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Quand je pense aux 1ers G.C.C. B de Saint-Emilion, je pense au Château Magdelaine.
Je rappelle que mon expérience concerne surtout les vins de 1975 à 1990.

Magdelaine,que je connais dans 11 millésimes de cette période, me semble avoir souvent offert de magnifiques rapports "qualité/prix", comme en 1989.

1975, 1982, 1989, 1990 seraient, à  mon avis, les mieux réussis.

J'aimerais avoir vos avis et commentaires sur ce cru, pendant ces 15 ans et actuellement.

Amicalement.
Thierry

Le seul Magdelaine que j'ai en cave est du 1993.

La seule bouteille bue à  ce jour le fut il y a pas mal de temps.

J'ai le souvenir d'un vin délicieux, mais d'une grosse matière, ni très puissant, mais suffisamment riche et harmonieux pour se démarquer des autres saint-émilion du même millésime bus à  la même époque.

Comme il m'en reste, je vais tenter une nouvelle dégustation, prochainement.

Je vais devoir ouvrir une liste d'attente, car le nombre de flacons à  déguster plus tard s'accumule.

Michel.

Thierry,

Je me rappelle d'un de mes tout premier bordeaux, bu à  la pêche dans le canton des Grisons. Il s'agissait de Magdelaine 1982 et le souvenir que j'avais gardé était celui d'un très beau vin.

J'avais acheté le millésime 1989 et le millésime 1990 qui présentaient tous les deux un rapport qualité-prix vraiment intéressant.

J'ai adoré ces deux millésimes et, pour n'avoir je l'avoue, testé ce vin que dans de grandes années, en ai bien sur gardé que de très bons souvenirs !!!

Et une petite rubrique sur un de mes St-Emilion préféré (Troplong-Mondot) ?

Pascal A.

Hier soir, chez un ami, petite dégustation de vins vieux:
-Magdelaine 67
-Trotanoy 73
-Cheval Blanc 74
A mon arrivée, tous étaient déjà  en carafes

Trotanoy 73 et Cheval Blanc 74 étaient agréables à  boire et donnaient l'occasion d'une expérience intéressante (cf. leurs rubriques)

Magdelaine 67 au contraire était passé:
il me laisse une impression d'acidité et d'astringence sur fond d'arômes tertiaires de champignons, de moka et de notes de cèdre...

Il a été un des grands vins de l'année...
Si vous le voyez en salle de ventes, un conseil: ne prenez pas...

Cordialement,
Thierry

L'un ou l'une d'entre vous a-t-il déjà  pu go^uter et se forger une première impression du 98 ?
Quel prix pourrait para^itre raisonnable ?

Merci d'avance.

a lepoque ou je l'avais acheter il coutait environ 235fr,mais je l'est vu 2 fois a + de 400fr

je crois que Magdeleine est un vin qu'il faut attendre et qui ne révèle sa beauté qu'en étant totalement fondu. Comme il n'appartient pas à  la catégorie de St Emilion "fruit charnu" il n'est que peu intéressant de l'ouvrir dans son jeune âge...
j'en ai 6 bt que je garde précieusement...cotation 80 frs?

Jean-Claude Berrouet qui vinifie ce vin est un chantre du classicisme. Par conséquent, ses vins détonnent et en surprennent plus d'un car ils ne correspondent pas forcément à  la tendance actuelle "vin de garage" très extrait.
J'en ai goûté quelques millésimes il y a fort longtemps, mais c'est tellement vieux que je n'en ai pas gardé les notes qui, de toutes façon, doivent être périmées depuis longtemps.

Un de ceux qui m'ait marqué était un 1970 bu il y a environ 10 ans. A l'époque, c'était encore très tannique, bien fruité et puissant. Un très beau vin!

Dommage qu'on n'en croise pas plus souvent sur nos chemins (enneigés)...

