La robe de ce Lafaurie Peyraguey 1998 est bien jolie.Or très foncé même bronze comme l'écrit Pierre.
Au nez c'est bien net,fruité,abricot,mandarine,miel et vanille.
En bouche c'est nettement moins bien.Voilà un ensemble lourd,sucré,vanillé avec une absence d'acidité pénalisant l'ensemble. La finale est courte.J'ai l'impression de revenir x années en arrière quand on servait des médiocres Monbazillac aux repas de communion.
Qu'on est loin de la qualité du 1997.
Bernard

Château Lafaurie-Peyraguey 1944

bouteille haute-épaule, bouchon d'origine retiré entier.
La couleur est ambrée foncée, légèrement trouble.
Le nez est sur le caramel, la figue séché, le pruneau et le raisin sec.
Le sucre ce fait discret, on sent le millésime compliqué, autant à la vigne, que son contexte historique.
Donc un vin avec une liqueur assez fine, pas très longue, mais c'est bon et aromatique.
cela était sûrement très bon, mais cette bouteille et un peu fatiguée.

Bien

jmw

Une étiquette hommage au dernier millésime de Denis Dubourdieu :

www.vitisphere.com/a...


Philippe

Château Lafaurie-Peyraguey, Sauternes 2002

Bu en août 2017

Nico: on termine avec ce Lafaurie, plus "passerillé" que Botrytis avec ce côté fruits confit, couplé avec les fruits secs (les treize desserts ) d'une belle finesse, assez féminin pour un Sauternes (çà fait plus Barsac) ...çà finit bien l'impro car c'est d'une digestibilité appréciable pour la région à défaut d'une grande complexité / profondeur...

JB: Une bouteille marquée par son millésime, peu concentrée, mais qui passe bien. Pour le coup, on n’a pas fini la bouteille, laissant un peu d’honneur sur le champ de bataille, mais en sortant avec un peu plus de dignité.

Bu chez Benji

Château Lafaurie-Peyraguey, Sauternes, 2003



Robe ambre très teintée.
Nez classique, sur la confiture d'abricot et de puissantes notes safranées.
Bouche riche, sur une sucrosité pleine mais sans lourdeur ni morsure, avec une belle acidité et surtout un volume et des amers qui lui apportent structure et relance.
L'ensemble reste encore assez riche mais peu s'approcher sans souci.
Finale agréable sur de beaux goûts de calissons et de safran.
Bien.

L'étiquette est passée entre les griffes de leur chat ?

A l’occasion d’un repas de famille j’ai servi deux bons vins.

Pour accompagner un bon foie gras.

Sauternes Lafaurie-Peyraguey 1er grand cru classé 1855 2000



Robe : Belle couleur ambrée montrant une certaine évolution du vin.

Nez : agréable sur les fruits confits et exotiques.

Bouche : tout aussi agréable et équilibrée, fruit exotiques (mangue, papaye très mures), poire et coing, fruits confits, abricot.
Une grande richesse de saveurs, une belle fraîcheur et pas mal de classe.
Bonne longueur et pas de lourdeur.

Très apprécié par les convives.

C’est un sauternes de qualité à un bon rapport qualité/prix (on peut toucher les bouteilles à un peu plus de 30€).

Bien+, 15,5/20

Bonjour à tous,



Sauternes, Chateau Lafaurie Peyraguey 2007 : Un nez de fruit rôti, coing, pêche, note pain d'épice, sirop d'orgeat, fond d'agrume confit, et de cire d'abeille. La bouche est large, ample, bien soutenue par la fraicheur, matière onctueuse mais fine, sur le coing, la pêche rôtie, note pain d'épice, miel fleur d'oranger, fond d'agrume confit et cire d'abeille. La finale est ronde, pas trp sucré car bien soutenue par la fraicheur et belle persistance de fruit confit/rôti, d'agrume, d'épice typé pain d'épice, et fond cire d'abeille. Excellent 92+ (16,5+) avec un potentiel d'amélioration évident.

Amicalement, Matthieu

Château Lafaurie-Peyraguey 2002, sauternes

Robe: encore assez pâle pour son âge.

