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Ganesh da Capo n° 41 : repas/dégustation

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Repas chez Mme Coirault
Mercredi 17 août 2005

Une production Ganesh da Capo

Le contexte :
Pour cette soirée organisée par Laurent, les amateurs conviés ont convergé de toute la France jusqu’au havre de paix de Mme et Mr Coirault niché dans l’ouest toulousain.
Le repas, sensible et goûteux, a été concocté par notre hôtesse :
- Friandises
- Tomate « bête à Bon Dieu »
- Potage glacé au concombre, raisins et chèvre
- Foie gras de canard frais fumé à la japonaise et pêches blanches
- Ris de veau aux écrevisses et chanterelles
- Gigot d’agneau cuit au foin
- Chèvre au miel
- Assiette de desserts
- Les vins sont dégustés à l’aveugle.
- Participants : Vincent Mercier (VM), Catherine, Charles et Mathilde Vivier, Jean-Philippe Durand, Philippe Dauguet, Coralie Felblinger, David Chapot, Jacques Prandi (JP), Jocelyne Puibusque, Laurent Gibet (LG) et Pascal Perez (PP).
- Synthèse des commentaires de dégustation par Pascal Perez.

Les vins :
1. Mosel-Saar-Ruwer – J. J. Christoffel Erben – Riesling Kabinett Urziger Würzgarten 2003 :
VM15 – JP14,5 - PP14 – LG14,5
- Classicisme tout mosellan, tendance maturité, avec minéralité et verveine.
- Epices douces, minéralité, agrumes, bonne amplitude et sucre intégré caractérisent cette cuvée un rien pervertie par les excès du millésime.

2. Champagne – Moët et Chandon – Dom Pérignon 1993 :
VM17,5 – JP17 - PP17,5 – LG18
- Le fruit est généreux et les fleurs aguichantes. Le grillé est subtil et la minéralité expressive. De la profondeur.
- La bouche convainc avec ses sensations crayeuses et sa tension. Le fruit est blanc (pêche) et rouge (fraise des bois). Assez classieuse, elle reste toutefois freinée par un léger déficit de densité, de profondeur. Belle mousse fine et finale conséquente.

3. Champagne – Krug – Vintage 1989 :
VM17 – JP17,5 - PP17 – LG18
- Olfaction riche et originale (froment, curry léger, orange, pain grillé), quoiqu’un peu trop oxydative (noix, pomme blette).
- Le corps, ample et puissant, est structuré par une acidité vibrante qui prend malheureusement le dessus en finale et durcit cette dernière. L’oxydation avancée des arômes gêne aussi la majeure partie de l’assemblée. Au-delà de ces distorsions, bulle et minéralité sont magnifiques, ainsi que la délicate marmelade de pêche et d’abricot. Dans l’ensemble un beau vin mais déroutant et frustrant aussi.

4. Champagne – Salon 1985 :
VM18 – JP18,5/19 - PP18 – LG18,5
- Effluves capiteux, très fleuris et épicés. La coquille d’huître rend compte de la minéralité. Un soupçon de volatile.
- L’harmonie est complète. La matière est drue, vineuse, bien soutenue par une vivacité inflexible. L’oxydation mesurée participe de la complexité, apportant son contrepoint aux épices douces et aux fruits bien mûrs. Qualité de la bulle (parcimonieuse et élégante) et persistance complètent magnifiquement le tableau. Un grand classique à son apogée.

5. VdP de l’Hérault – Domaine de la Grange des Pères - Blanc 2000 :
VM16 – JP16 - PP15,5/16 – LG15
- Nez qui exprime intensément les fruits jaunes (pêche, abricot) et exotiques (mangue, ananas) très mûrs. L’élevage est perceptible mais intégré et se manifeste via une note pralinée.
- Bouche charnue, puissante, dotée de fruits jaunes dodus (les mêmes qu’au nez), mais parfaitement équilibrée par la fraîcheur du fruit de la passion. L’élevage déroute une fraction des convives. La longueur est au rendez-vous.

6. Hermitage – Domaine Chave – Blanc 1998 :
VMED – JPED - PPED – LGED
- Bouchonné.

7. Alsace – Trimbach – Riesling Clos-Ste-Hune 1995 :
VM17 – JP17 - PP16,5/17 – LG16,5
- Nez rhéno-mosellan se livrant sans réserve : minéralité, citron, fruits exotiques, gingembre et verveine. Les hydrocarbures commencent à poindre.
- Toute Ste-Hune s’exprime ici, mais une Ste-Hune en mode mineur. La tension, la fraîcheur et la minéralité sont bien présentes, la race aromatique aussi (agrumes, fumée, réglisse blanche, tisane, menthe). Les doléances portent plutôt sur sa densité moyenne et sa longueur simplement bonne. Peut être est-elle encore engoncée dans sa gangue et ne demande-t-elle qu’à s’épanouir au moment voulu.

