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Mes neveux ont tous passé la soirée à la bière pourtant quand je les invite chez moi, ils préfèrent un Gevrey ou un Vosne à une 1664 !
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La question des moyens financiers et des priorités budgétaires se pose également.
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Eh bien oui ! C'est cela le problème. Je suis allé quelques fois dans un Huggy's Bar (il y en a un pas très loin de chez moi). On te propose une quarantaine de burgers, préparés sur le moment même, à à la demande. Ce n'est pas la m... du Mac Do et honnêtement, leurs burgers sont bons. Mais côté boissons, ils ne conçoivent que le "Beer pairing" : les burgers doivent nécessairement s'accompagner de bière, dont ils ont toute une variété à proposer. Pour les extra-terrestres comme moi, qui préfèrent le vin, ils te proposent quand même un vin blanc, un rouge et un rosé (plutôt ordinaires), servi au verre ou en pichet d'1/2 l et c'est tout !C'est souvent de la junk food avec laquelle la bière est bien plus adaptée (et pas du haut de gamme !)
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A 23 ans, dans les environnements non viticoles ou paysans, c'est assez normal. Au même âge, moi qui suis issus d'un milieu école de commerce tournait à la bière comme 90% des étudiants alors que je participais régulièrement au club d'oenologie. Cela a tout à voir avec l'argent, et la bière est bien plus économique à tous aspect (au bar, en OB, en pique-nique) que le vin, sans oublier son accessibilité. De surcroît, ça aide la posture d'avoir une pinte de Karmeliet devant soi plutôt que 10cl de Chablis.Ma fille de 23 ans m'a dit qu'aucun de ses amis (filles et garçons) ne boit de vin, quasiment tous tournent à la bière.
La Sorbonne n'est pas particulièrement connotée CSP-, et Science-Po a perdu énormément d'attrait pour les CSP+. Ne tournons pas autour du pot, avec le déclassement relatif de la France et le glissement assez avéré du système d'éducation supérieur français, les rejetons des grandes élites vont soit dans les grandes universités anglo-saxonnes qui ont encore un prestige mondial (Ivy League, Ox & Cambridge, UCL et LSE), ou dans les grandes écoles à prépa (Polytechnique, Normale Sup, HEC) mais Science-Po ne fait plus parti du lot des CSP++, ou alors ce sont les snobs et les imitateurs.Ses amies de lycée et de la Sorbonne n'en boivent pas, au contraire des personnes qu'elle a croisées à Sciences Po pour son Master. Vin, signe extérieur de CSP+ ?
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Une question intéressante serait de savoir si les parents de ses amis apprécient le vin ?Ma fille de 23 ans m'a dit qu'aucun de ses amis (filles et garçons) ne boit de vin, quasiment tous tournent à la bière. Elle m'a dit "Mais avec qui je vais partager ça ?". On lui a fait découvrir beaucoup de vins et elle apprécie maintenant.
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Je ne peux pas rester indifférent à ce qu'il y a écrit au-dessus et si effectivement l'enseignement sup français n'est pas en grande forme, il ne faut pas non plus sombrer dans trop de contrition. Dans certains domaines les établissements français s'en sortent plus que bien dans des classements comme THE et QS (par ex. Paris Saclay en Physique/ingéniérie pour ne pas aller chercher des établissements à concours comme PSL ou l'Institut Polytechnique) et font même mieux ques des établissements type Ivy League (attention les grosses pointures de la tech comme le MIT, CalTech, Stanford, Berkeley etc. n'en font pas partie).
La Sorbonne n'est pas particulièrement connotée CSP-, et Science-Po a perdu énormément d'attrait pour les CSP+. Ne tournons pas autour du pot, avec le déclassement relatif de la France et le glissement assez avéré du système d'éducation supérieur français, les rejetons des grandes élites vont soit dans les grandes universités anglo-saxonnes qui ont encore un prestige mondial (Ivy League, Ox & Cambridge, UCL et LSE), ou dans les grandes écoles à prépa (Polytechnique, Normale Sup, HEC) mais Science-Po ne fait plus parti du lot des CSP++, ou alors ce sont les snobs et les imitateurs.Ses amies de lycée et de la Sorbonne n'en boivent pas, au contraire des personnes qu'elle a croisées à Sciences Po pour son Master. Vin, signe extérieur de CSP+ ?
