cmch écrivait:

---

> D'accord avec toi JC, à moins de 20€, c'est
> correct mais au dessus de ce prix là je trouve
> beaucoup mieux ailleurs...-

Des noms ?

@ Hermès

Facile! En-dessous ou légèrement au-dessus de 20 EUR, en Languedoc-Roussillon: Montcalmès, Clos Marie, Mas Jullien, Mas Bruguière, Barral, Les Aurelles, Edre, et puis aussi, découvert très récemment: Cazaban (Cabardès). Et sûrement beaucoup d'autres, auxquels je ne pense pas en ce moment précis!

JC

Merci

ca en fait au moins 2 que je ne connaissais pas (aurelle et cabazan) ...je vais pister pour tester puisqu'en général tu as bon gout

En plus des noms ci-dessus, Le Pradel et le Pigeonnier de la Terrasse d'Elise, la grande cuvée du Mas Laval, presque toutes les cuvées du Mas Foulaquier, la Copa Santa de Clavel, Campredon, L'Esprit de FontCaude et Les Boissières d'Alain Chabanon, la Boda et les Cocalières d'Aupilhac, L'infidèle et les Combariolles chez Cal Demoura, Guilhem et Léonie chez Terre Inconnue, Aux Temps d'Histoire au domaine du Grand Arc, Romain Pauc de La Voulte Gasparets, le Bois des Merveilles de Jean-Baptiste Sénat, les Crès de Borie la Vitarèle, Acutum et Amicytia au Mas de Cynanque, et j'en oublie, tout ça, dans des styles très différents, offre à mon goût (nettement) plus de plaisir que Daumas-Gassac (en même temps, du fait de l'encépagement, DG est difficile à comparer à ses voisins, immédiats ou non). Et je ne cite, volontairement, que les cuvées les plus ambitieuses.

Le tout en restant aux alentours de 20€, c'est en dire en prenant l'hypothèse du tarif primeur, qui n'est pas la bonne référence lorsque l'on parle d'acheter en petites quantités...

Mathieu

Je suis le seul à trouver pour le moins bizarre de considérer le prix primeur départ domaine par 6 comme étant le prix de référence du vin ? Paradoxal... Au mieux, ça prouve bien que le prix est artificiel. Pour ma part, je trouve plusieurs raisons de ne pas prendre en compte ce prix. 1. Il faut ajouter la livraison. 2. On prend un risque important à l'achat (ce qui a un coût). 3. On supporte 2 ans d'investissements (que l'on devrait réévaluer en fonction de la prise de risque)... Conséquemment 18€ est un prix complètement vide de sens. Le vrai coût n'est pas si éloigné que ça des 30€. Ceci étant, meme 18€ c'est très cher.

Pour ma part : Montcalmès, Les Eminades, Bordes, Mas de Cynanque, Clos Rivièral, Mas de Martin,...
Salutations vineuses,

Christophe

hyllos écrit: Je suis le seul à trouver pour le moins bizarre de considérer le prix primeur départ domaine par 6 comme étant le prix de référence du vin ? Paradoxal...

Non, c'est justement là-dessus que je concluais mon message précédent... et je te rejoins tout à fait, ce n'est pas le prix pertinent pour comparer avec le prix de vin achetés en bouteille et en petites quantités, car ce n'est ni le même produit ni le même service.

Mathieu

à moins de 20 euros, je citerai ausi Mas Laval (demander au domaine de recevoir leur offres primeurs = paiement en janvier - février pour les récupérer en mai-juin, avec la grande cuvée à 15 euros et les pampres à 7 euros), et le Mas de la Serrane (clos des immortelles à 12 euros et antonin et louis à 17.5).

