Gertrude,

j'essaie de faire honneur à mon avatar en essayant d'être le moins logique possible.

Plus sérieusement, Drappier est une maison que j'apprécie assez et mes gouts me portent naturellement (sans mauvais jeu de mots) vers les "zéro dosage" (en gros, ce qui ressemble le plus à du vin quoi !!). Donc, quand je trouve un Drappier "zéro dosage", je me lance... Bon, pas de pot pour moi, ce breuvage très faiblement soufré ressemble à s'y méprendre à un liquide pas soufré du tout et qui fait perdre ses dernières dents à Eddy la tête !!!

On ne m'y reprendra plus. La prochaine fois que je boirai des bulles, ce sera une "Trooper". Ca sera bcp moins cher et Eddy sera sur l'étiquette !!! Et puis comme ça, je saurai vraiment ce que je bois... Apparemment, ce n'était pas le cas.

Hervé

Drappier - Champagne blanc de quatre blancs extra-brut

Ce champagne un peu cher (58€) ne m'a pas vraiment plu.
Par élimination: la bouche n'a pas une folle énergie, elle n'exprime pas une grande sensualité, elle ne tire pas vers la froide beauté minérale...
Que reste t-il? Je ne sais pas trop dire... Ce n'est pas mauvais du tout: cette bouche est pleine, très fruitée, elle se tient, dans un beau volume.
C'est sans doute un peu puissant à l'apéro mais je ne le vois pas vraiment faire des miracles à table (avec quoi surtout?).
Un vin de (certains) desserts?

Champagne Drappier - cuvée Charles de Gaulle

Assemblage 80% pinot noir - 20% chardonnay
Dosage 7 g/l
Dégorgement de février 2019

Nez assez floral, avec une pointe de pâte d'amande.
En bouche, c'est floral encore, avec des notes de noisette et de beurre. Le vin est à la fois rond et long, une pointe d'acidité vient équilibrer l'ensemble. Le dosage est présent, mais sans que ce ne soit lourd. Classique, mais efficace. Une certaine idée du champagne ?

(Accord ma foi très plaisant avec des saint-jacques poêlées et une fondue de poireaux. J'ai mis un peu de champagne dans la poêle pour déglacer les saint-jacques, et c'est le genre de choses qu'on devrait faire plus souvent.)

Drappier - Brut Nature Zéro Dosage



Quelle belle découverte! La robe est joliment ambrée, le bouquet bien ouvert, la bulle fine mais intense, et la fraîcheur en bouche est tout simplement magique, avec une belle finale citronnée et minérale. Il n'y a vraiment aucun doute sur le zéro dosage, c'est d'une grande tension et d'une très belle acidité sans pour autant devenir trop nerveux. Excellent rapport qualité/prix!

89/100

Drappier - Brut Nature Zéro Dosage
Robe jaune légèrement dorée
Bulles très fines, nez subtil, notes herbacés, un peu végétale et un petit quelque chose d'agrume
En bouche, c'est agréable, mais ce n'est pas fou...
Après, je ne suis pas un grand fan de champagne

Drappier Champagne Brut Nature Dosage Zero
Blanc de Noir, Dgt 06/20

Robe assez jeune
Aromatique d'intensité faible sur la jeunesse et minéralité.
Matière au volume modéré et à la structure équilibrée.
Effervescence assez fine et agréable.
Finale saline, agréable.
Plutôt à garder.
A aérer et ne servir pas trop frais, plutôt en apéro.
Au final un blanc de noir assez minéral, bien fait et agréable, mais sans qualité particulière. Moins bon que la cuvée Carte d'Or selon mes souvenirs.
Bien

Champagne Drappier - Brut Nature Zéro Dosage

On commence par un blanc de noirs assez stricte.
Un champagne tout en finesse et en tension qui est assez bon lorsqu'on le boit seul à l'apéritif.
Il m'évoque l'Ayala brut nature.
Je trouve qu'il lui manque un petit quelque chose pour que j'ai envie d'en acheter.
il serait intéressant de le comparer au "pinots" de Follet-Ramillon mais pour nos retrouvailles j'avais préparé à Gaétan un spécial Vinozzy avec une bouteille dont j'espérais beaucoup ...

