Merci JD de ta synthèse, ces quelques derniers messages me rappellent la loi de Brandolini, auquel un membre faisait référence dans un des sujets "chauds" du moment : un ahuri (je ne parle bien sûr pas de Silène, mais de l'auteur de l'article) balance une idée bien nauséabonde ; on a beau tous sentir que c'est du n'importe quoi, il faut un peu d'huile de coude pour le démontrer.
Pour revenir au sujet du désamour dont souffre le vin, outre-Atlantique, Patrick CAPPIELLO -ex-sommelier, désormais vigneron à Monte Rio Cellars) alertait hier sur son compte instagram sur le fait que de nombreux Domaines nord-américains étaient en train de souffrir, et que si on ne faisant rien certains d'entre eux risquaient de disparaître. La vidéo est disponible sur son compte :
Tendance
La Champenoise Marie Mascré, fondatrice de l’agence SoWine, revient sur les attributs de la « coolitude » pour un produit et s’interroge sur l’image du vin.
Marketing
Imageant la culture du vin français auprès des touristes visitant la capitale des Jeux Olympiques cet été, l’interprofession des vins de France incarne ainsi l’approche créative de sa production, et de son compte Instagram, ainsi que sa proposition de cocktails innovants dans une trentaine de terrasses.
La finale est assez glaçante (mais réaliste et valable aussi pour la filière française) : Mais pour les opérateurs de la filière vin, patienter le temps que les jeunes abstinents deviennent des consommateurs n’a pas de sens pour Rob McMillan : « attendre qu'une cohorte fictive vieillisse suffisamment pour découvrir le vin ou croire que nos stratégies "ont toujours fonctionné auparavant" est toxique pour adapter une filière lorsque le contexte qui détermine le changement de demande. »