De mon experience de reunion, je puis vous assurer que le mieux est l ennemi du bien et qu'il convient de faire quelquechose de simple : un menu unique.
Pour les LPViens de province, je peux, en fonction du nombre de participants et du budget hebergement, proposer une selection d'hotels à Paris. N'oubliez pas que Juin est un mois tres chargé en terme d'afflux touristique à Paris. Il faudra anticiper vos reservations.
Etant l'héritier putatif de Loup, je trouve ce jeu de mots d'une faiblitude, d'une étroititude qui frise l'incident diplomatique.
Comme dirait la madonne de la muraille, "vive la Chine libre".
Et, pour rester sur ce thème diplomatique et répondre à la délocalisation, je dirais : "il n'est Québec que de Paris".
Je suis partant si des thèmes sont retenus. En effet, outre la rencontre elle même, j'apprécie de pouvoir comparer des vins "comparables" au niveau appellation ou cépage. Pour nos rencontres mensuelles, deux thèmes sont retenus, lors de la "première", il y en avait 5.
Ou alors il faut faire le contraire : un plat et pour l'accompagner, différents vins totalement différents... Plus dur à planifier !
Ensuite, pour fâcher un peu ! La réunion commencerait vers 12H30-13H00 ? Oui car lors des nocturnes, le rythme est parfois soutenu. Si nous sommes plus nombreux faire connaissance prendra plus de temps, cela me parait naturel.
On peut envisager des réservations chez Mouton, Lafite Latour etc sur un ou deux jours, puis louer une salle où chacun apporte de quoi festoyer...
Si non, je peux me renseigner au sujet de restos qui pourraient accueillir du monde... J’ai quelques idées... Faut-il encore décider d’une ville, je pense avant du thème principal, car peut-être que les propositions, et que les présents, dépendront de l’endroit choisi...
Tres bien ces idées !
Je vois deux types de meetings.
Le premier pour LPV Paris. Ca ferait deja bien 30 personnes.
Le second type, pour tout LPV celui là, ca ferait bien plus de 100 personnes.
Les deux m'enchanteraient. A chaque fois, il faut faire le plus simple possible question logistique, donc restauration assise me parait indispensable.
Apres, pour le vin, toutes les fantaisies sont possibles (differencier les tables selon les regions des vins, les types de vins, ... ou bien un meme type pour toutes, ou bien n'importe quel type sur n'importe quelle table ...).
Je suis OK pour preter main forte aux deux types de réunion.
Dominique
Je vais faire un peu vieille combattante, mais à l'époque de Iacchos, on avait organisé une fois une rencontre comme ça. Pas de limite de nombre de participants, des tables de 10, chaque table partage les bouteilles apportées par chacun des participants de la table. Donc tout le monde ne goûte pas tous les vins. Cependant cela s'est très bien passé. Diner assis dans une école hôtelière. Après le plat principal, les gens ont commencé à circuler dans la salle, on a goûté les vins des autres tables, pas exhaustivement bien sûr, mais avec 10 par table, il reste des fonds de bouteilles. On peut faire des table de 8 aussi. Les seules bouteilles en commun étaient les bouteilles qu'on a ouvert à l'apéritif, coûts partagés. Ce n'était pas du tout le foutoir, bien que les participants devaient bien dépasser les 50. Cela s'est très bien passé et tout le monde est reparti ravi.
Thien, j'avoue que mon idée vient en droite ligne de cette réunion de Iacchos à laquelle j'étais aussi et que j'avais trouvé particulièrement réussie (il y avait même des "vedettes" comme Bernard Burtschy !
Pour moi c'est la meilleure solution :
- un dîner (ou déjeuner si on fait ça le samedi midi) assis
- des tables de 8 (maxi 10)
- un apéritif commun
- une gestion des vins indépendante par chaque table
Le reste, buffet "open", location de salle dans un château, etc., me paraît totalement irréalisable.