Sinon, concernant Daumas Gassac plus précisément, j'ai ouvert un 94 qui nous a déçu, surtout en bouche avec des tanins assez secs et peu de persistance.
mathias

DG 1995 et DG1999 bus au cours des fêtes de fin d'année étaient excellents, mais ils avaient été ouverts à 9H30 pour être bus au repas de midi.
Un peu plus tôt j'ai bu un 1997 et un 2002 années trés moyennes mais ces 2 vins se sont avérés délicieux.
Daumas Gassac ne fait pas des vins "au goût dit moderne" jamais "body buildé" et évidemment jamais comparables aux cuvées de syrah/grenache de la région bien qu'il y en ait d'excellentes. Ces vins respectent me semble t il le millésime.
Il y a aussi la cuvée E Peynaud qui peut rivaliser avec bien des crus classés de Bordeaux en tout cas pour 2001 la seule que j'ai gouté en août dernier.
Pour moi DG a raté trés peu de millésimes depuis son premier 1978. Comme dit B. Burtschy "qui peut en dire autant?" A mon avis il faut au moins 10 ans de garde pour les apprécier.
C'est aussi pour moi un des 4 ou 5 plus grands vins de la région avec Peyre Rose, La Grange des Pères , Prieuré de St J de Bébian et Hortus.
cordialement

Alcas,
"Pour moi DG a raté trés peu de millésimes depuis son premier 1978." ==========> Ainsi dit, nous pouvons conclure que tu les as tous bu. Est-ce bien le cas ?
Personnellement, en rouge et en blanc, mon expérience va de 1990 à 2003. Et d'ailleurs, ça me suffit : un seul rouge a retenu mon attention : 1990; un seul blanc retient mon attention : 1992. Le reste : peu d'intérêt. Ah oui, tu vas me dire, il faut attendre !
Certes, mais pour les rouges 1991, 1992, 1993, 1994, 1995, etc.........................., ils devraient être prêt à boire, non ?
Eh bien, désolé, c'est de la daube ! Ils ne sont pas bons, n'ont jamais été bons, et ne seront JAMAIS bons.
Quant au rouge 1985, les tannins étaient asséchant en finale en 1990.
"Pour moi DG a raté très peu de millésimes depuis son premier 1978."===========> Pour moi, il les a presque tous raté (tout au moins, pour ceux que j'ai bus : de 1990 à 2003).
"C'est aussi pour moi un des 4 ou 5 plus grands vins de la région avec Peyre Rose, La Grange des Pères , Prieuré de St J de Bébian et Hortus. "======> Quelle horreur : comparer les vins de Marlène à ceux de Daumas-Gassac. !
Je sais bien que nous devons respecter les avis de tout le monde, mais je ne peux pas laisser dire que MDG est du niveau de Peyre rose.
nb : je ne parle que de ce que j'ai bu.
Cordialement
philippe loiseau

Il y a aussi la cuvée E Peynaud qui peut rivaliser avec bien des crus classés de Bordeaux en tout cas pour 2001.

Si tu veux parler du prix de vente, je suis d'accord...
C'est vrai que c'est une très belle bouteille, mais pour 100 € (et encore, c'est le prix primeur), c'est le moins qu'on puisse espérer.

En ce qui concerne le rouge "classique", si je trouve effectivement que les millésimes des années 1990 tiennent bien la route, je suis beaucoup plus dubitatif pour les les derniers millésimes, où on semble confondre finesse et maigreur.

Luc

Philippe,

tu as réellement acheté pendant 14 ans un vin qui te déplaisait à ce point ?

Luc

Luc,
Je confirme que j'ai été client (et que j'ai acheté) chez DG.
Explications : de passage à Aniane (il y a fort longtemps), j' ai été conquis par le rouge 1990. J'ai acheté donc du 1990 et du 1985 au domaine.
J'ai acheté par la suite, tous les millésimes. J'ai été émerveillé par les blancs au début des années 90. Très grand souvenir du 1992.
Puis les blancs sont devenus quelconques.
A la réception des rouges, je me disais qu'il fallait en goûter de suite, puis laisser vieillir (j'appliquais les préconisations du créateur).
Mais j'ai dû me résoudre à l'évidence : AUCUN intérêt de boire ces vins dans leur jeunesse; aucun intérêt de les attendre (à quelques trop rares exceptions près).
Il y a mieux à faire ailleurs !
Conclusions :
- n'acheter que ce que l'on déguste
- ne pas croire systématiquement la presse spécialisée
- être en mesure de reconnaitre ses erreurs. Je suis d'accord, j'ai mis du temps !
Cordialement
philippe loiseau
nb : je ne comprends pas que l'on compare Domaine Peyre rose et MDG : des vins qui ne sont pas sur la même planète (ne serait-ce que pour la durée de l'élevage).

philippe loiseau écrit: nb : je ne comprends pas que l'on compare Domaine Peyre rose et MDG : des vins qui ne sont pas sur la même planète (ne serait-ce que pour la durée de l'élevage).

