Mise en bouteilles du millésime 2012 cette semaine.
Mardi 18 mars...
Juste une petite information au passage

Éric

Bonsoir,

Bu vendredi dernier pour terminer un "dîner bécasses" cette Fine Bourgogne (appellation réglementée par décret) 1995 du Domaine de la Romanée Conti.
Encore une merveille au DRC...
Je ne sais par faire de CR pour le Vin, encore moins pour une Fine...
J'y vais quand même :
Une couleur dorée magnifique.
Un nez très "fin".
D'une douceur et d'un équilibre incroyable.
Je n'ai pas regardé le d° d'alcool, j'avais l'impression de boire quelque chose à 30° ???
Voilà, voilà...
Quel plaisir de terminer sur un "grand" alcool un bon dîner...

Bonne soirée.

François.

En ce qui concerne ce domaine, je n'ai pour le moment que 2 bouteilles de Hautes Cotes de Nuits 2009 pour l'abbaye de St Vivant

J'envisage d'acheter une bouteille d'échézeau ou de grand échézeaux mais j'hésite entre les deux et j'hésite sur les différents millésimes 2004-2005-2006-2010, vos avis?

ben58 écrivait:

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> J'envisage d'acheter une bouteille d'échézeau ou
> de grand échézeaux mais j'hésite entre les deux et
> j'hésite sur les différents millésimes
> 2004-2005-2006-2010, vos avis?

Nos avis ... Moteur de recherche en haut dans la bannière. Puis tu marque par ex conti Echezeaux 2004 et tu trouvera plein de commentaires.
Tu peux egalement le faire pour les autres millésimes ><

Ma première rencontre avec le Domaine de la Romanée-Conti, cette semaine à Singapour. Je ne commence pas avec les meilleurs, tant mieux.

Corton 2010, Grand Cru (rouge)
Une réelle complexité s'exprime dans le verre dès le premier nez sur le fruit et les fleurs sechées, ou alors sur un fruit un peu fumé. Le tout est subtil et le vin perd en complexité à l'aération, tout en conservant un joli caractère fruité. La bouche est intense et profonde, avec un joli corps et une grande, voire très grande, longueur.

Vosne-Romanée - Cuvée Duvault-Blochet 2009, Premier Cru (rouge)
Le premier nez présente beaucoup de volume, il y a vraiment du cuir et des fleurs séchées plein le verre, c'est presque palpable. Le deuxieme nez se fait plus subtil et plus profond, plus vertical qu'horizontal. Quant à la bouche, sans surprise, elle est explosive avec beaucoup de volume et de rondeur. C'est assez impressionnant en termes de corps. Les fruits frais se dévoilent en finale et persistent sur une longueur en bouche puissante.

Ca donne envie d'en goûter d'autres !

Bu lors de cette soirée : Ici

Domaine de la Romanée Conti - Grands Echézeaux 2001



Ce vin pourrait se résumer en un mot tellement il fut évident pour tous les dégustateurs : équilibre...
Le premier nez est floral, avec cette touche de rose, c'est frais et délicat.
En bouche, ce vin est lumineux, parfaitement en place avec un équilibre entre tanins, acidité et puissance parfait.
Ce vin est long en bouche, vraiment très long... Ce qui m'a surpris c'est cette note d'acidité en milieu de bouche, de peps, qui le fait repartir et lui donne une dimension incroyable.
Plus le temps passe, plus les arômes migrent vers du réglisse, du menthol.
C'est vineux, précis, bref un régal.
Un très très grand vin, au niveau d'une Tâche 1996 bu il y a quelques mois.

Dégusté récemment une Tâche 2004, qui ne m'a vraiment pas emballée, bien que je sois un fervent amateur de ce vin. La couleur est terriblement claire, d'un rouge cerise très pâle. Le nez n'est pas très expressif mais exhale quelques senteurs de rose et d'épices (!?), la bouche manque de complexité et se révèle assez fluette. Le vin ne se distingue que par une grande finesse, qui confine presque à de la dilution, et une certaine fraîcheur qui se ressent également dans la finale d'une longueur assez modeste. Au plan aromatique c'est assez frustrant, la palette est vraiment réduite à la plus simple expression du pinot noir (au point que je suppute qu'un simple village d'un bon millésime, adroitement cultivé et convenablement vinifié, pourrait sans peine éclipser cette Tâche là...). Le vin n'a aucun défaut, mais pas davantage de caractère, à ma surprise et à mon grand dam.

