La fraude des échantillons, où la fabrication de cuvée destiné à émouvoir tel critique profite essentiellement à un système de commerce "les primeurs", si on supprime, cette dérive commerciale, qui à mon avis, n'a plus aucun sens (sauf grand format), alors le marché devrait se réguler et certains cours chuter de 40 à 70 %, mais il serait préférable pour la place de bordeaux de ne jamais perdre cet enjeu financier, vous comprendrez facilement que les négoçiants tiennent à garder leurs rentes...mais un jour, cela pourrait bien changer, c'est comme les montres suisses, il avait un monopole et puis il l'ont perdu, excuse claudius, c'est un exemple.
L'augmentation des prix à bordeaux, à facilité le travail aux nouveaux venus, les vins du monde, et ceux du sud de l'europe, au même titre que la perçée fulgurante du languedoc (car il offre un excellent rapport qualité prix) "des nombreux viticulteurs de cette région devraient se calmer au niveau des prix aujourd'hui, on a l'impression que l'histoire de bordeaux se répète?" Maintenant, il serait souhaitable, de la part des critiques et journalistes de s'intéresser à autre chose que la réputation des grands domaines, de la valeur de leurs cuvées....? on ne boit pas une nostalgie et encore moins son portefeuille, mais bien du vin, pour le plaisir qu'il procure, et seul la qualité du contenu est primordiale, qu'il soit vin de table, vin de pays, aoc, de france, de grèce, de chine, la qualité n'a aucune frontière, pour faire comprendre et admettre cette réalité aux lecteurs assidus des différentes revues, c'est pas gagné, car avant tout, ce sont les mentalités qu'il faut changer ?
Comme le précise luc javaux, chaque amateur devrait goûter avant d'acheter, et en plus connaître son goût actuel, car si le vin évolue, le goût personnel aussi, là dessus je vous laisse méditer.
Sincères salutations
Jérôme Francart