Même, je pense que les familles qui ont les moyens préfèreraient mettre leurs gamins dans des écoles de second rang à l'étranger (ça leur fait une expérience internationale et permet d'enlever leur oeillères) plutôt que de les envoyer dans les Sciences Po divers.
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Ces établissements sont assimilés à la Ivy League (on parle des Public Ivy League pour Berkeley par exemple). A la fin des fins, le ticket d'entrée tant en termes financiers que de dossier académique est très élevé (même si ces établissements pâtissent de plusieurs polémiques parmi lesquels les legacy admissions & la discrimination basée sur la race).(attention les grosses pointures de la tech comme le MIT, CalTech, Stanford, Berkeley etc. n'en font pas partie).
Premièrement c'est de l'étranger, et deuxièmement les effectifs sélectionnés sont bien plus élevés que dans nos grandes écoles, cumulé sur 20 ans, cela a un effet sur le niveau général de la population ne penses-tu pas?Toujours dans le domaine des sciences, il n'est pas nécessaire de traverser l'atlantique ou la manche, l'europe continentale compte de nombreux poids lourds : ETH & EPFL (Bravo les Suisses), TUM et TUB, Deflt, PoliMi et PoliTo, etc. A noter que la quasi totalité de ces universités étrangères fonctionnent comme des grandes écoles françaises (sélection à l'entrée), forcément ça aide
C'est un peu le drame pour tous les étudiants sérieux qui n'avaient pas de moyens financiers initiaux importants ou se sont mis à bosser avec sérieux après le bac, comme cela arrive pour beaucoup de monde.Dommage pour les collègues et les étudiants qui sont là pour faire autre chose que des AG permanentes.
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Dans ce cas, nous avons encore une marge d'amélioration sur le travail de marque. Ceci m'était venu quand j'avais rencontré une enseignante en collège britannique qui avait une diplôme en teaching d'Oxford : avons-nous l'équivalent ? Ma réponse en mon for intérieur était négative.Sur les effectifs non, beaucoup de ces établissements de prestiges n'ont pas des volumes d'étudiants très importants (c'est là ou l'état Français fait fausse route à mon sens dans sa volonté concentrationnaire). CalTech mois de 2500 élèves, EPFL 10000, MIT 11000, ETH, Cambridge et Oxford 20000 environ et ces établissements recouvre énomément de spécialités qui sont réparties sur différentes écoles en France.
Tout à fait d'accord mais je n'ai pas utilisé cet argument.Quant à la ritournelle qui chante que les grandes écoles françaises ne sont connues qu'en France et inconnues à l'étranger, c'est du pipeau: conclure sur le fait que Bob de Bismark, Dakota n'a jamais entendu parler de MinesParistech alors que Marcel d'Ussel connaît Oxford, n'a aucune valeur. Qui connaît ETH Zurich, KAIST, KU Leuven ou autres à part les gens du métier ?
Mon côté taquin pourrait noter que la forte présence de grands groupes français favorise nos fabriques à élites à l'aune de ce critère.Il vaut mieux se pencher sur la reconnaissance des écoles françaises par les industriels mondiaux dans les classements justement. Par exemple, l'institut Polytechnique de Paris est 12e mondial sur le critère "employment outcome" du QS ranking
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A un jet de pierre de certains campus EPFL il y a de jolies vignes de chasselas. Moi j'habite à côté de Polytechnique à Palaiseau, et on manque de ressources localesToujours dans le domaine des sciences, il n'est pas nécessaire de traverser l'atlantique ou la manche, l'europe continentale compte de nombreux poids lourds : ETH & EPFL
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Oui et non. Je pense plus que c'est une question de priorité. C'est d'autant plus vrai que ce sont les 20-30 qui sont devenus la clientèle la plus importante pour les grandes marques de luxe de prêt-à-porter. Ils sont même devenus plus importants, en termes de vente, que les 60+. Dans l'horlogerie aussi, la tendance est à la diminution de l'âge moyen des acheteurs.Mais encore une fois, si les jeunes délaissent le vin, c'est surtout une question de prix (extrait de l'article précité) : "Et bon nombre de ces bouteilles de référence sont inaccessibles pour une génération dont le revenu moyen oscille entre les récessions et les décennies de stagnation des salaires, oscille juste au-dessus de 35 000 $ ."
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