Soirée 2005

sociando mallet 2005

On commence par une VV 2005 de chez alliet
Côté métallique a l ouverture 
décanter et chambrer pendant 3h
​​​​​vin magnifique qui s est laisser epanouir dans un style plus franc et direct 

Le SM un nez magnifique sur le fumé le boisé noble mais trop marqué sur la vanille et le caramel. 
Une texture fine et commençant a se détendre mais l ensemble manque de complexité et devenant trop lourd et chiant a boire
manque de fraîcheur et d équilibre 
A laisser vieillir pour atteindre une complexité plus intéressante 
Le  2004 était beaucoup plus digeste et moins lourd

A cote 1er cru micault 2005 rebourgeon mure pommard
verrouiller a double tour
Rien a Voir avec la même bouteille bue il y a 1 ans

Le chinon est sorti vainqueur pour l'ensemble de la tablée 
 

Château Sociando-Mallet 1990 - Haut-Médoc
Ouverte pour le réveillon de Noël
Robe bordeaux au liseré légèrement brique.
Nez précis sur le tabac, la cendre, le cassis, le menthol et le bois de Santal.
Bouche souple et gourmande qui déroule une matière combinant fluidité de texture et profondeur gustative.
Le touché de bouche est magnifique avec une matière fondue qui emplit la bouche tout en délicatesse.
C'est racé, distingué, d'une grande longueur...grand vin !

 Château Sociando-Mallet 1996 - Haut-Médoc

Robe pourpre grenat, peu d'évolution.
Le nez est bien typé cabernet, des fruits rouges et noirs un peu éteints, de la prune, petite note de torréfaction, terreuse, c'est épicé, poivré, des notes secondaires.
La bouche est équilibrée certe avec une acidité marquée mais la matière compense, des tanins légèrement assèchants. C'est plutôt des notes secondaires que délivre la bouche, sous-bois, un peu animal, champignon, prune, la longueur est moyenne.

Note: 15,5/20. Garde: à boire.

Ahah intéressant !
Du coup je mets quelques notes de tête, d'un 95 que nous avons goûté au Vietnam il y a environ un mois, avec des amis.
Je m'étais un peu éloignée de SM que j'ai trouvé un peu austère ces dernières années. Mais c'est la 2è fois que je regoûte 95 et les 2 fois le vin s'est révélé superbe.
La robe est profonde, sans vraiment d'évolution, peut-être à peine plus claire au bord du disque. Le vin est magnifique, on reconnait aisément un Bordeaux, mais aucune note de poivron. Je ne me rappelle plus les arômes du nez avec précision, mais beaucoup de d'ampleur et de complexité, pas encore sur le tertiaire. En bouche, du velouté, une belle structure pleine qui emplit bien la bouche mais les tanins sont complètement résolus, pas d'aspérité ni de sécheresse. Très beau vin qui me réconcilie avec SM !

Thien

Château Sociando-Mallet, Haut-Médoc, 2012



Bouchon parfait.
Robe bordeaux violacée sans trace d'évolution.
Beau nez plein, sur un bouquet qui semble plus vieux que ses 10 ans d'âges, avec un fruit noir en train de basculer dans des notes sanguines et légèrement giboyeuses très élégantes. L'ensemble est droit et d'une certaine classe.
Déception au service où le vin servi à température de cave apparait très austère, avec un tenue ferme et froide, d'une certaine amertume.
L'aération mais plus encore le réchauffement tout le long du repas apportera de la chair et une texture plus riche et donc agréable.
Le vin reste assez simple d'expression mais d'une certaine efficacité sur un trio de morceaux de boeuf grillés.
Finale en revanche assez courte, avec une pointe amère.
Bien.

Château Sociando-Mallet 2010

Carafé 1h
Encore assez jeune, plutôt sur le fruit.
La matière en 1/2 corps propose un joli toucher de bouche, belle buvabilité
À attendre sereinement pour gagner en complexité
Bien mais sûrement meilleur dans 10 ans

Château Sociando-Mallet 2003
les tanins sont encore présents. Sur le fruit, les arômes tertiaires commencent a faire leur apparition.
Très bien, mais je m'attendais  a mieux.
Gaetan

Château Sociando-Mallet - Haut-Médoc, 1989

Simplement ouvert 1h avant dégustation.
A noter pour ceux qui voudraient en ouvrir une : j'avais peur qu'une aération trop ambitieuse "tue" le vin, mais ce dernier n'a pas cessé de se bonifier tout au long de la dégustation. 

A l'ouverture, un vin un peu faiblard, un peu timide, et trop porté sur le côté mine de crayon à mon goût.

Puis le vin s’ouvre et exhale de belles et intenses notes de cuir, toujours avec le côté minéral/mine de crayon, et très léger boîte à cigare. 
Autant la robe fait plutôt jeune, autant le nez ne trahit pas celui d'un vieux Bordeaux évolué.

Belle bouche, ample, avec une jolie longueur, mais, à l'image du nez, caractérisé par une certaine rusticité. 