Un repas, mes amis ...

Drappier Champagne "Carte d'Or" (2013)

Souvenir d'une époque où les Champagnes Drappier était peu connus et très abordables

J'en achetais par cartons et il me reste donc ce classique de 2013, gardé dans une cave moyenne.

Et comme constaté dans le passé, ce vin se bonifie avec le temps et évolue vers un joli bouquet de citron confit et de miel, un peu comme une VT d'Alsace qui aurait mangé ces sucres. En bouche, la pétillance est légère mais le vin reste équilibré et vibrant. Petit bémol sur la finale où dosage et verdeur sont moins bien intégrés. TB/EXC

Ralf

Drappier Champagne "Grande Sendrée" 2006

Comme personne ne boit du Drappier un autre "collector" :

Un champagne qui paraît à son apogée avec une aromatique très complète au nez et en bouche : des fruits (pomme mûre, fruits jaunes au nez, plus agrumes en bouche - citron confit), du beurre et de fines notes grillées. Belle texture caressante avec une effervescense evanescente et une jolie finale sur le zeste d'agrumes. EXC

Le vin supporte très bien la montée en température grâce à une fine acidité. Je dois être à 16°C sur le dernier verre.

Ralf

Champagne Drappier - Brut Nature non dosé - Coffret Immersion
Dégorgement mars 2013

 

Oliv
Champagne Drappier, Brut Nature non dosé "émergé"
Robe jaune paille claire à la bulle bien vivace.
Nez tout jeune, sur la pomme reinette, une légère pointe de pain d'épices avec un côté assez serré.
Bouche droite, sur une acidité saillante et un impact presque mâchu et vineux qui donne au vin un caractère tempétueux.
Goûts assez discrets, crayeux et finement épicés.
L'ensemble est nerveux, dense, d'une grande droiture et appelle irrésistiblement les produits de la mer.
Le fond de bouteille terminé le lendemain sera plus apaisé, sur une jolie bulle frétillante et formera un joli partenaire de table à une dorade rose.
Un peu ferme pour moi peut-être.

Champagne Drappier, Brut Nature non dosé, bouteille immergée
Robe plus évoluée, sur un doré léger.
Nez plus complexe, avec une patine qui apporte une lecture très différente, sur la menthe, une fine pointe miellée mais aussi des notes crayeuses.
Bouche en phase avec la cuvée classique mais plus apaisée, sur une bulle légère moins abondante et une forme de mâche vineuse qui appelle la table.
L'aromatique plus évolué réussit très bien au vin.
Finale nerveuse et droite, avec beaucoup de fraîcheur.

Comme très souvent, je coince un peu sur le côté très vertical des champagne non dosé, appréciant un peu plus de confort de bouche qu'un tranchant très important.
L'expérience d'immersion ne révolutionne en rien l'équilibre du vin mais semble lui apporter une évolution aromatique et une petite patine supplémentaire.
On connaissait les vins Retour des Indes.
Le Retour des Ondes semble également bien leur réussir !

Arnould (avec un ........)
Etonnante et intéressante paire de Drappier avec 2 vins qui se présentent effectivement assez différemment. Préférence pour la version immergée, avec un caractère plus évolué qui lui va bien.

Jean-Paul B.
Il y a un an et demi, j'avais gouté le grand frère de ce coffret, basé sur la Grande Sendrée.
L'effet est identique, la bouteille immergée ayant gagné en rondeur par rapport à celle élevée en cave.
Au final, c'est rigolo et culturel à goûter, mais pas bouleversifiant.