Quelqu'un aurait-il eu des expériences similaires avec ce vin? Il est notoire que 2004 n'est pas un millésime époustouflant en Bourgogne, mais la DRC a-t-elle connue des difficultés particulières dans ce millésime? Rendements importants, pluie avant les vendanges, fruits déficients etc.?

Quid des autres crûs du domaine? De ce millésime j'ai goûté un Echézeaux qui ne m'a pas non plus emballé, ainsi qu'une Romanée-Saint-Vivant qui était plus enthousiasmante mais qu'un Echézeaux 1999 de chez Drouhin avait nettement surpassé en terme de plaisir. Je m'interroge sur ce qu'il convient de faire, à la lueur de ces expériences peu amènes, de mes bouteilles restantes du millésime (le reste d'une caisse panachée, c'est à dire une Conti, deux Tâche, deux Richebourg, un Echézeaux, deux grands Echézeaux, deux Romanée-Saint-Vivant et un Montrachet), vendre ou garder?..

Bonjour,

Sur 2004, je n'ai goûté que l'Echézeaux qui m'avait bien plu mais sans l'émotion que je retrouve souvent sur les vins du domaine... Pour les autres cuvées du domaine de ce millésime, je ne toucherai pas de suite à mes bouteillesB)-
Salutations vineuses,

Christophe

J'ai bu tous les 04 du domaine et le seul vin que j'ai trouvé somptueux c'est "la Conti " avec ses parfums de roses fanées envoutants....

Voilà ce que j'avais écrit sur les 2004 en mai 2005 !!!

Visite à la Romanée Conti. Je goûte les 2004 en fûts. Sont-ils en pleine fermentation malolactique ou celle-ci va-t-elle commencer ? C’est un sujet qui ne fait pas partie de mon quotidien. C’est un exercice de vigneron. Le coté perlant de certains vins limite ma capacité d’analyse. Mais est-ce important ? Là où je trouve le Richebourg joyeux, Aubert de Villaine signale la belle structure de La Tâche. Nous nous rejoignons sur un point : la Romanée Conti 2004 est diablement charmante. Même sans avoir le palais habitué à cette jeunesse de présentation, il n’est pas difficile de pronostiquer que ce sera un très grand vin.

on note le commentaire d'Aubert de Villaine sur La Tâche.

Euhhh... on note ce commentaire, certes, mais pourquoi le noter ?

Gaël,
Regarde le commentaire de Griffon qui trouve que La Tâche 2004 a peu de caractère et "grande finesse, qui confine presque à de la dilution".
C'est parce que Griffon est très critique que je rapproche son commentaire de celui du vigneron.

Vous rapprochez quand même des commentaires distants de 10 ans, entre le vin en bouteille et en fût (et en pleine malo...)

Mais bon tout le monde peut se tromper...

TIMO

Ok, je vois votre point François, mais moi, ça aurait tendance à me faire penser que comme nombre de ses collègues, le bon Aubert à le sens de la formule pour faire passer les vessies pour des lanternes !
Cdlt

Je n'y crois pas un seul instant, car Aubert est connu pour son intégrité absolue.

Je ne la remets pas en cause, mais un petit coup de langue de bois bourguigno-bordelaise au passage, ça ne mange pas de pain -D

NON

Peut être était ce par comparaison.
La tâche 2004 a une belle structure par rapport au millésime difficile ou bien par rapport aux autres crus du domaines.

Mais c'est toi qui étais sur place François

Julien

un NON catégorique en tout cas. Belle prise de position en tout cas.

Gael,
On ne peut jamais être catégorique, mais j'ai tellement souvent entendu Aubert de Villaine parler de ses vins, et les décrire avec la plus grande objectivité possible que je peux témoigner qu'il y a une sincérité profonde dans tous ses propos.
De plus, quand on a un domaine où tout est sûrement vendu, on peut se permettre de dire quand un vin n'est pas réussi.
Ceci étant dit, comme tout vigneron il pourra avoir tendance à aimer ses vins. Mais je l'ai toujours senti objectif et sincère.

Comme dans toutes les années plutôt faibles, La Tâche révélera ses qualités avec un peu plus de maturité que 10 ans, ce qui est trop peu.
Des années comme 56, 72, 74, 83 se révèlent aujourd'hui extrêmement agréables à boire si le vin a été bien conservé.

