Vu la polifération de certaines cuvées j'ai chaussé mes bottes et mis mes habits de chasseur (pas la chasse à  cour) la chasse homme contre bête verre à  la main triompherais je du fin goupil ?.
Ne l'ayant débusqué a l'entour du bois des "millésimes récents" j'ai orienté ma quête vers des certitudes de dégustateurs chevronné que dis je hyper cultivé soit vers des horizons plus lointain de ceux qui se perdent dans la mémoire des hommes.
Ainsi me dirigeant vers un lieu dit "la cave" j'ai débusqué un terrier ou aurait pu se lover l'infame bête j'ai nommé, Monsieur, le renard.
Et la que nei que neni point de bête goupilesque et vicieuse. Ainsi finit le premier épisode de ma recherche...
La scène
Le terrier : Romain Pauc 1990 avec beaucoup de carignan
l'apriori : le renard se devait d'y être
Couleur : soutenue avec des débuts de brunissements
Nez : très agréable mais pas puissant de vieux bois (que je qualifie de musé) d'encaustique léger, de fruits rouges (cerises) et de laurier pour finir sur du chocolat
Bouche : démarre ronde sur du chocolat, cerise avec un beau volume un seul reproche les tannins commencent à  séchers pour finir longuement sur de la pate de coing et le foin
Noté : a boire assez vite

attendez il en passe une autre
Pan ! pan !
et un autre carignan dans mon tableau de chasse et un vieux çuilà  suite au prochain épisode.