Cela semble évident, et Daumas-Gassac n'a rien à voir avec les autres vins du Languedoc, ne serait-ce que du fait de l'encépagement et du style de vin. Par contre, on peut les comparer en terme de plaisir, tout à fait subjectivement... [size=x-small]Et rapporter cela au prix, aussi.[/size]

C'est le sens du petit jeu un peu facile des listes de la page précédente, et cela me semble le seul possible. Et là, je rejoins tes conclusions, même si mon expérience est nettement plus limitée (le millésime le plus ancien que j'aie goûté est 1998 - dégusté récemment -, et depuis, l'ensemble des millésimes depuis le 2002).

Par contre, il faut reconnaître que désormais, leur présence sur les salons (ils sont partout!) permet de se faire une idée par soi-même sans trop de difficulté.

Mathieu

DAUMAS GASSAC Blanc 2004

Bouteille ouverte à midi pour aération et gardée au frais jusqu'à ce soir.
Belle couleur or paille jeune,vin brillant et limpide.
Le nez est vif ,aromatique sur des notes fruitées très plaisantes.
En bouche le même plaisir avec de la vivacité,beaucoup de fraicheur et un fruité qui a évolué.
Jeune les notes exotiques (manseng?) semblaient dominer,mais aujourd'hui j'y décèle surtout les aromes d'un chenin type Montlouis en phase secondaire .
C'est très très bon.Entre l'apéritif et un beau tronçon de cabillaud au four juste arrosé d'une délicieuse huile d'olive australienne NULLAMUNJIE,j'ai bu la moitié de la bouteille de DAUMAS.Si je ne m'étais retenu.....
Après une période de fermeture 2009/2010,ou il était peu à son avantage,le vin s'est ouvert et a gagné sur tous les plans.
Il me rappelle le 2002 au même âge un poil de sucrosité en plus

Je suis enchanté de faire une rencontre avec un Daumas de qualité, c'est la première bouteille depuis longtemps et je m'en fais l'écho avec tout autant de plaisir.

Daumas Gassac rouge 2003
Nez profond a défaut d'être follement complexe. Très nettement identifiable comme CS (même si ce n'est pas 100%, l'impression est dominante). Bonne maturité, fruit frais mûr. Pas de trace d'évolution. En bouche, c'est rond, tanins bien intégrés et légèrement épicé. Jolie matière aussi. 81/100.

C'est un vin recommandable, sans doute à conserver encore 2 ou 3 ans pour le conduire à sa maturité. Il ne me semble pas qu'il tiendra 10 ans (mais on peut se tromper). A noter que l'oxygénation ne lui a pas du tout été favorable : c'est à ouvrir 15 minutes avant service. Après toutes les déceptions sur ce domaine, c'est enfin un rayon de soleil !

Pour le débat tarifaire, c'est un vin qui serait d'un rapport q/p correct pour 20€
Je le mettrais volontiers dans une aveugle sur Bordeaux pour voir comment il sort.

Daumas blanc 2002 complétement oxy, la soirée d' hier commence bien. Suivent VCC 1988 bouchonné. Bouteille
de secours, léon barral jadis 99 oxy elle aussi. Les larmes n' étaient pas loin...

J'ai renoncé au dernier moment (la commande était dans l'enveloppe !) au 2005 à 17€ en primeur. Je le regrette amèrement. Un ami sommelier me dit que 1982 en magnum fut une de ses expériences les plus envoûtantes...

toscane écrivait:

---

> J'ai renoncé au dernier moment (la commande était
> dans l'enveloppe !) au 2005 à 17€ en primeur. Je
> le regrette amèrement. Un ami sommelier me dit que
> 1982 en magnum fut une de ses expériences les plus
> envoûtantes...

