Bonjour à tous

je ne sais pas si le sujet a été dejà abordé , mais li serait interressant de savoir quel est le millesime que chacun a le plus dans sa cave.

Pour ma part jai a peu prés 240 bouteilles de 1994 et autant en 1996 car ce sont les années de mes enfants , sinon pour ma consommation c est le 2001

cordialement

GUY

Pour moi, c'est 2005 suivi de 2001.

AlainD

'240 bouteilles de 1994 '

Quand je vous dis que c'est une connerie d'acheter les millésimes de naissance ......à moins que ce ne soit du Porto ou des VTardive d'alsace ! Bon courage.

Jmm

en rhones 94, il y a de très belles choses jmm.

moi 05, puis 06 puis 98.

Probablement 1990 suivi de 1961.
Mais je ne suis pas sûr de cela. C'est au pifomètre.

Encore un sujet follement passionnant qui permettra de dire non pas "c'est moi qui ai la plus grosse" mais "c'est moi qui ai la plus longue".

Donc j'aimerai m'y coller, hélas pas de millésime sur l'eau de table.

Olivier

Olivier,
Il y a quand même une sacrée incohérence entre :

"hélas pas de millésime sur l'eau de table"

et BoiPaKeDeLo

2005 (bordeaux surtout) et 2007 (Rhône et Languedoc surtout).

Cordialement.

Stéphane

Ça m'a permis de faire une statistique des vins dans ma cave.
A égalité 2004 et 2005, puis 2007 et 2006.

Cordialement
Roger

finalement,peut-être déjà 2009...

jlj

2005

1990, 2001 et 2005 sont les plus représentés !
Dans les vieux millésimes, c'est 1959 qui a le dessus

François Audouze écrivait:

---

> Olivier,
> Il y a quand même une sacrée incohérence entre :
>
> "hélas pas de millésime sur l'eau de table"
>
> et BoiPaKeDeLo

Je ne vois pas où est l'incohérence, François ? BoiPaKeDeLo ne signifie pas BoiKeDuVin !!

Olivier

Bonjour,
La réponse à la question est aisée pour qui utilise le gestionnaire de cave "Navicave" (la version simplifiée étant, de surcroit, gratuite)
A votre santé avec Domaine des Forges "Chaume 2006" magnifique. Que du plaisir.

2007 : ( a cause) de mon fils:D

1990,1988,1989, 1986, 2008, 2005 et bientôt 1774...

BoiPaKeDeLo écrivait: Encore un sujet follement passionnant qui permettra de dire non pas "c'est moi qui ai la plus grosse" mais "c'est moi qui ai la plus longue". 100%><

je suis navré , je ne peux pas participer dans votre concours - l'indication du millésime est interdite pour les vins de table, sinon, quelques caisses de Vieux Papes, achetées en 2007, 2008, 2009, 2010,...

Bonjour,

2005, 2008, 2003, 2004

Bonsoir,

en Bordeaux 2005, suivi de 2000.
En Rhone 2007.

Salutations
philippe

En Bordeaux : 1982, 1988, 1990, avec un grand trou pour arriver à 2003 et 2005

2005

2005 et 2009 (ah les Beaujolais).

2005..
suivent 2004, 2006 et 2001

Cédric

le millésime 2005

suivi par le 2009

Didier

2004 puis 2006 et 2005
cdt

Bonjour à tous,
Comme beaucoup, c'est forcément un millésime récent et de grande garde :
Bordeaux, Bourgogne, Rhone 2005,
Alsace, Languedoc/Roussillon : 2007
Amicalement, Matthieu

Millésime par quantité décroissante : 2005 - 2008 - 2006 -2002 - 2003 .

Stéphane.

En ce qui me concerne, je possède plusieurs séries d'amphores du Péloponèse, datées d'environ - 498 à - 344. Dans cette série, le millésime le plus représenté est, bien évidemment, l'année - 400 qui fût, à l'époque, reconnue comme millésime du Millénaire par bon nombre d'auteurs classiques.

Amoureux transi de ces amphores, Platon lança le débat avec son vieux comparse Socrate. Ce dernier ne voyait dans le millésime - 400 qu'une année ayant donné des vins à consommer sur leur fruit. Il préconisait d'ailleurs de socratiser les amphores sans ménagement. Si l'expression a franchi les siècles, force est de constater que c'est bien Platon qui avait raison, préférant descendre secrètement en cave pour déclarer son amour à ses bouteilles en leur promettant de ne pas y toucher.

Platon le note d'ailleurs IC sur C, avec le commentaire suivant "Mon amour pour ce vin ne concerne que ma psychè". Nul ne sait encore ce que cette mystérieuse phrase signifie, mais toujours est-il que les amateurs s'arrachent encore les rares amphores de ce millésime.

Ces flacons prestigieux sont suivis de près par une série de très belles amphores Roma D.O.P. de l'année 50, appellation et millésime reconnus par Pline l'Ancien dans son "Histoire naturelle" comme ayant donné, je cite, "le plus divin des nectars".

Buvant une coupe de Roma 50 Tenuta Ben Hur lors d'une mémorable orgie gravée dans le marbre par la Revue du vin de l'antiquité, Pline l'Ancien se serait écrié : "Mâtin, quel pinard !" donnant ainsi le coup d'envoi d'une des plus fabuleuses campagne de primeurs qu'ait connu le monde romain.

Saxons et Angles se seraient ainsi rués sur les galères destinées à l'approvionnement du marché local, faisant passer le prix de l'amphore de 2 à 3 sesterces hors droits de douane. Avec pour conséquence de mettre à mal l'approvisionnement des garnisons de Germanie et de frustrer l'amateur gaulois.

Ce dernier, dépité d'être privé du Top du Top des vins de l'époque, se serait alors lancé frénétiquement dans la viticulture en se promettant de prendre les Romains à leur propre jeu. C'est ainsi que se développa le vignoble de Burdigala... Avec les conséquences que l'on connaît.

Et comment passer sous silence les 11 fioles de Vézelay 1146, sorties à l'occasion du prêche de la 2e croisade par Bernard de Clairvaux ? Ce vin a été commercialisé sous la marque "Soie de la Tripaille" avec une très belle enluminure sur laquelle figure un Sarrasin éventré par un Hospitalier de Saint Jean de Jérusalem. Mais souriant, le Sarrasin ! Car heureux d'avoir pu goûter au produit-phare de l'époque. Collector.

Inutile de rappeler à l'amateur que ce divin flacon, béni par Bernard de Clairvaux lui-même, a lancé la mode des étiquettes millésimées dont s'inspire encore Philippine de Rothschild.

Enfin, sachant que votre temps est précieux, je passerai brièvement sur mes Chambertin 1815 de sinistre mémoire.

Sur ce, bon dimanche.

Vincent

Voilà que cette rubrique commence enfin à susciter en moi un peu d'intérêt.

Merci Vincent.

Luc

Du vougeot au sommet de son art