8. Batard-Montrachet – Louis Jadot 1995 :
VM18 – JP18 vers 19 - PP18 – LG18+
- La transparence du fruit, la profondeur, la fraîcheur (menthe subtile) et la complexité (miel d’acacia, noyau, noisette, brioche) arrachent des soupirs d’aise aux commensaux.
- Aucune ride ne vient altérer l’allure de ce jeune athlète à la force tranquille. Il fait nonchalamment rouler ses muscles, admirer sa puissance, son équilibre, l’harmonie de ses lignes. Simple et momentané revers de la médaille : il peine encore à s’exprimer (pêche blanche). L’avenir lui appartient. Grande longueur.

9. Alsace – Zind-Humbrecht – Gewurztraminer Clos Windsbuhl VT 2001 :
VM17/17,5 – JP17,5 - PP17 – LG18
- Nez variétal et entêtant sur la rose, la mandarine, le lychee et les épices douces.
- L’archétype est bien présent mais - est-ce la grande pureté du fruit, la fraîcheur mentholée, la parfaite discrétion du sucre ou la douceur de la texture ? - le charme opère. La finale prolongée tend vers le noyau. Un gewurztraminer magnifique, aux limites des capacités du cépage.

10. Pauillac – Château Latour 1990 :
VM17,5 – JP16,5 - PP17 – LG17
- Le bouquet est magnifique, combinant notes d’évolution (sous bois, jus de viande) et caractéristiques du terroir (tabac, minéralité, fumée intense, réglisse, fruits noirs, fraîcheur).
- Le corps arbore un jus vivant au fruit (myrtille) très frais, avec un poivron noble, de la réglisse, une certaine classe somme toute. Mais, en dépit de ces atouts, la déception est palpable, en particulier parmi ceux ayant déjà approché ce mythe. Ceux-là, donc, pointent un certain manque d’amplitude et une évolution trop précoce. Une bouteille problématique ?

11. Pomerol – Vieux Château Certan 1990 :
VM18 – JP18,5 - PP18,5 – LG18
- Senteurs compactes, terriennes et profondes de champignons secs, fourrure, sauce soja et fruits noirs (mûre, cerise). Envoûtant.
- Matière ample que l’on devine ancrée dans le terroir, avec du gras, un très beau végétal rafraîchissant et des fruits rouges pimpants (fraise, framboise). L’équilibre est souverain. Longue finale réglissée pour un vin racé, peu pressé (qui l’en blâmerait) d’avancer dans la vie.

12. Napa Valley – Pahlmeyer – Red Wine 1997 :
VM17,5 – JP17 vers 18 - PP17,5 – LG17
- Cabernet sauvignon, cabernet franc, petit verdot, merlot, malbec.
- Les effluves jaillissants du verre peuvent choquer par leur grande maturité et leur noirceur (encre, goudron, tabac, violette, fraise, mûre confite). On ne peut toutefois nier leur noblesse, ni leur complexité.
- Le corps est fougueux, presque violent et la matière roborative, compacte, noire (encre, goudron). Cette stature déstabilise une partie des convives, interrogatifs sur les chances de bonification d’un tel colosse. Pourtant l’équilibre est bel et bien présent, la fraîcheur indéniable et le fruit très mûr, exacerbé, mais nullement cuit, vivant même. L’élevage est discret. Un doute tout aussi légitime que culturel.

13. Musigny – Jacques-Frédéric Mugnier 2001 :
VM17,5 – JP17,5 vers 18,5 - PP17 – LG16,5+
- Parfums un peu écrasés de griotte, d’épices douces, de fourrure, de réglisse et de terre.
- Il s’avance tout en dentelle mais bien proportionné et d’une longueur appréciable. Quelques divergences finissent par apparaître, même si, l’essentiel étant acquis, elles ne portent que sur des détails. Certains sont éblouis par son équilibre, sa plénitude, son respect du terroir. Les autres, sans nier ces qualités, regrettent un certain manque d’éclat du fruit, un certain manque de personnalité somme toute. A revoir en confiance tout de même.

14. Echézeaux – Confuron-Cotetidot 1995 :
VM16,5 – JP16 - PP17 – LG16,5
- Nez direct de fruits frais (framboise, griotte), de noyau, d’épices douces et de rafle.
- Il peut représenter une antithèse du Musigny de Mugnier. Sa facture est plus traditionnelle (vendange entière bien perceptible donnant une impression de maturité limite pour certains), dotée d’une belle rusticité et d’une race aromatique (cerise cœur de pigeon) évidente, fraîche et vivante. Seul bémol : la matière qui a tendance à perdre de sa consistance en finale.