Drappier Champagne Brut Nature Dosage Zéro

Robe assez soutenue, dorée à reflets presque ambrés.
Arômes de pomme, de pâtisserie, de noisette. Joli.
Bouche vive et bien sèche. Il y a du peps dans ces bulles que je trouve peut-être trop abondantes. Aromatique discrète mais suffisante qui séduit et propose autre chose que la seule mais toutefois plaisante vigueur minérale.
Très bon.

Drappier - Brut Nature Zéro Dosage

Pinot noir, degorgement 02/21
La robe est assez foncée. 
Le nez n'est pas très ouvert sur la pomme, les fruits rouges et un petit côté oxydatif sur les fruits secs.
En bouche la bulle est moyennement fine, assez vineuse avec des amers un peu grossier. Ca a un coté assez droit, un peu strict, avec un manque de dynamisme qui rend ce champagne assez basique. Ca finit un peu court, a attendre en espérant que ça s'améliore car le degorgement est trop récent. 

Drappier - Grande Sendrée 2010

robe  jaune translucide aux reflets verdâtres
nez sur la brioche avec une étonnante note fumée 
en bouche très belle bulle fine comme je l'aime, beaucoup d'énergie, peut-être un peu jeune ? 
longueur remarquable qui résonne longuement en bouche 

excellent 

 


une connaissance Française me signale que c'était le Champagne de l'Elysée à l'époque du Général de Gaulle 

Drappier - Brut blanc de blancs, dégorgement 2012

Bouteille acquise en 2013, donc sans doute dégorgée en 2012.

La robe est paille un peu prononcée, patinée.

Le nez est superbe et évolué. On commence avec des notes de beurre frais, de noix fraîche, puis se développent des notes de torréfaction, de pralin, de caramel, grande complexité.

La bouche est portée par un train de bulles abondant, les bulles sont très fines. Beaucoup de fraîcheur, une belle tension, confèrent un superbe équilibre au vin, qui finit longuement sur des notes de citron vert, qui se mêlent aux notes de torréfaction. Magnifique !

TB++

Antoine

Drappier - Grande Sendrée 2002

Superbe nez sur des arômes de cuir, de torréfaction, offrant une belle patine.

La bouche en revanche est en retrait, manquant clairement de nervosité à mon goût : l'ensemble est un peu mat, manquant de relief - toutes proportions gardées, on reste quand même sur un Champagne de grande distinction.
Le train de bulles est relativement peu abondant, soulignant juste l'ensemble mais ce n'est pas gênant, la finesse est bien présente.  L'ensemble s'étire en longueur sur des notes tertiaires de bel effet.

TB

Antoine

 Drappier Champagne Carte d'Or Brut
80% Pinot noir, dégorgement 2021

Je recroise cette cuvée avec une nouvelle fois du plaisir au rdv.
C'est vineux, l'effervescence est fine.
Une valeur sûre et un bon rqp champenois.
Bien
 

Drappier - Rosé de saignée

La robe d'un rose saumon très dense ne peut renier le mode d'élaboration du vin.
Le nez s'ouvre calmement sur de petits fruits rouges teintés d'une touche citronnée.
La bouche est assez élégante, avec une bulle caressante et une bonne acidité, une aromatique moins noble sur la grenadine, une finale assez persistante dotée de fins amers.
Bien ++

Jean-Loup

 Champagne Drappier Grande Sendrée 2010
Dgt 2018
Bu dans des conditions peu adaptées et servi un peu frais.
Mais le souvenir d'une bien beau champagne, expressif, assez fin et harmonieux, que ce soit dans les goûts et l'équilibre général.
Belle longueur.
Assez vineux et plutôt destiné à la table me semble t-il.
Garde possible
Très bien

Champagne Drappier - Grande Sendrée 2010

Degorgement 12/21, 55% pinot noir, 45% chardonnay, 35% élevage sous bois, en conversion biologique. 

Le nez est moyennement expressif mais harmonieux. 
La bulle est fine.
En bouche c'est homogène, équilibré, lisse avec un joli fruité bien mûr sur les fruits jaunes. C'est un peu vineux tout en gardant une belle fraicheur sans acidité qui ressort. La finale est assez longue et gourmande. Un Champagne bien fait a tout point de vue mais que je trouve ennuyant, trop lisse.

