables et souvent excessif. Mais bon... c'est ce qui se vend et ce que les gens recherchent donc on ne peut pas leur jeter la pierre.

Pour Substance, j'ai eu une bouteille exceptionnelle. Elle mériterait d'être dans un top, disons, bulles. MAIS. Comment je peux dire que c'est un des meilleurs vins que j'ai bu, si par ailleurs les trois autres que j'ai goûté étaient décevantes... Ce qui me gêne plus dans Substance, c'est l'oxydation. Je pense que le vin va de plus en plus dans cette direction et c'est peut-être pour ça aussi que j'accroche moins. D'une manière générale je note que je préfèrais Selosse il y a une dizaine d'années que maintenant.

hyllos écrit:

Comment je peux dire que c'est un des meilleurs vins que j'ai bu, si par ailleurs les trois autres que j'ai goûté étaient décevantes... 

Et bien ça tombe bien, c'est pas à toi que le Figaro la demandé! 😉

Il dit qu'il voit pas le rapport.