Alain

La visite en Suisse de Monsieur Nicolas Thienpont, capitaine à  bord des fiers vaissaux Saint-émilionais de Pavie-Macquin, Puygueraud, La Prade, Larcis-Ducasse et tout récemment de Bellevue, a donné matière à  une fort agréable et instructive soirée, animée comme d'habitude de main de maître par Jacques PERRIN, membre entre autres du Grand Jury Européen.

Magdelaine 1995
(85% Merlot, 15% Cabernet franc)
Exceptionnel domaine coincé entre Ausone et Belair. Robe relativement claire avec des reflets orangés sur le bord...une telle évolution de couleur étonne vraiment pour un vin de 7 ans! Joli nez - framboise et baies des bois. La bouche est surprenante avec un impression d'algue et de tannins encore verts. La structure n'est pas très dense, relativement fluide et manque un peu de complexité avec un effet de maturité exacerbé. Selon Nicolas Thienpont, cette bouteille n'est pas réellement représentative. Jean-Claude Berrouet qui vinifie ce vin est habituellement un chantre du classicisme et ce Magdelaine 95 est clairement atypique de ce qu'il produit habituellement. 82/100.

Alain,

Je ne le note qu'une fois, mais c'est valable pour toutes les rubriques où tu es intervenu ce 14:
Un grand merci pour la qualité de l'information.
Après t'avoir lu, je vais regarder, par exemple, autrement les derniers millésimes de Larcis-Ducasse...

Amitiés,
Thierry

Y a pas de quoi, Thierry! C'est avec grand plaisir

Alain

Alain,

Peut-on mettre cette somme d'informations en édito?
Jerôme a fait le copié/collé de tous les morceaux.
Il ne manque que ton accord.

Amitiés,
Thierry

C'est trop d'honneur que LPDV me fait là ...
Si vous jugez que mes modestes impressions peuvent être d'une quelconque utilité, c'est avec un très grand plaisir

Je vais également publier ce week-end sur winemega.com un article sur cette très instructive soirée passée avec Nicolas Thienpont.

Très amicalement,
Alain

Bonjour,
Je suis à  la recherche d'infos sur le 2002 de Magdelaine.
Quelqu'un pourrait-il éclairer ma lanterne ?
Félicitations aux intervenants et géniteurs de ce merveilleux site qu'est LPV ?

Château Magdelaine 1966

La robe est absolument trompeuse. On a beau chercher des reflets tuilés, elle reste d'une insolente jeunesse ! Beau rubis, belle densité.
Le nez est assez élégant, moyennement intense. Cèdre, cuir, café. Finalement assez peu différent d'un beau médoc à maturité.
En bouche, je m'attendais à plus de gras et de rondeur (merlot oblige) mais le vin reste assez dense et élégant. La trame tannique est fine et plutôt harmonieuse. Quant à la finale, elle est assez arômatique et d'une longueur correcte pour ce type vin.

Un vin d'une certaine distinction, qui doit être à maturité depuis un certain temps déjà, ceci dit il ne présente pas de signe réel de déclin. Je conseillerais néanmoins de le boire dans 5 à 8 ans qui viennent.

90/100

Amitiés,
M@nuel.

Château Magdelaine 2001

Robe pourpre. Nez vanillé, marqué par le bois, café torréfié et fruits noirs. Bouche un peu fumée, avec un fruit expressif très agréable et velouté. Un vin de facture moderne d'ampleur moyenne, sans défaut mais quelque peu unidimensionnel et manquant visiblement de caractère. 85/100.

Alain

Château Magdelaine 1989

Comme le précisait justemment Alain plus haut dans cette rubrique, on n'a pas affaire ici à des vins nouvelle vinification, mais plus généralement à des vins ancien style.

Ce 1989 passait après La Conseillante et j'avoue que j'avais un a-priori plutôt négatif.

La couleur est pourpre profonde, beaucoup plus foncée et plus jeune que la Conseillante.