Nez: parfum sur le coing, abricot très mûr, les fruits confits, les fruits exotiques

Bouche: gourmande et croquante, on retrouve le coing, les fruits confits, exotiques et compotés.

Bel équilibre. Accompagne bien un bon foie gras.
Très apprécié de tous.

C'est très bon. 16/20

Château Lafaurie-Peyraguey 1990

Robe or foncé très brillante et limpide. Nez sur la cire d'abeille et des notes de miel.

La bouche est splendide d'équilibre, présente une superbe fraîcheur. Les sucres sont parfaitement intégrés. Une fine acidité donne de la tension et de la légèreté au vin, et il s'envole littéralement sur des notes d'abricot confit, de mangue, de fruits exotiques. A l'aveugle, je serais peut-être parti sur un chenin du val de Loire ! La liqueur est somptueuse de finesse et d'élégance, la longueur magistrale. Magnifique.

Antoine

Antoine, pour avoir bu la même bouteille, il y a un an, j'ai eu à peu prêt la même perception que toi Sauf un détail. L'acidité aurait méritée pour moi d'apporter un tout petit peu plus de fraîcheur. Pour moi l'équilibre était quasi parfait sauf ce Leger manque de fraîcheur et de tension. Qu'en penses tu ?

Maxime

Bonjour Maxime, merci de ta réponse.

Eh bien justement, pour ma part, j'ai été surpris par cette acidité et cette tension bien présentes, je m'attendais à une liqueur plus compacte sur un tel millésime. C'était au contraire d'une buvabilité confondante, facile à boire et en même temps d'une classe folle !
Mon point de comparaison était Haut-Bergeron 1990 bu récemment, excellent aussi, mais beaucoup moins aérien, sur une liqueur plus dense.

Antoine

Dégustés, comparés à l'aveugle il y a 1 à 2 ans : Lafaurie-Peyraguey et Yquem sur le millésime 1990.

Avis unanime ( 5 ou 6 dégustateurs) pour placer Lafaurie-Peyraguey bien devant. Concordance avec ce dernier CR tout en notant effectivement que la richesse du millésime se fait sentir autant pour l'un que pour l'autre ( Yquem moins alerte que Lafaurie-Peyraguey en tous les cas) et cette petite sensation de manque d'acidité me paraît partagée, ceci dit on peut encore se dire que dans 10 ou 20 ans, cette sensation aura peut-être évolué dans le bon sens.

Richesse, c'est tout à fait cela. Nous sommes donc d'accord. Ceci dit, c'est la presque chipoter....
Maxime

Max tuff écrit: Antoine, pour avoir bu la même bouteille, il y a un an, j'ai eu à peu prêt la même perception que toi Sauf un détail. L'acidité aurait méritée pour moi d'apporter un tout petit peu plus de fraîcheur. Pour moi l'équilibre était quasi parfait sauf ce Leger manque de fraîcheur et de tension. Qu'en penses tu ?

Maxime

Bonjour,
pour avoir dégusté ce même millésime à Noël, j'ai également pensé que le vin manquait un peu d'acidité et de fraicheur. La matière et la noblesse étaient là , beaucoup de plaisir aussi, mais sur mes 2 bouteilles restantes je ne suis pas du tout sûr qu'elles soient capables de vieillir beaucoup sans prendre de lourdeur. J'en retenterai une d'ici 2-3 ans...

Oui, peut être que l'évolution sera positive. Ceci dit, étant donné la richesse du millesime, je pari volontiers sur l'inverse. Je ne pense pas que l'acidité puisse revenir !

Maxime

Château Lafaurie-Peyraguey 1988 - Sauternes
Robe abricot.
Nez sur la marmelade d'orange, le safran, l'ananas le miel et le rhum.
Bouche à l'attaque pleine et puissante.
Déroulé riche marqué par un équilibre entre une acidité qui maintient le jus du bon côté de la force et le rôti du fruit qui signe un millésime à botrytis.
La finale manque légèrement de fraîcheur mais c'est très bon en l'état, même si je reste surpris par la jeunesse de ce vin qui ne donne pas la sensation d'avoir commencé à digérer ses sucres.