Les expressions employées soient "belle structure" ou "extrêmement agréable" me semblent toutes deux sympathiques mais peu représentatives d'un grand vin. A titre de comparaison Monsieur Noblet avait des termes plus dithyrambiques sur La Tâche 2010 que ceux là. Je ne vois donc rien de malhonnête aux commentaires d'Aubert de Villaine, mais n'attendrais pas forcément énormément du vin à la lecture de son jugement (ça me rappelle un CR d'Oliv du type "fort agréable" concernant un vin assez onéreux, pour ceux qui auront suivi l'histoire).

Olivier

Je ne suis pas en train de défendre La Tâche 2004, mais je me demande si le CR de Griffon est bien comparable à ce que j'aurais ressenti si j'avais goûté La Tâche 2004 en 2014. J'en ai dans ma cave mais je n'ai aucune envie d'en ouvrir maintenant.

J'ai bu une centaine de fois La Tâche et jamais je n'ai pensé : "Au plan aromatique c'est assez frustrant, la palette est vraiment réduite à la plus simple expression du pinot noir (au point que je suppute qu'un simple village d'un bon millésime, adroitement cultivé et convenablement vinifié, pourrait sans peine éclipser cette Tâche là...). Le vin n'a aucun défaut, mais pas davantage de caractère, à ma surprise et à mon grand dam"

J'ai peut-être une tolérance particulière pour ce vin mais même dans les petits millésimes, je vois s'exprimer des subtilités qui me font retrouver ce que j'aime dans les vins du domaine de la Romanée Conti.

Sur le plan sémantique, je suis tout-à-fait d'accord avec tes remarques. Quand je dis d'un vin qu'il est "intéressant", c'est généralement parce qu'il ne l'est pas

François Audouze écrivait:

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> Sur le plan sémantique, je suis tout-à-fait
> d'accord avec tes remarques. Quand je dis d'un vin
> qu'il est "intéressant", c'est généralement parce
> qu'il ne l'est pas



C'est appréciable et sympathique de vous lire dans un style qui admet une évidente subjectivité ! Vous auriez pu, sans méchanceté, créer une boite de communication pour vignerons en détresse... ou pas. Vous êtes définitivement leur meilleur ambassadeur ! ()

Bu avec étiquette découverte :

Echézeaux 2004, bien au niveau sans être l'un des meilleurs Echézeaux du domaine : 17
Romanée St Vivant 2004: léger, fin avec les arômes DRC assez peu marqués; pas vraiment au niveau des RSV du domaine (cf. griffon) : 16

Il y a dans l'esprit de tout amateur de vins, un pèlerinage, une quête de dégustation qu'il souhaite réaliser au moins une fois, alors que dire lorsque cette occasion arrive une nouvelle fois, imaginons une sensation de lassitude, de déjà-vu.... Et bien non, pas du tout. Bien au contraire, on envisage milles questions, mille plaisirs, mille découvertes et... Ce fut le cas pour cette superbe visite et cette découverte du dernier né du Domaine, le millésime 2013 !
Rendez-vous au siège du Domaine de la Romanée Conti en ce Lundi 5 mai 2014. Ce lieu est l'ancien Vendangeoir de l'Abbaye de Saint Vivant.
Le nouveau bâtiment fut inauguré en 2010 - il abrite désormais les bureaux pour l'équipe, mais son sous-sol renferme désormais les fûts des années impaires (depuis le millésime 2011)

Et donc logiquement en allant déguster le millésime 2013, nous nous dirigeons vers le sous-sol pour atteindre le saint des saints.

Pour cette dégustation et visite, ce ne sera pas M. Bernard Noblet mais par le neveu de M. Aubert de Villaine : M. Bertrand de Villaine

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Quelques explications données par Bertrand de Villaine, sur le millésime 2013.

Une moyenne sur l'ensemble du Domaine de 17 à 18 h/ha (au lieu de 25 / 28h/ha). Une pluviométrie largement supérieure à la moyenne (doux euphémisme) et une floraison très tardive (23 - 25 juin) - En moyenne 70 à 80% de rafles sont conservés pour les vinifs en 2013)
La majorité des fûts proviennent de chez François Frères (90%) - les mises seront faites par lots de 3 à 4 fûts.

