Pour ceux qui ne peuvent ou ne veulent aller à la Percée, voici un événement plus modeste mais qui a l'air intéressant, une brève parue aujourd"hui dans Le Progrès:

"A l’occasion de la Saint-Vincent, l’association Brin de Culture s’est associée aux vignerons locaux pour organiser la première Pressée du vin de paille le dimanche 25 janvier.

Une semaine avant la Percée du vin jaune de Frontenay-Passenans, Arlay sera tourné vers ce breuvage produit essentiellement dans le Jura. Au programme après la messe de 10 heures : sur la place du village, première pressée publique avec les 300 kg de raisin mis de côté par les viticulteurs (domaine de Château d’Arlay, les caves Bourdy, les Chais du Vieux Bourg, le caveau Cartaux Bougaud).

Le jus de la Pressée sera offert au public. Une restauration rapide franc-comtoise suivra avec une animation musicale jusqu’en milieu d’après-midi avec les groupes Souffle dans tes pieds, Acoustic Révisitor et les Boîtes Frasniennes. Une exposition sur Saint Vincent et le vin de paille se tiendra à la salle des fêtes."

Voilà- voilà...

Merci Tophe de cette info. En lisant ton post, j’ai été scotché par ce passage de l’article du Progrès que tu cites : "Le jus de la Pressée [size=small](des 300 kg de raisin mis de côté par les viticulteurs)[/size] sera offert au public."

Quand on sait que 100 kg de raisin sont nécessaires pour n’obtenir qu’entre 10 et 18 litres de moût, je m’étonne de cette distribution généreuse du précieux nectar : 300 kg de raisin produisant entre 30 et 54 litres de vin de paille, cela représente tout de même entre 80 et plus de 140 demi-bouteilles de 37.5 cl. A 20 ou 30 euros l’unité, c’est vraiment TRES généreux, à la limite de la dispersion, ou alors il y a un truc qui m’a échappé !

Y aurait-il une explication afin que, après avoir bondi virtuellement de ma chaise, je puisse m’y rasseoir sans être à nouveau sur le cul ?...