1982, sans doute, 2005... j'ai des doutes que ce soit transcendant... m'enfin, on verra bien.

A mon avis, il n'y a pas de regrets à avoir.

Dégusté à l'apéritif Dimanche soir.

Le vin ne se présente pas bien bien que le nez soit plutôt flatteur assez florale.

La robe est or paille, le nez est sur la violette et la mangue, le viognier s'exprime fortement.
La bouche est plus discrète, très minérale, peu de gras, pas encore bien construite. La finale est de longueur moyenne.
On sent que le vin n'est pas tout à fait en place, il va s'améliorer avec le temps, mais cela n'est tout de même pas transcendant...

Je m'attendais à autre chose, j'ai été quelque peu déçu par ce vin qui nous a tous laissé une sensation d'inachevé.
Je penses qu'il mérite d'être oublié quelques années en cave, et qu'il n'a pas été dégusté à son apogée.
Mais pour une bouteille à 38 €, cela ne m'inspire pas beaucoup...

Ma note : 14/20

Jean-Aubert

A mon avis, le problème du 2008 c'est justement ce manque cruel de complexité. A part le côté Viognier du sud, c'est le néant. Contrairement à ce que vous dites, je pense que c'est un vin à boire rapidement car il va juste s'oxyder par la suite et perdre ce fruit assez plaisant.

C'est un vin buvable mais atrocement cher, car c'est vraiment du niveau d'un VDP standard !

Couleur rouge pourpre, foncée et dense. Le vin n’est absolument pas marqué par la chaleur du millésime même si l’alcool et la puissance caractérisent un vin du Sud.
Dès l’ouverture, il présente un profil aromatique équilibré. Les fruits noirs mûrs (cassis et groseille) sont enveloppés d’une belle trame torréfiée (chocolat et café), l’élevage est bien dosé et intégré.
Il fait par ailleurs preuve de profondeur et d’une structure relativement complexe.
En bouche, l’équilibre est indéniable, avec de nouveau de beaux fruits mûrs, fondu, et un tout début d’évolution avec l’apparition d’arômes plus sous bois, humus.
La longueur est correcte avec une belle persistance sur des arômes torréfiés.
On reconnaît la présence du cabernet sauvignon mais sans les notes de poivron.
Ce vin se présentait en magnum, dégusté une demi-heure après l’ouverture, il a été tout de suite agréable à boire puis sa complexité aromatique et son équilibre en bouche se sont affirmés au fur et à mesure de l’oxygénation et tout au long du repas (cuisine indienne).
Mariage plutôt réussit avec cette cuisine dont les épices se sont confrontées harmonieusement à la chaleur et la structure du vin.
Cdt
Bob

oenopol écrivait:

---

> Bouteille
> de secours, léon barral jadis 99 oxy elle aussi.
> Les larmes n' étaient pas loin...

Heu.....
En même temps, jouer Barral en roue de secours, faut aimer le risque X(
C'est plutôt APRES barral qu"il faut prévoir une quille de secours, non ?

bob972 écrivait:

---

> Couleur rouge pourpre, foncée et dense. Le vin
> n’est absolument pas marqué par la chaleur du
> millésime même si l’alcool et la puissance
> caractérisent un vin du Sud.
> Dès l’ouverture, il présente un profil aromatique
> équilibré. Les fruits noirs mûrs (cassis et
> groseille) sont enveloppés d’une belle trame
> torréfiée (chocolat et café), l’élevage est bien
> dosé et intégré.
> Il fait par ailleurs preuve de profondeur et d’une
> structure relativement complexe.
> En bouche, l’équilibre est indéniable, avec de
> nouveau de beaux fruits mûrs, fondu, et un tout
> début d’évolution avec l’apparition d’arômes plus
> sous bois, humus.
> La longueur est correcte avec une belle
> persistance sur des arômes torréfiés.
> On reconnaît la présence du cabernet sauvignon
> mais sans les notes de poivron.
> Ce vin se présentait en magnum, dégusté une
> demi-heure après l’ouverture, il a été tout de
> suite agréable à boire puis sa complexité
> aromatique et son équilibre en bouche se sont
> affirmés au fur et à mesure de l’oxygénation et
> tout au long du repas (cuisine indienne).
> Mariage plutôt réussit avec cette cuisine dont les
> épices se sont confrontées harmonieusement à la
> chaleur et la structure du vin.
> Cdt
> Bob

Le moins qu'on puisse dire c'est qu'on est d'accord....

