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Pour apporter un élément au débat sur la transcription du terroir par le vin, en nature ou non nature, voici un morceau de l'encart sur le domaine Cheveau (maconnais) dans le dernier "Bourgogne Aujourd'hui":
En cave, deux cuvées sans sulfites viennent d'être lancées: beaujolais blanc et beaujolais-villages rouge. "Ce sont 2 vins de copain, de fruit, de plaisir, c'est très bien mais ce n'est pas en projet pour les parcellaires de pouilly-Fuissé", assure Aurélie. "Nous nous demandons en effet si en travaillant sans soufre, on ne perd pas en précision dans l'expression des terroirs". Un bon sujet d'article pour un prochain numéro...
Et une belle promesse de débat sur ce fil .
Bibi
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oui je sais bien qu'il n'y a pas que du positif mais comme il y a aussi des effets positifs, je comprends un certain intérêt environnemental. Mais pour le "nature" ?Le Bio, Enzo, est mauvais pour l'environnement à certains égards.
Bilan carbone catastrophique et mauvaise exploitation des sols. Il me semble que le GIEC a d'ailleurs épinglé la production bio en disant qu'elle n'était au contraire pas durable.
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Ca n'est pas la question, je mentionne simplement cet élément.Est-ce que le bilan carbone prend en considération la procédure de fabrication des divers intrants chimiques, aussi ?
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tu ne parles que du carbone hein (même si c'est surprenant vu le transport), ce qui ne me semble néanmoins pas l'essentiel dans le cas présent mais c'est un autre débatSur le même trip, des calculs ont été fait sur le bilan carbone des agneaux produits en France vs NZ et le bilan est plus mauvais pour le local.
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Je ne parle que du carbone. Et ça n'est en fait pas étonnant. Le transport au long cours, particulièrement en bateau n'a un impact que très modéré en terme de bilan cabone par rapport par exemple au simple transport sur circuit court (et donc non optimisé). C'est la production qui est le plus gros emetteur et dans le cas présent, la production est plus optimisée en NZ que dans nos montagnes.
tu ne parles que du carbone hein (même si c'est surprenant vu le transport), ce qui ne me semble néanmoins pas l'essentiel dans le cas présent mais c'est un autre débatSur le même trip, des calculs ont été fait sur le bilan carbone des agneaux produits en France vs NZ et le bilan est plus mauvais pour le local.
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ça ressemble même à de l'acétate d'éthyle qui est en effet est souvent accompagné de volatile. c'est un défaut qu'on peut retrouver sur les natures souvent mais pas que. Parfois c'est aussi un défaut fluctuant selon la période de dégustation (pas la volatile, l'acétate)c'est assez difficile à définir, et me fait penser à du vernis à ongles (sur les rouges uniquement).
C'est la fameuse volatile. C'est comme les Auvergnats . Quand il y en a un peu, ça va (ça peut même être un plus). C'est quand il y en a beaucoup que ça pose problème
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Ouaip, je supporte pas ce truc... La volatile seule, je peux passer dessus mais quand ça vire vernis ou pire le côté lacté... et dans les sans soufre que j'ai goûté à Wine Paris, c'était la thématique. Je trouve ça imbuvable (enfin, dur de se faire plaisir).
ça ressemble même à de l'acétate d'éthyle qui est en effet est souvent accompagné de volatile. c'est un défaut qu'on peut retrouver sur les natures souvent mais pas que. Parfois c'est aussi un défaut fluctuant selon la période de dégustation (pas la volatile, l'acétate)c'est assez difficile à définir, et me fait penser à du vernis à ongles (sur les rouges uniquement).
C'est la fameuse volatile. C'est comme les Auvergnats . Quand il y en a un peu, ça va (ça peut même être un plus). C'est quand il y en a beaucoup que ça pose problème
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je parlais de perception, on peut percevoir l'un sans l'autre.L'acidité volatile englobe l'acétate d'éthyle et l'acide acétique.
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les notes de vinaigre blanc sur les blancs ou sucre, c'est souvent la volatileC'est d'ailleurs souvent un moment de gêne lors d'une dégustation avec un petit vigneron passionné.
J'ai cependant peu, ou pas d'expérience sur des blancs natures de ce genre de problèmes.
Est-ce spécifique aux vins rouges ?
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"Pour le vin nature, moi je constate que je peux (malheureusement) exagérer un peu en buvant la moitié de la quille le soir, alors que je bosse le lendemain, réveil à 5h, généralement en pleine forme. Ce qui n'est pas autant le cas s'il m'arrive de déraper avec un vin classique. On sent donc que c'est d'avantage moins nocif (remarquez que je n'ai pas dit bon) pour le corps.
On pourra aussi prendre en compte l'aspect direct avec le raisin, je n'y suis pas insensible. "
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Cliché absolument infondé. Tu ne sens rien du tout, c'est une pure vue de l'esprit, jusqu'à preuve du contraire."Pour le vin nature, moi je constate que je peux (malheureusement) exagérer un peu en buvant la moitié de la quille le soir, alors que je bosse le lendemain, réveil à 5h, généralement en pleine forme. Ce qui n'est pas autant le cas s'il m'arrive de déraper avec un vin classique. On sent donc que c'est d'avantage moins nocif (remarquez que je n'ai pas dit bon) pour le corps.
On pourra aussi prendre en compte l'aspect direct avec le raisin, je n'y suis pas insensible. "
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