Le nez est un peu plus en retrait et demande un peu d'aération avant de laisser apparaitre des notes d'havane, d'épices douces et de petits fruits noirs.

La bouche est plus "stricte" que la Conseillante, moins suave mais ce vin n'est peut être pas encore entièrement à maturité.

On retrouve également une belle fraicheur en entrée de bouche, du gras et du velour. Belle finale rémanente et harmonieuse.

Finalement, ce Magdelaine s'en tire bien malgré le fait qu'il aurait été plus judicieux d'inverser leur ordre de passage.

Belle bouteille qui valait juste une vingtaine d'euros à sa sortie !

Saint-Emilion château Magdelaine 1998 : 15,5/16 – 25/3/07
Le vin pourvoie des notes très mûre de goudron léger, de fruits noirs et rouges (cerises confiturées, mûre, fraise). Pointe d’amande qui fera penser à un supertoscan à dominante merlot. Bouche dans un style intransigeant, opulent (alcool), avec en même temps pas mal d’acidité et de tannins un brin accrocheurs (l’Italie plane dans les esprits, encore). Une approche costaude proposée ici par le géniteur de Petrus. Gros potentiel pour vin pas si solaire que cela.

Château Magdelaine 1979

Bu en dégustation cachée. J'ai dégoté cette bouteille dans la cave d'un très bon ami qui me donne l'occasion, à 32 ans, de boire des vins d'environ mon age..
Voici mes impressions. Je n'avais jamais bu de Magdelaine, et rien de ce millésime je pense... controversé selon mon père.

Superbe nez, complexe, avec de belles notes épicées (cedre, miel). Peu d'animal me semble t-il.
En bouche, le fruit est encore bien présent, une certaine acidité également mais l'équilibre est très beau. La matière est soyeuse, l 'ensemble est très élégant, la longueur est très correcte et on sent une grande noblesse dans le verre.
Comme je l'ai lu précedement, on ne voit pas forcément une grande différence avec un vieux médoc.

En conclusion, un très beau moment, un vin raffiné, de son âge et qui a peut-être été un peu meilleur il y a quelques temps.

Amicalement,
Xavier

Château Magdelaine 1970

Bouteille bue hier soir avec ma femme pour fêter ce samedi 19/02 qui n'a rien de spécial pour nous. Cela ne sert à rien de trouver une excuse pour boire une bouteille parfois ()

Décantée avant le repas. Sinon la bouteille a été ouverte 4 heures avant.
Robe rouge avec bords orangées moyennement profonde. Je m'attendais à une robe beaucoup plus brune mais non.
Le nez est au début un peu fermé mais il s'ouvrira au fur et à mesure de la soirée. Tout d'abord il est étonnamment jeune, avec des arômes de prunes noires bien mûres, du pruneau et du kirsch. Mais ce sont les arômes de prunes qui sont le plus dominant. Ce nez à une grosse profondeur, du volume. En arrière on retrouve des notes de fourrures, d'humus, de terre humide et un peu de chocolat. Un très beau nez complexe avec des arômes précis qui semblent former des couches.
En bouche le vin débute par un touché soyeux bien soutenu par une acidité fine qui balance bien la matière. On est pas du tout sur la recherche d'une grosse matière. C'est plutôt fin et délicat. Par contre les tannins qui prennent le relais sont très nombreux et un peu rustiques. En dégustation simple, ils peuvent paraître un peu agressif par rapport à la matière. Mais par contre ces tannins vont se montrer divin avec le lapin chasseur aux petits légumes du jardin que nous avions concocté. D'un coup le grain se fait plus fin et fondu. On retrouve ces arômes de prune noire et d'humus en bouche avec une plus grande prédominance du pruneau bien noir. Au début le vin semblait un peu court mais après deux heures dans la carafe la longueur est de tout beauté.