Château Lafaurie-Peyraguey, Sauternes, 1er Grand Cru Classé, 1988

Nouvelle rencontre avec ce vin toujours aussi plaisant et d'une jeunesse écalatante.
La robe est d'un très bel or.
Le nez est complexe, mais encore assez primaire: fruits jaunes confits, fin vanillé, léger rhum/café et caramel, quelques épices douces (cannelle). La bouche est dense, puissante et riche, sur la même composition aromatique. Long, épais et portée par une belle acidité, il ne parait pas lourd, et même très équilibré servi légèrement frais. C'est Excellent à Exceptionnel (17,5/20), et peut encore durer un sacré paquet d'années (décennies???) à ce rythme.

Bu à cette occasion
Château Lafaurie-Peyraguey 1985 - Sauternes
Belle robe cuivrée.
Nez sur l'orange confite, le chocolat noir et le safran.
Bouche fine et tapissante mais qui manque un peu du rôti qui permettrait au vin de passer au palier supérieur.
La finesse et la complexité sont au rendez-vous mais le manque perceptible de rôti crée un léger déséquilibre par rapport à l'amertume ressentie.
Cette amertume est légèrement accentuée sur la finale, mais la fraîcheur présente canalise bien le vin.

Château Lafaurie-Peyraguey, Sauternes, 1er Grand Cru Classé, 2001

bue lors d'une soirée animée!!!

Nico: Nez de belle intensité, très complexe et précis : colle scotch, safran, abricot au sirop, un beau rôti.
La bouche est pour moi d'un équilibre magistral car malgré la belle liqueur, le gras, le confit elle reste élancée énergique et pas lassante un seule seconde ce qui dans le Sauternais peut quand même vite arriver. Après sur ce vin ce je ne suis pas très objectif car c'est LE vin qui a allumé ma passion il y a maintenant un peu plus de 10 ans, un peu ma madeleine de Proust mais je trouve quand même cela bien au dessus du lot.

Frisette: La robe est or, limite cuivre. On a un nez de terpènes, d'essence de térébentine, confit, épicé sur le safran. La bouche est grasse, puissante, vanille rhum/raisin et caramel. Il y a une belle liqueur sur ce vin complexe, long et élancé, mais d'une jeunesse incroyable et peut être encore un peu simple en bouche en comparaison du nez. Très Bien (16/20), j'étais sur un Sauternes.

Frisette écrit: Château Lafaurie-Peyraguey, Sauternes, 1er Grand Cru Classé, 2001

bue lors d'une soirée animée!!!

Nico: Nez de belle intensité, très complexe et précis : colle scotch, safran, abricot au sirop, un beau rôti.
La bouche est pour moi d'un équilibre magistral car malgré la belle liqueur, le gras, le confit elle reste élancée énergique et pas lassante un seule seconde ce qui dans le Sauternais peut quand même vite arriver. Après sur ce vin ce je ne suis pas très objectif car c'est LE vin qui a allumé ma passion il y a maintenant un peu plus de 10 ans, un peu ma madeleine de Proust mais je trouve quand même cela bien au dessus du lot.

Frisette: La robe est or, limite cuivre. On a un nez de terpènes, d'essence de térébentine, confit, épicé sur le safran. La bouche est grasse, puissante, vanille rhum/raisin et caramel. Il y a une belle liqueur sur ce vin complexe, long et élancé, mais d'une jeunesse incroyable et peut être encore un peu simple en bouche en comparaison du nez. Très Bien (16/20), j'étais sur un Sauternes.

2001 quoi !

Oui carrément ! Déjà que Lafaurie Peyraguey vieillit traditionnellement très bien, là c'est quasi increvable, avec un équilibre superbe.

En cristal, la barrique de vin la plus chère au monde, visible au Château Lafaurie-Peyraguey, coûte des centaines de milliers d’euros :


www.vitisphere.com/a...


