Certains cherchent François Mauss (cf rubrique "courrier" page 11). Il faut leur dire que ce dernier est avec nous, sur LPV. Pour le joindre, laisser un message sur le site est obligatoire! (aaa)
évidemment que beaucoup l'on remarqué!
Mais c'est plutôt flatteur, non? On ne peut plus se passer de nous! C'est la gloire. Et puis tant d'énergie à vouloir nous descendre, c'est qu'on doit être assez haut, non?
Où alors, Michel Bettane ne savait pas comment réintervenir sur ce forum, alors il s'est ouvert la porte. Il doit être sans doute à lire si nous avons relevé la chose! Et du coup, maintenant, il doit se dire, "et bien non, je ne répondrai, pas!"
Allez Michel, ne vous gênez plus, tout ce que le monde du vin compte d'important lit LPV et commence à y écrire. Il faudra bien s'y faire et entrer dans la danse.
Face à ce genre de diatribe qui, à priori, cache mal une rancune plutôt tenace, je propose que nous abandonnions nos pseudos et affichions clairement nos identités!...
Abandonner le pseudo qui est en train de me rendre célèbre?(aaa) Tu n'y songes pas, Philippe! L'essentiel est juste de savoir qui se cache derrière officiellement.
Michel Bettane ne signe-t'il pas MB certains de ses articles?
Comment savoir alors si c'est bien lui et pas M@nuel B. l'auteur?
Il est vrai que Michel Bettane critique fort rarement les couleurs de LPV dans ses éditos!(aaa)
Je m'adresse en particulier à la LPV d'en bas et notamment à OLif pour ne pas le citer.
Monsieur Olif ce n'est pas en dénigrant vos petits camarades et je pense en particulier à ce monsieur M@nuel B. (que je n'ai pas le plaisir de connaitre), que vous sortirez grandi et votre talent reconnu.
Vous êtes pitoyable, croyez moi !
J'explique ce qui se passe dans le forum "à propos" au sujet de la lettre des lecteurs me concernant.
Pour apporter une opinion sur ce sujet délicat des pseudos. Connaissant bien Michel Bettane, je peux vous dire, que comme Burtschy, il a essuyé sur plusieurs sites des assassinats en règle. Les deux sont pas mal échaudés par les tons d'intervention manquant de sérénité. Je me souviens de combats épiques sur iacchos au sujet du GJE où Bernard Burtschy a plus que mouillé sa chemise pour défendre nos principes. On sentait littéralement des haines tenaces, des jalousies malsaines, bref, on avait à faire à des HVM (ne pas oublier le magnum de bruno rocca au premier qui me divulgue cet audiardisme).
Le fond du problème est simple : comment voulez vous qu'un journaliste qui sort du lot puisse éviter des relations amicales avec les grands producteurs ? Fatalement il est choyé ici et là , fatalement il est reçu avec prestige, gratitude, générosité, et donc fatalement, le jour où le vin ne plaît plus, telle une maitresse qu'on quitte au petit matin, les relations s'espacent (?) se diluent car chacun sent combien il est difficile d'adorer ce qu'on a brûlé et inversement.
Rarissimes sont les dégustateurs qui arrivent à établir des relations personnelles avec des producteurs tout en gardant un ton de très grande liberté : il y en a.
Et j'en reviens toujours à mon dada : quand on achète les vins et qu'on les goûte à l'aveugle, et souvent en présence du propriétaire, on se donne un fantastique outil de liberté et on force le respect de la part des producteurs.
C'est l'immense force du michelin en gastronomie : on attend tous le michelin du vin qui viendra bien un jour ou l'autre.