Champagne Drappier - Grande Sendrée - 2010

Bouteille ouverte environ 1h à l'avance.

Le nez est expressif, quoique d'une complexité limitée en l'état, sur un mélange de brioche et de fruits jaunes.
La bouche est d'un très bel équilibre entre la rondeur et une certaine puissance qui appelle la table. La longueur est très bonne.

C'est très bon, surtout pour l'équilibre en bouche je trouve. Le RQP est par contre très défavorable à mon sens.

icna écrit:

Drappier - Brut Nature Zéro Dosage

Pinot noir, degorgement 02/21
La robe est assez foncée. 
Le nez n'est pas très ouvert sur la pomme, les fruits rouges et un petit côté oxydatif sur les fruits secs.
En bouche la bulle est moyennement fine, assez vineuse avec des amers un peu grossier. Ca a un coté assez droit, un peu strict, avec un manque de dynamisme qui rend ce champagne assez basique. Ca finit un peu court, a attendre en espérant que ça s'améliore car le degorgement est trop récent. 

Un an après ça n'a pas beaucoup changé, le tout est un peu plus fondu, rond et charmeur avec des amers moins marqué mais la finale est abrupte et dure. Pas mon style car ça se veut franc et sans artifice mais ça manque de dynamisme. Ça a quand même plu autour de la table. 

Bu ICI

Champagne Drappier - Coteaux champenois Perpétuité

Blanc de noirs en réserve perpétuelle (de 2002 à 2019).

La robe est or pâle – ce qui peut surprendre vu l'ancienneté du vin.

Le nez est fin, sur la craie humide, le citron et le beurre frais. La bouche est  ronde, fraîche, pulpeuse, légèrement perlante,  et vraiment très gourmande.

La finale est crayeuse, vive, d'une terrible irrésistibilité.

J'aime beaucoup ! Et  le prix n'est pas déconnant (entre 40 et 50 €). 

Drappier – Champagne – Grande Sendrée – 2005

Bue lors d'une  dégustation éclectique

Assemblage de 55 % de pinot noir et 45 % de chardonnay.
La bouteille a été servie juste après ouverture et carafage.

La robe est teintée d’un rosé brique.
Très intense, complexe et envoutant, le nez embaume les épices, et même le pain d’épices, ainsi que les fruits secs.
La bouche se révèle en puissance tout en étant plus austère qu’au nez car le fruité est en retrait. La fine bulle l’égaye un peu mais on retiendra son caractère racé et profond, d’autant que la finale tendue s’affirme avec beaucoup de rémanence.
Très Bien ++

Jean-Loup

dégusté à cette occasion

Champagne Drappier, Carte d'Or brut
dégorgé en juillet 2022
Là encore pas bien concentré mais je retiens des deux bouteilles bues une sensation de neutralité, au nez comme en bouche, une bulle plus présente que sur le Cava, mais un vin qui m'a laissé une empreinte...neutre...A noter tout de même qu'il mettait très bien en valeur la pastilla de volaille.
 

Champagne Drappier, Carte d'Or, BSA

Nez beurré, tout comme la bouche.

Rondeur et fraicheur, quelques légers fruits blancs, simple mais bien fait.

Contexte
Chapagne Drappier La Grande Sendrée 2006
Nez réservé mais mûr sur la compote de pomme et l’abricot avec des notes fumées et salines en alternance. La bouche est ample et concentrée, plutôt évoluée mais sans nuances oxydatives. On a de la présence et un peu de fraîcheur malgré un certain manque de verticalité. C’est finalement équilibré et gourmand avec un beau fruit mûr pour fixer une persistance plus que correcte en fin de bouche. C’est clairement un vin de bouche qui serait plus à l’aise à table et qui souffre sans doute d’un effet de séquence dans cette dégustation.

Pierre