15. Côte-Rôtie – Jean Paul et Jean Luc Jamet – Côte Brune 1999 :
VM17,5 – JP18 - PP18,5 – LG18+
- Profondeur, puissance et complexité aromatique sur le lard fumé, la suie, l’encre, le goudron, l’animal.
- Depuis sa dernière dégustation (mai 2004), ce vin n’a pas réellement bougé et a conservé cette personnalité unique qui le rend si aisé à identifier. Son originalité inouïe, son caractère caverneux et sa race terrienne sont indubitables et sont même tellement paroxystiques qu’ils peuvent finir par déranger les âmes sensibles. Il se présente sans fard, doté d’une grande minéralité, dense, vibrant, frais et long.

16. Châteauneuf-du-Pape – Château Beaucastel 1990 :
VM18 – JP19 - PP19 – LG18,5
- Nez franchement évolué, giboyeux (ventre de lièvre) avec un trait de havane et de girofle. De la classe.
- Bouche construite sur l’élégance (le grain, soyeux, est magnifique), la pureté du fruit, la fraîcheur et l’allonge. Les arômes fondus et le jus alerte confèrent beaucoup d’esprit à cette bouteille de grande race, la perfection faite Châteauneuf. Outre cette distinction, elle possède aussi le grand mérite de nous ramener, Laurent et moi, 10 ans en arrière quand nous l’approchions pour la première fois quelque part sur la péninsule de Noto, au Japon.

17. Gaillac doux – Rotier – Renaissance 2002 :
VM16,5/17 – JP17 - PP17 – LG17
- Olfaction truculente, fruitée (mangue, abricot, coing), avec des notes de rôti et de pralin dévoilant le botrytis.
- La transparence et la fraîcheur du fruit (abricot, ananas) sont admirables. On décèle aussi de l’amande et de la gelée de coing. L’ensemble est parfaitement équilibré et élégant. La finale, vive et exotique, se prolonge longuement. Un millésime multirécidiviste de l’excellence.

18. Vouvray – Philippe Foreau – Goutte d’Or 1990 :
VM17,5 – JP18 - PP18 – LG18
- Nez évolué sur l’abricot, la banane séchée, le thé earl grey et le jus de viande.
- Ce vin, fruit de la conjugaison harmonieuse d’une richesse extravagante et d’un très bel équilibre, représente un véritable tour de force. Il livre du raisin sec, du safran, de la marmelade d’agrumes et de l’abricot. Une acidité infaillible le soutient et participe de sa rémanence.

19. VDL – Daumas Gassac – Vin de Laurence 1997 :
VM15 – JP15 - PP13,5 – LG14
- 50% muscat et 50% sercial.
- Remugles pas très nets de vernis à ongle accompagnant des herbes macérées dans de l’alcool (type vin cuit).
- Même constat désobligeant en bouche avec une gamme aromatique peu amène. De la fraîcheur et de l’équilibre toutefois.

20. Banyuls – Domaine La Tour Vieille – Vin de Méditation :
VM15,5/16 – JP15,5 - PP15 – LG14,5/15
- Nez herbacé (foin), amabilisé par de la noix fraîche et de la poudre de cacao.
- On trouve de la réglisse, du bouillon de poule et toujours cette noix fraîche, conférant une légère astringence. L’équilibre est bon même si quelques personnes se plaignent de la sensation chaleureuse ou d’un déficit de puissance. Vin sympathique mais un brin monolithique et en tout cas trop juste pour espérer talonner ses modèles andalous.

Conclusion :
- Et voilà comment une soirée haute en goûts, découvertes (humaines et bachiques) et échanges, une soirée soutenue par une série rare au cours de laquelle la sensibilité du vin en tant qu’objet culturel s’exprime avec force, ponctue en beauté la saison 2004/2005 du Ganesh da Capo.
02 Sep 2005 12:57 #1

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Réponse de Guest sur le sujet Re: Ganesh da Capo n° 41 : repas/dégustation

Bravo..
Quelle série de vins remarquables!
Comment arrivez-vous à les réunir?

Alain
02 Sep 2005 13:23 #2

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Réponse de Guest sur le sujet Re: Ganesh da Capo n° 41 : repas/dégustation

Alain,

Merci, c'était un peu un point d'orgue cette dernière (de l'année, heureusement)
C'est moi qui propose la majorité des vins.
Certains convives amènent une bouteille.

Il y a autour de la table des passionnés partageurs qui dégustent pour la plupart depuis 20 ans.

Certains manquent à l'appel, car indisponibles. L'un m'a permis de goûter de nombreuses fois des vins magnifiques, l'autre connaît certains coins de Bourgogne comme sa poche et y tisse des liens privilégiés.