Un bien joli Sociando, dans un registre rustique donc, mais qui fait le travail. Un grand millésime certes, mais un net cran en-dessous du 1990 toutefois. 

Château Sociando-Mallet 2010 - Haut-Médoc

La robe montre sur son fond rouge quelques reflets bruns.
Le nez est dominé par le cuir, le tabac avec un peu de fruit derrière.
La bouche est assez faible en longueur et manque de relief.
Idem au nez sur le tabac, le cuir, un fruit assez léger.
Pas très émouvant  ce vin juste correct déjà évolué.
Un peu décevant.

Gilles

Château Sociando-Mallet – Haut-Médoc – 1998 : (magnum)


Ouvert au bilame, bouchon intact, à peine marqué, d'une jeunesse insolente!Robe évoluée, pourpre au disque grenat qui commence à tuiler.
Le nez est tertiaire, cuir, champignons, des fruits noirs avec une jolie fraîcheur.
La bouche est fine, sur les fruits noirs, mûre, marquée par un peu de verdeur. Les tanins sont un peu rêches, mais la finale est tendue, note de poivron pour terminer l'ensemble qui est long en bouche. TB 16/20.

Bu lors du Clécy Tour www.lapassionduvin.c...

Château Sociando-Mallet 2010

Robe sombre, nez plutôt cassis frais, cerises murs, ça poivronne pas ou alors bien mûr, élevage bien intégré, bouche dense,structurée mais couplée à une juste acidité , un beau vin qui en a encore sous la pédale , au moins 10 ans, tout pour bien vieillir , surpris par le commentaire plus haut.

Stéphane

château Sociando-Mallet 2006
Robe pourpre avec pourtour qui commence à virer à l’orangé.
Le nez, sans être complexe, est sympa et annonce un Bordeaux d’un certain âge : fruits noirs, humus, tabac, un peu encens.
La bouche est fraiche et donne une petite impression de verdeur et sècheresse à l’ouverture. Je laisse respirer 3h, mais cela ne changera pas le caractère du vin.
On est sur un vin en demi-puissance, frais, avec des tanins fins mais nombreux et un peu asséchants. La retro confirme le nez. C’est bon, mais ca manque de complexité et de gourmandise. Limite ennuyeux. C’est bon quand même. 3+/5.
Cependant, je suis un peu déçu car j’ai sorti cette bouteille pour continuer l'initiation de mon fils et de ma nièce, dont c’est l'année de naissance, et là ce n’est pas une bouteille facile d’accès pour débuter…

Bibi

Château Sociando-Mallet - Haut-Médoc, 2010

 

Débouché la veille pour le lendemain, en accompagnement d'une côte de boeuf.

Nez de fruits noirs assez intenses, cèdre.

Si le nez est incontestablement, et irrésistiblement Médocain, la bouche est en revanche beaucoup plus difficile à cibler.
C’est très fruit à noyau, ce qui ne m'a rappelé pas le secteur ; en revanche, un gros dépôt, une certaine astringence tannique et un côté mine de crayon rappelle bien le bordelais.
Un vin qui reste marqué par une austérité certaine, et finalement aussi funky qu’un dimanche soir à Fleury-Mérogis.

Garde : à regoûter d'ici 5-10 ans

Sociando-Mallet 2005

Bouteille ouverte une heure avant la dégustation mais non carafée.
Robe rubis sombre brillante.
Premier nez étonnant et évident d'orange sanguine qui s'estompera au fur et à mesure pour laisser place à un nez classique (cassis, léger poivron, tabac...).
La bouche est bien structurée sans être un monstre. Belle acidité qui se montrera un peu plus mordante le temps s'écoulant, sans cependant se montrer rédhibitoire.
Jolie longueur.
Au final, un vin très bien fait, qui en a encore sous la pédale (aucun marqueur de vieillissement à l'horizon) mais qui, sans conteste, n'a aucun génie.
Le cru Bourgeois par excellence !!!

Cordialement,

Hervé

Château Sociando-Mallet - Haut-Médoc 2008

 

Nez assez expressif, il y a un peu de fruit (cassis), du poivron rouge mûr, des notes d'eucalyptus, un début dévolution avec des notes de tabac. Agréable.

La bouche est plutôt en finesse, moyennement intense, il y a une acidité bien calibrée, de petits tanins fins, l'aromatique révèle une pointe végétale.

Un bon vin, dans un style "classique". Sans doute à attendre un peu. Lorsqu'on remonte le fil il y a pas mal de commentaires qui décrivent, tous millésimes confondus, un vin bien fait, agréable mais mollement chiant. Eh bien je n'aime pas trop confirmer les idées reçues en général, mais là... ben c'est exactement ça.

Bien +

Mathieu

denaire écrit:

Château Sociando-Mallet - Haut-Médoc 2008

 

Lorsqu'on remonte le fil il y a pas mal de commentaires qui décrivent, tous millésimes confondus, un vin bien fait, agréable mais mollement chiant. Eh bien je n'aime pas trop confirmer les idées reçues en général, mais là... ben c'est exactement ça.