Remarque c'est logique vu que c'est quand même très nettement inspiré de moi-même

Bouteille de secours, léon barral jadis 99 oxy elle aussi.
Les larmes n' étaient pas loin...

Il y a un an sur un magnum du même Jadis 99, même catastrophe. C'est pas une roue de secours qu'il faut, c'est un train de pneus ><

Bouteille bue hier soir avec quelques amis
une robe rouge grenat poupre très légèrement orangée, dense et profonde
le premier nez a du mal à se dévoiler mais très rapidement des arômes de sous bois, champignons, musc, boisé apparaîssent, on sent également l'alcool et la chaleur
la bouche est agréable, car la puissance a laissé la place à de la souplesse, belle longueur sans être exceptionnelle, persistance sur les odeurs de torrefaction, le végétal et le bois. on sent la présence du cabernet.
dégusté à l'aveugle, certains pensent qu'il s'agit d'un pauillac ou saint julien, d'autre à un chateau simone.
Avis général: une belle bouteille
bob

Bu aussi hier soir : très belle bouteille en effet.

C'est velouté, une belle profondeur, élégant sur un bon volume en bouche. Je l'ai trouvé très fruité avant tout autre arome, complexe, avec une belle tenue en finale. Je n'ai pas senti d'alcool, l'équilibre est très bon.

A son apogée à mon sens.

La qualité du bouchon est exceptionnelle, c'est à noter.

Jmm

Beaucoup d'appréhension sur ce vin décrié. Et ouf, belle surprise sur ce rouge 2003.
Nez sur la cerise au kirsh, légèrement épicé, thym, romarin.
En bouche, la première impresssion est fidèle au nez, sur la cersise au kirsh, avec un côté chaleureux mais contrebancé par une belle acidité "acidulée" au niveau du ressenti du fruit.
Le cabernet est aisément identifiable mais sur un côté sudiste sans présence exacerbée du poivron.
Bel accord sur un fondant de pintadeau farçi aux poires réduction de pain d'épices pour madame et sur un filet d'agneau en brick réduction au romarin pour moi.
Néanmoins, si le vin est agréable et équilibré (plus que puissant) et reste dans un registre frais, on trouve bien mieux dans cette gamme de prix sur la région.
Servi vers 16°, en se réchauffant, le côté "cabernet bordelais" se marque plus.

julmar écrivait:

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> Beaucoup d'appréhension sur ce vin décrié. Et
> ouf, belle surprise sur ce rouge 2003.
>

Vous noterez que nous sommes déjà deux dans le mois passé à avoir critiqué positivement ce millésimes. Par ailleurs il est remarqué plus haut que 2003 est plutôt bon. Donc 2003 n'a jamais été vraiment décrié, aucune surprise mais bien la confirmation que il sort bien. Ou au minimum est intéressant.

hyllos écrivait:

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> julmar écrivait:
>

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>

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> > Beaucoup d'appréhension sur ce vin décrié. Et
> > ouf, belle surprise sur ce rouge 2003.
> >
>
> Vous noterez que nous sommes déjà deux dans le
> mois passé à avoir critiqué positivement ce
> millésimes. Par ailleurs il est remarqué plus haut
> que 2003 est plutôt bon. Donc 2003 n'a jamais été
> vraiment décrié, aucune surprise mais bien la
> confirmation que il sort bien. Ou au minimum est
> intéressant.

C'est en effet ce qui m'a poussé a déguster le 2003, sinon, les autres millésimes et les pages précédentes de ce post ne font pas l'éloge du domaine, je confirme donc vos dire sur 2003 qui n'est pas un vin d'exception mais un très beau vin.