Deux choses me viennent à l'esprit quand nous sirotions nos verres. D'abord que je ne m'attendais pas à une telle jeunesse pour un vin de 40 ans. J'en ai pas bu des centaines de cet âge mais j'ai surtout bu des Brunello et Chianti qui n'avait plus beaucoup de fruit jeune à cet âge. Et certains vins d'une dizaine année plus évolués que celui là.
Ensuite la réflexion de Mr Mauss face aux règles du classement de Saint Emilion où il met en avant que la dégustation à l'aveugle n'est pas forcément la meilleure solution et quel type de dégustation il faudrait mettre en place, il souligne le fait que le vin est fait pour sublimer un repas . Ce vin au cours d'une dégustation simple aurait été sans doute très bon mais c'est lors du repas qu'il c'est vraiment montré excellent et qu'il a vraiment montré toutes ces qualités.

En tout cas ce fût un grand moment, ma femme est né en 1970 en plus.

Vin dégusté à l'occasion d'une horizontale 2009 de certains vins de la maison Jean-Pierre Moueix, le détail Ici

Château Magdelaine 2009
90% merlot, 10% Cabernet-franc
Sol 2/3 calcaire, 1/3 argilo-calcaire
Acquis par les Etablissements Jean-Pierre Moueix en 1952

Mes impressions :
Robe : rubis
Nez : un nez simple des fruits rouges apparents et des épices en second et un léger boisé.
Bouche : une attaque franche, une évolution continue pour une finale séche. Un vin à la structure tannique indiscutable comme l’a d’ailleurs reconnu Edouard Moueix. Un vin à l’opposé d’un vin juteux et crémeux.
Bien pour moi, sans plus en l’état, à voir si son évolution fans le temps se révélera profitable, c’est tout le mal que je lui souhaite.
Vin très jeune, tannique.

Luc

Château Magdelaine 2001
Dégusté hier pendant le déjeuner. C'est un bien joli vin, tout en finesse et plein d'élégance. La robe est assez claire pour un grand bordeaux d'un grand millésime pas si vieux, le nez élégant et engageant. En bouche il y-a une matière élégante (loin du sentiment d'extraction trop poussée qui m'a frappé lors d'une récente rencontre avec un Valandraud du même millésime qui ne m'a pas du tout séduit), de la fraîcheur, une belle acidité et une pointe végétale, assez légère, qui me laisse penser que le raisin n'a pas été ramassé tout à fait mûr. Ca manque un soupçon de complexité à mon goût, mais c'est équilibré, digeste et assez pur dans le style. J'ai pris un plaisir certain à boire ce vin qui ne me laissera pas un souvenir impérissable cependant. C'est l'idée que je me fais d'un vin honnête plus que d'un grand vin.

Château Magdelaine 1982

Bouteille ouverte (=massacrée) la veille.

Après m’être battu avec un bouchon récalcitrant que j’ai finalement poussé dans la bouteille, j’ai carafé le liquide et filtré les dépôts pour remettre le liquide dans une autre bouteille pour l’aéré à l’épaule pendant la nuit.

Dans le verre, le vin présente sans conteste ces 32 ans, robe tuilée quelque peu transparente. Au nez les fruits sont dominés par les arômes tertiaires sous bois et champignon. En bouche est autre chose, même si l’évolution est là, les tannins sont absolument fondus et nous avons une explosion de fruits confits, pour moi le pruneau domine. Avec l’aération, une certaine longueur est toujours là.

Très belle expérience, je n’attendais pas une telle tenue d’un vin acheté aux enchères qui s’est pourtant très bien conservé. Cependant je doute qu’une garde plus longue puisse lui apporter plus, à part pour les amateurs du « totalement » tertiaire sur lequel il tournera.

