Euh, je suppose qui si tu prends du Tamiflu, c'est que tu as la grippe et donc probablement 39°- 40° de fièvre.
Est-ce bien raisonnable de boire du vin dans cet état ?
L'alcool c'est bon pour la santé, ça tue les cellules les plus faibles donc il ne reste que les plus fortes par conséquent les mauvais microbes se sont dézingués par la suite. Plus simplement pour ne pas être malade, il ne faut pas aller chez le médecin.
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Le forum n'apprécie pas trop les caractères exotiques :þ
Le traitement dure cinq jours seulement... Je pense donc qu'on ne remet pas gravement en jeu sa passion du vin en ne buvant pas pendant cette période.
D'autant plus que l'organisme est attaqué par un virus, et donc assez fortement fragilisé.
Pour le reste, il n'y a pas d'indication dans la notice scientifique du tamiflu d'une interaction avec l'alcool.
C'est marrant d'avoir envie de boire du vin lorsque l'on est malade. Personnellement, dans cet état, j'ai juste envie d'un bon thé et d'une bonne couette:).
Un bon vin chaud, un grog, c'est pas mal quand même.
Méfiance avec l'effet de potentialisation de l'alcool par certains médicaments sédatifs ( benzodiazépines, neuroleptiques, antiépileptiques...) et surtout avec l'effet "antabuse" d'autres médicaments( particulièrement les antibiotiques utilisés en soins dentaires et odontologie.)
T. mauvaise expérience sur une belle dégustation de vins du rhône, j'avais l'air fin à trouver amers les vins de Stephan, de Gramenon, de Richaud avant de me dire en recrachant l'Ebrescade que la punition venait peut-être de mon dentiste!
Pas tous les médicaments heureusement pour les traitements chroniques!
L'effet "antabuse" de certains médicaments est une réaction à la prise d'alcool entrainant une perception importante d'amertume en bouche, même si le vin ou l'alcool ne sont pas avalés. Cette effet provoque une répulsion, c'est pourquoi on utilise des médicaments à effet antabuse dans le sevrage alcoolique.
Les médecins et chimistes du site sauront l'expliquer mieux que moi même.
En effet, je prends temporairement et depuis peu des médicaments le soir pour faciliter le sommeil.
Hier, à la dégustation d'un Ducluzeau 2001 j'ai trouvé la fin de bouche horriblement amère et âpre bien qu'ayant recraché le breuvage!
Même si ce vin ne m'avait pas laissé une formidable impression lors d'une dégustation antéreure, j'étais bien loin de ce souvenir.
Inquiet, je me suis retourné vers l'avis de mon père avec qui je déjeunai : légère amertume en finale mais très loin de celle que j'ai perçu.
La prise de médicament se fait la veille au coucher... Elle serait donc responsable de cette déformation passagère de mes perceptions! CHOUETTE!
Attention:il ne faudrait quand même pas vouloir faire croire que l'effet "antabuse" (p.ex. suite à des médicaments à base de métronidazole...) se limiterait à un peu d'amertume en bouche;cela peut engendrer de graves problèmes cardio-vasculaires pouvant aller jusqu'au choc...
On s'écarte du plaisir du vin mais ne banalisons pas les effets secondaires...