Bien +

Mathieu

Bonjour,
​​​​Je ne partage pas votre point vu. Généralement, nous prenons beaucoup de plaisir avec ce vin, qui constitue une bonne reference.
Cordialement
Gaetan
P.S : C'est sûrement parce que l'on aime les poivrons.   


 

C'est sûr que si tu es allergique au poivron, vaut mieux éviter Sociando-Mallet (je l'ai même ressenti aux primeurs 2009 et 2010, années bien mûres)

Château Sociando-Mallet 1982


La robe est dense, jeune encore, brunie mais pas orangée, aucunement trouble.

Le nez est noble, au départ tabac brun à priser, poivre, bois précieux. A l'ouverture, tout sur le fruit, presque pinotant, mûre, fraise écrasée, coulis de framboise. Vers la fin de la bouteille apparaît le menthol et une fine touche de camphre ainsi que le pot pourri et la rose fanée. C'est un nez immense de parfums.

La bouche est juste exceptionnelle. Très aristocratique, noble, de grande classe, avec un toucher de velours, presque moelleux, un grain remarquable qui crisse légèrement. Une longueur superlative. Un fruit ultra présent, beaucoup de prune, de mûre, de cerise, de cassis. Des épices douces, une fine sensation graphitée. Une acidité magnifique sur la finale qui donne une énergie incroyable à ce grand vin. C'est dense, très jeune, vivant, intensément long et magnétique. La rémanence sur les fruits rouges acidulés et compotés est juste impressionnante, avec un peu de poivre blanc. Du poivron ou du paprika ? Jamais !!!

C'est un vin immense, évident, un très grand seigneur de Bordeaux, véritablement à la hauteur de son mythe. Immensément jeune, il vieillira certainement 50 ans de plus dans la cave de son généreux donateur. Un immense merci à lui qui se reconnaîtra. Ce Sociando-Mallet 1982 faisait partie de la liste de mes lubies. Je suis conquis et reconnaissant pour la générosité du donateur.
Un des plus grands Bordeaux qu'il m'ait été donné de pouvoir déguster et la chance supplémentaire, c'est d'avoir pu partager la bouteille seulement à deux... Le plaisir n'en a été que plus prolongé

Ca s'arrose mon Vivien ce soir avec une ou deux Vézelay pour le match 

Il faudrait que ce petit nouveau se présente 


🤣🤣🤣

Château Sociando-Mallet - Haut-Médoc - 1990

Débouchée 2h avant service, avec mise à l'épaule 1h dans cet l'intervalle. Bouchon complètement imbibé mais sans incidence. Aucun dépôt dans la bouteille. En accompagnement d’un T-bone steak.

A l’ouverture, c’est la mine de crayon qui prédomine. La suite de la dégustation confirmera la précédente d'il y a à peu près un an, l'effet de surprise étant bien sûr moins là. Cette bouteille, d'une autre provenance est pourtant sa copie conforme : je retrouve avec joie un vin immense, de par la netteté de ses arômes, son expressivité (y a du monde dans le verre), sa puissance, son équilibre, tout est là, à sa place. Boîte à cigare, cuir, mine de crayon signent un nez délicieusement tertiaire, profond et abouti. 

La bouche n’est pas en reste : ample, large, aux tanins velours et fondus, très longue finale.

Grand vin, et pour longtemps.

Château Sociando-Mallet - Haut-Médoc - 2005

Bouteille de 2005 ouverte au débotté en seconde partie d'apéro.
bouchon impeccable, nez sur les fruits noirs , un peu de tabac et le grillé 
Robe sombre , avec une légère évolution carmin 
En bouche le vin est délié avec une trame arrondie sur le fruit mat , le boisé fondu relance le jus autour de  la myrtille, pas de trace de poivron  puis la finale sur le tabac . Le vin après 18 ans est toujours en place , pas l'accord idéal sur des tartes évidemment mais le cru en. A encore sous la pédale. Vin digeste pas très complexe mais d'une longueur tout a fait respectable le fond restant  s'est un peu évanoui le lendemain.
Il m'en reste 4 , je vais en faire une par an , l'acidité doit être suffisante pour le faire tenir un peu....
 

www.lapassionduvin.c...

La Demoiselle de Sociando-Mallet - Haut-Médoc - 2005
La robe est pourpre, assez intense.
Le 1er est animal, puis arrivent les épices douces, le paprika, le poivron rouge et le coulis de fruits rouges.
L'attaque est ample et fraiche. La matière est fraiche, bien équilibrée, avec des tanins fondus. La retro confirme le bouquet.
La finale est longue, avec une fine amertume et une sensation poudrée.
Bilan: assez classieux, droit, énergique. Un joli vin à point, avec encore de l'avenir. Je n'en attendais pas tant pour cette demoiselle de 19 ans (3,5+/5).

Bibi