Clément

Château Magdelaine 1998

Je n' écris plus de CR depuis un bail, ce n' est pas faute de belles bouteilles pourtant:S Mon frère passe hier soir à la maison pour fêter avec moi
mon nouveau job, je ne m' attendais à rien mais quand j' arrive, je vois une carafe avec un liquide rouge dedans!! Allez, service dans des grands verres à
bourgogne:

Robe pourpre avec un disque qui commence à tuiler.
Nous ressentons des effluves loin du verre. Un nez très complexe sur la figue, le cacao, des épices dont je ne me souviens plus, de l' humus et beaucoup d' autre chose,
vraiment superbe avec une fraîcheur qui titille le nez malgré ce nez bien mûr. A ce moment, je dis à mon frère, beau ST Emilion dans un grand millésime, 98, 01??
Bouche pleine, elle emplit la bouche avec un soyeux magnifique. Beaucoup de charme, de volupté. La finale est solaire, et malgré la petite amertume, j' ai adoré. Un
grand vin à mon goût, celui de mon frère et de tout le reste de la famille!!

Merci frérot....

Eh bien merci pour ce cr qui me rappelle ( je l'avais oublié depuis le temps) que j'en ai une caissette de 6 qui m'attend ...
Ta description me donne fort envie d'en ouvrir une bt ... un de ces St Emilion de type bourguignon ( antithèse du new style) fin et élégant comme par ex
feu Curé bon la Magdeleine que j'ai beaucoup aimé à l'époque

Tout à fait Claude, à l' aveugle même si je savais qu' on était à Bordeaux, la sensualité d' un beau pinot noir n' était pas loin.
Tu est un heureux homme! Même si rien ne presse, au contraire...

Merci pour ces C.R. d'un vin que j'ai beaucoup apprécié dans les annees 70/80, dans son style il s'apparente un peu à latour a pomerol
maintenant il est difficile de s'en procurer à des prix corrects
gerard

Château Magdelaine 1998

effectivement tout à fait excellent et parfaitement à point !
un peu plus charnu, riche et moins "bourguignon-aérien" que je ne pensais (lire ci-dessus).
Equilibre suprême et grande finesse.
Un vin qui devrait plaire aux amateurs de style classique comme à ceux de new style !

nous l'avons bu à deux avec un ex-pilier de ce forum et avons eu la même perception
St Emilion parfait ... benchmark

slurp p

ps certains St Emilion 1998 sont maintenant à point et offrent beaucoup de plaisir, par ex.: Troplong Mondot, Pavie Macquin, Beau Séjour Bécot, Monbousquet (oui, même lui ! ;-) ) et même un vin plus modeste comme Côte de Bateau ... un millésime à rechercher vu son tarif non-spéculatif

Château Magdelaine, Saint-Emilion 1er Grand Cru Classé, 1964
niveau légèrement bas

Premier nez affreux sur la vieille cave. La bouteille est simplement laissé ouverte et regoûter 3h après. Tout de suite c'est une autre histoire même en ne reniflant que le goulot! Dans le verre, c'est une véritable explosion d'arômes évolués, on les sent même à distance raisonnable du verre : bois précieux, sous-bois, poivron fumé, graphite, cuir, tabac, fruits rouges cuits. Très très joli et sans cesse changeant !
La bouche est au rendez-vous. Elle offre un grain patiné, de la fraîcheur, du volume et encore une belle densité. Au début la fin de bouche est légèrement serrée mais l'ensemble s'assouplit et gagne en harmonie avec l'aération dans le verre. Je suis totalement conquis par la délicatesse et l'élégance qui se dégagent.
Persistance solide, d'une bonne longueur, complexe, sans être non plus renversante.

Superbe bouteille qui m'a semblé atteindre son pic 1h après s'être servi le 1er verre. Quelle belle rencontre !

Marc

Château Magdelaine 2001

Nez élégant, plutôt discret sur des arômes déjà quelque peu évolués.
Très jolie bouche pleine, fraîche, élégante et élancée. La texture juteuse s’étend dans une belle finale tout en sérénité.
Un joli Bordeaux !