Cela dit, on aurait pas trop pu aller au delà des 12, car on en n'est pas encore à doubler les bouteilles (ou à les posséder en magnum).
Nous n'avons aucun lien avec la mafia russe du pétrole !

Je te laisse ensuite imaginer l'histoire des trajets individuels puis collectif des flacons vers nos gosiers !
02 Sep 2005 14:08 #3

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Réponse de Guest sur le sujet Re: Ganesh da Capo n° 41 : repas/dégustation

Très belle dégustation! Je n'aurai pas l'outrecuidance de demander qu'elle était la participation financière de chacun.

Les commentaires du Musigny et de l'Echezeaux sont fort intéressants:

Il semblerait que le fruité particulièrement qualitatif de 2001 ne s'exprime pas totalement. Le choix du vocabulaire laisse plutôt à penser que ce Musigny, sur la réserve, soit encore sous l'emprise de la réduction.Les patients seront sans doute récompensés d'ici quelque temps.

En ce qui concerne l'Echezeaux, sa vinification (macération sulfitique à froid: méthode Akad) se laisse encore deviner par son aspect végétal (râfle); ne sentait-il pas plutôt la feuille de cassis?

Il est assez surprenant que ce dernier vous est paru plus traditionnel alors que son élaboration est certainement plus novatrice que celle du Musigny.

Cordialement

Jean
02 Sep 2005 15:12 #4

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Réponse de Guest sur le sujet Re: Ganesh da Capo n° 41 : repas/dégustation

Jean,

C'est moi qui prend en charge les frais pour les plats et les vins.
Il y a les bouteilles offertes par certains invités.
Les invitations tournent, en fct des envies des participants (ceux qui se connaissent depuis longtemps, ceux qui se découvrent, ...).

Pour moi, l'oenophilie est une question de partage, de réciprocité aussi bien entendu.
Chaque situation est différente.

Le Musigny est pour moi à attendre ...
Certains dégustateurs présents se régalent de vins jeunes (GC bourguignons ou Bordeaux 2001 et 2002 par ex)
J'ai eu la même réserve pour la gamme des 2000 de JF Mugnier : un style certainement prometteur mais manquant en l'état d'évidence. Un style un peu enfantin également, très (trop) facile d'accès (donc pour moi, pas vraiment lié au carcan aromatique de la réduction).

Un des vins jeunes récents qui m'a paru bien supérieur : Chambolle Cras 2001 de Roumier.
Lors du voyage, des 2001 comme le Clos de Tart ou le Chambertin de Trapet furent plutôt spectaculaires.

Pour votre commentaire sur l'Echézeaux, ce ne sera pas une manière pour moi de dire que je n'ai pas assez d'expérience pour conclure (ni oenophilique ni encore moins oenologique).
L'identification du "trait de vert" reste encore à explorer ... (ainsi pour le côté "marc" des châteauneuf).

La sémantique du vin est un monde fort complexe !
Vous noterez au passage que je ne suis pour une fois pas le rédacteur du cr.
02 Sep 2005 15:44 #5

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Réponse de Guest sur le sujet Re: Ganesh da Capo n° 41 : repas/dégustation

Ganesh,

Merci pour votre réponse.
A mes yeux vous possédez le vrai sens du vin : la convivialité.
Alors vos amis ont de la chance! Surtout continuez!

En ce qui concerne:
"L'identification du "trait de vert" reste encore à explorer ... (ainsi pour le côté "marc" des châteauneuf). ", il faudrait le vérifier sur un certain nombre de vins de producteurs différents, mais de mémoire je n'ai pas le souvenir de l'avoir systématiquement rencontré.
Ce côté vert me fait plutôt penser à ce qu'on appelle des goûts herbacés et serait dû au trans-2-hexénal qui se forme lors du transport et des traitements mécaniques de la vendange (oxydation enzymatique de l'acide linolénique)
Désolé pour ce jargon et comme en plus je n'ai pas goûté, je vais arrêter là.

Cordialement

Jean
02 Sep 2005 16:21 #6

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Réponse de Guest sur le sujet Re: Ganesh da Capo n° 41 : repas/dégustation

Moi aussi j'ai de la chance d'avoir ces amis ... l'échange n'est pas monodirectionnel (Eddy barclay à St-Tropez ?)

Et cela ne coule pas de source !

La rencontre n'est ici pas marchande !

En l'état de mes connaissances, je ne sais guère aller plus loin sur certaines impressions organoleptiques liées à la présence de rafle, d'autant que les seules raisons oenologiques ne sont pas de mon point de vue suffisantes pour rendre compte d'une réalité phénoménologique complexe.

Et puis entre autres, la longue discussion avec Jamet m'avait apporté autant de doutes que de certitudes.
02 Sep 2005 16:29 #7

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Modérateurs: GildasPBAESMartinezCédric42120Vougeotjean-luc javauxstarbuck