Philippe

Dégusté ICI


Château Lafaurie Peyraguey Sauternes 1999 en demi bouteille
Debouché le matin pour le soir.
Nez très expressif et très fin, écorce d’orange confite, beau botrytis, abricot sec. La bouche est au diapason, le sucre commence à être adouci et la fraicheur de l’ensemble rend le vin très aérien, avec le retour de abricot et des touches épicées. Sûrement le format demi bouteille.
Très beau avec un fois gras maison …

Lafaurie Peyraguey 1990

Bu sur une semaine, le vin n'a pas bougé voire s'est encore ouvert !

robe ambrée d'une superbe luminosité.

Le nez est plein, dense, et en même temps d'une grande finesse. Notes de safran, notes confites d'abricot, de coing, notes de thé... l'opulence et l'élégance se conjuguent !

En bouche on a une grande liqueur et une persistance aromatique très marquée. La finale est longue et subtile, sur l'orange amère et des notes poivrées qui donnent beaucoup de caractère à l'ensemble.

L'acidité est bien présente à mon goût ! On pourrait partir sur un vieux Suronde je trouve... en tout cas le botrytis est magnifique, et trouve parfaitement son équilibre, loin de toute lourdeur. Mon impression de mars 2018 est inchangée.

L'alliance avec une fourme d'Ambert bien faite posée sur du pain grillé est une évidence, c'est une superbe alliance gastronomique !

Antoine

Chateau Lafaurie Peyraguey, Sauternes, 1993
Bu ici
JD : Nez sur la volatile, un peu passé, mais de beaux restes après un mois au fond du frigo, démonstration faite
Matthias : Une bouteille ouverte et a moitié entamée il y a plus d'un mois
Un nez avec une forte volatile a l'ouverture. Le nez s'assagit ensuite et sans être grand il présente des arômes que j'aime dans les sauternes un peu âgés : ananas confit, caramel... La bouche est fortement dominé par le côté roti et une amertume qui gâche la finale. Sans être transcendant cela montre que le Sauternes est éternel. Bien

Sauternes 1997 - Chateau Lafaurie-Peyraguey

Ouvert fin-août 2020, sans carafage ni préparation particulière.

Robe orange foncée avec de grosses larmes. Nez sur l’abricot, le caramel, le safran. Côté bouche, de la rondeur, on sent les fruits confits, le coing, un côté sucré/brulé. Belle longueur. Manque de fraicheur. L’acidité n’est plus, ce qui lui donne un côté "pataud". Ce vin a passé son pic de maturité et est en phase descendante. A boire.

RVincent écrit: Sauternes 1997 - Chateau Lafaurie-Peyraguey

Ouvert fin-août 2020, sans carafage ni préparation particulière.

Robe orange foncée avec de grosses larmes. Nez sur l’abricot, le caramel, le safran. Côté bouche, de la rondeur, on sent les fruits confits, le coing, un côté sucré/brulé. Belle longueur. Manque de fraicheur. L’acidité n’est plus, ce qui lui donne un côté "pataud". Ce vin a passé son pic de maturité et est en phase descendante. A boire.

Assez curieux, j'en ai ouvert une fin juillet qui était très jolie et qui ne paraissait pas du tout sur une phase descendante. J'avais pas pris de notes mais dans mon souvenir il y avait énormément de fraîcheur, le safran très marqué et une grande longueur. Une bouteille que j'avais adoré et que je trouvais parfaitement à point sans nécessité de se presser pour les suivantes.
Maintenant va savoir si ta bouteille était en dessous ou la mienne au dessus? Faudrait que j'en rouvre une prochainement pour étudier ça

Lomax écrit: Maintenant va savoir si ta bouteille était en dessous ou la mienne au dessus? Faudrait que j'en rouvre une prochainement pour étudier ça

N'ayant pas le suivi des conditions de conservation (achat IDW) il y a des chances que ce soit ma bouteille qui soit "en deçà" J'aurais bien préféré ressentir les sensations de la tienne!

Un Lafaurie-Peyraguey (plutôt un très bon sauternes) de 1997 (plutôt un bon millésime) en fin de vie, c'est impossible.

Bouteille défectueuse sans l'ombre d'un doute. Je te conseille de le signaler à IW, on ne sait jamais.