1. Anjou, Les Treilles, 2006, Jo Pithon.
Robe, or pâle.
Nez, floral, à l’aération les agrumes se dévoilent.
Bouche, dès l’attaque, le vin donne un bel équilibre. Un beau développement, sur une matière mûre, l’acidité est bien intégrée, elle tend le vin, pour une finale assez longue. TB.
2. Montlouis sur Loire, Les Choisilles, 2006, F Chidaine.
Robe, or jaune
Nez, chèvrefeuille, à l’aération des notes fruits jaunes.
Bouche, attaque est peu moelleuse, une impression crémeuse en milieu de bouche.
Sur la fin de bouche, une fine acidité se révèle…mystère, je ne reconnais pas Choisilles, toujours plus tranchant.
A revoir, peut être un problème de bouteille, si quelqu’un à une autre expérience…
3. Anjou, Le Rouchefer, 2006, A et R Mosse.
Robe, or pâle.
Nez, fruits jaunes.
Bouche, dans un premier temps, le vin est perturbé par des notes levurières.
Avec le temps, ces notes disparaissent pour laisser place à une belle matière, le vin est détendu (non filtré), la finale est sur une belle acidité, sur des notes d’oranges sanguines. B
4. Anjou, Les Noëls de Montbenault, 2006, R Leroy.
Robe, jaune paille.
Nez, fruits blancs, à l’aération des notes d’agrumes.
Bouche, l’attaque est nette, de suite l’acidité donne une belle tension, le vin se développe sur une belle matière. La finale est persistante, sur une acidité légèrement citrique. Belle harmonie. TB+
5. Montlouis sur Loire, Clef de Sol, 2006, Damien Delécheneau.
Robe, jaune paille.
Nez, pas très expressif, un peu fermé.
Bouche, attaque nette, le vin est tendu, joli développement en bouche, l’acidité tire le vin sur une assez longue finale. B+
Un style de vin que j’aime, pas très démonstratif mais très agréable.
6. Anjou, Authentique Vignes Française, 2007, P Delesvaux.
Robe, or jaune.
Nez, sur la pomme au four.
Bouche, une belle matière, belle maturité, le vin se présente un peu gras… A revoir.
Fluctuations des bouteilles…, j’ai dégusté ce vin tout autrement, il y a trois jours, un joli vin tout en fruit, sec, doté d’une belle acidité qui lui conférait une belle finale.
J’avais d’ailleurs félicité son géniteur, qui était content de présenter son « premier grand sec ».
Pour ceux qui auraient l’âme sensible, c’est une taquinerie de ma part, envers un vigneron que j’estime.
Cette cuvée est issue d’une parcelle replantée en Chenin, franc de pied, par Philippe Delesvaux.
7. Vouvray, Le Mont sec, 2006, Domaine Huet.
Robe, jaune or.
Nez, des notes fugaces d’ananas, si j’osais, je dirai que l’on sent une belle maturité…
Bouche, l’attaque se fait sur une petite acidité qui se développe sur une jolie matière, assez ample, puissant. La minéralité s’exprime dans la finale. TB.
8. Coteau du Loir, Vieilles Vignes Eparses, 2006, Eric Nicolas.
Robe, jaune presque doré.
Nez, légèrement citronné, à l’aération floral.
Bouche, attaque nette, se développe sur une jolie rondeur, la finale est assez longue sur le pamplemousse rosé. TB.
9. Savennières Roche aux Moines, Domaine aux Moines, 2006, Mme Laroche.
Robe, jaune paille.
Nez, note citrique, à l’aération miellée.
Bouche, attaque un peu fuyante, le milieu de bouche révèle une belle matière. La finale est assez longue. B à revoir.
Pour moi, c’est la première fois que j’apprécie ce vin jeune, belle maturité, pas bloqué par le soufre. J’ai hâte de déguster le 2007.
10. Saumur, Les Salles Martin, 2006, Antoine Sanzay.
Peu de commentaire sur ce vin.
Nez est grillé/fumé.
Bouche encore plus désagréable…
Problème de bouteille…si quelqu’un d’autre à déguster cette cuvée…
11. Anjou, Les Bonnes Blanches, 2006, A et R Mosse.
Robe, or pâle.
Nez, légèrement réduit, nous décidons de le carafer.
Bouche, après carafage, le vin est assez tendu sur une belle matière, une belle acidité en fin de bouche. Le vin doit encore se mettre en place. Nul doute que cela sera une belle bouteille, l’air lui a fait du bien. B à TB pour l’avenir.
12. Chinon, La Croix Boissée, 2006, B Baudry.
Robe, jaune paille.
Nez, assez discret, à l’aération fleur blanche.
Bouche, attaque nette, pas d’une grande complexité, mais une jolie longueur. B
13. Le vin AfS ??? désolé
14. Vouvray, Clos Baudoin, 2006, F Chidaine.
Robe, jaune or.
Nez, fleurs blanches, à l’aération poire.
Bouche, un bel équilibre, malgré que le vin soit large, la finale est longue sur de beaux amers. TB.
15. Jasnières, Sur le Nez, 2006, Les Maisons Rouges, E et B Jardin.
Robe, jaune paille.
Nez, pas très expressif, à l’aération fleurs blanches.
Bouche, attaque est un peu fuyante, se développe sur une fine acidité. Le vin est structuré, demande du temps pour se mettre en place. B.
16. Montlouis sur Loire, Touche-Mitaine sec, 2006, Le Rocher des Violettes, X Weisskopf.
Robe, jaune paille.
Nez, floral, à l’aération des notes de fruits blancs.
Bouche, dès l’attaque le vin est équilibré, il se développe sur des notes de fruits blancs, une fine acidité donne une très jolie longueur. Ce vin est tout en finesse, il fait saliver en finale. TB.
17. Anjou, 2006, JC Garnier. Déviant…
Voilà, la dégustation prend fin, nous passons à table.
Le vin suivant faisant la transition.
18. Vouvray brut, Réserve 2002, P Foreau.
Nez, est assez complexe mêlant arômes mellifères et minéralité
Bouche, la bulle n’est pas agressive, le vin révèle une belle acidité, un bel épanouissement.
La finale est longue, mais pourrait gagner en étant plus sec. Belle bouteille.
19. VdT, Fleur Bleue, S Bouchet.
20. Saumur, Château Gaillard, 2006, S Bouchet.
21. Cuvée Mathilde, 1995, M Angeli.
Toujours aussi beau, conforme à la dégustation d’il y a un an. TB.
Deux beaux millésimes à botrytis.
22. Coteaux du Layon, La Quintessence, 1999, Domaine de Juchepie, E Oosterlinck.
Sur ce millésime, nous sommes en présence de notes iodées, une belle liqueur, très long sur une gamme d’arômes de vieux rhums. TB.
Belle bouteille, mais je ne suis pas fan de cette gamme d’arômes.
22. Coteaux du Layon, La Quintessence, 2002, Domaine de Juchepie, E Oosterlinck.
Tout ce que j’aime dans un liquoreux, une belle liqueur qui dès l’attaque révèle une belle acidité, le développement est sans à-coup, pour une très belle finale qui fait saliver. TB+
23. Sauternes, Cru Barréjats, L’Andalouse, 1997.Un ovni, c’est un joli vin, mais difficile à aborder.