Il est temps de descendre en caves (oui avec un "s" - car initialement 3 caves à l'origine, aujourd'hui 2 caves supplémentaires alliant modernisme et tradition ont été creusées)
Il est désormais temps de passer à la dégustations des vins....
Nous commençons par L'ECHEZEAUX - En effet le Corton est juste en train d'être soutiré.

Les arômes évoquent la cerise noire - c'est soyeux et d'une belle concentration (se sera le maître mot de la dégustation des 2013, cela s'expliquant grâce à la densité des baies dans les grappes moins importantes et à un vent du nord qui à "séché" les grains en enlevant le "surplus d'eau" - Je dois humblement avouer que l'Echezeaux sur fût (gouté pour le troisième millésime) n'a pas été pour le moment un des préférés (sans pour autant paraitre prétentieux, loin de moi cette pensée !) et ben, je dois avouer que le début de cette magnifique dégustation m'a laissé pantois ! Car tout est déjà en place.

Continuons à nous déplacer parmi les fûts aux noms magiques pour s’arrêter ensuite sur le prochain des Grands Crus.
Les GRANDS ECHEZEAUX - Avec un coté sur les fruits noirs acidulés et un coté tellurique, une finale apportant plus de complexité que le précédent -

Nous passons ensuite vers le prochain des Grands Crus...
La ROMANEE SAINT VIVANT à toujours été un de mes vins préférés...
Une nouvelle fois, elle ne déroge pas à la règle, imaginez à cela le lieu dans lequel elle est dégustée, au cœur des caves originales de la l'Abbaye de Saint Vivant, en associant tout cela, le moment devient magique !

La RSV du Domaine est située sur une seule parcelle.

Tout de suite c'est la finesse et la complexité aromatique qui m'éblouit. Une sensation apaisante reposant sur un coté floral, une sensation de notes de guimauve en bouche. C'est long, sans aucune faiblesse... Grand de chez grand !

C'est avec difficulté, que je quitte les fûts de ce Grand, Grand Cru pour déguster maintenant le prochain.
Le RICHEBOURG nous est servi.

Il est plus sauvage, la sensation de puissance est très présente, une pointe de réduction est perceptible en premier nez, mais elle disparait assez vite après avoir aéré le vin quelques minutes. C'est à la fois riche, complexe, mais pas spécialement mon préféré aujourd'hui. Oserais-je dire... un peu too much ! (Mais il est vrai que l'on devient vite difficile au milieu de tous ces fûts, je suis persuadé, que bu tout seul, j'aurais volontiers tout fini !)

Direction les deux monopoles du Domaine, en commençant par...
La TACHE est elle aussi sur une réduction, mais encore plus marquée que pour le Richebourg, mais tout comme le précédent, une aération énergique dans le verre, et elle disparait... Le vin se livre avec retenu, mais on sent un sous-jacent énorme avec un ensemble harmonieux, structuré et élégant, puissant mais fin, tannique mais soyeux.... Laissons le temps au temps !

Il reste encore à déguster un vin rouge, et non le moindre, une petite production sur 2013 (j'ai compté 13 barriques au total !), le Saint Graal de tout passionné de vins (mais également de tout spéculateur !!).

J'ai Nommé :..............
La ROMANEE CONTI, nous est servi dans les verres, sans impatience j'hume une première fois, puis je pose mon verre pour écouter les explications et nos échanges avec Bertrand de Villaine, sur des sujets divers et variés ayant trait au Domaine, mais aussi aux actualités du vignoble de Bourgogne

Lorsque je reprends le verre, le vin s'est transformé, il s'est ouvert et me délivre des arômes de roses fraiches, d’épices douces avec un toucher de bouche énaurme ! je prends une claque (de plaisir) quelle longueur, quelle subtilité et quelle présence en bouche. Le vin n'arrête pas de nous parler... A nous de l'écouter.
Il est temps de remonter vers le soleil, en passant devant quelques piles de bouteilles qui attentent patiemment leurs nouvelles destinations... A vos commandes !!
Muni de nos verres, nous traversons la cour du Domaine et nous nous dirigeons vers les caves accueillant les millésimes pairs pour continuer cette dégustation avec un des Grands Crus Blancs du Domaine

C'est le moment de jouer au Vin Mystère (habitude du Domaine, qui remet les pendules à l'heure et la modestie de rigueur !)
C'est donc Le BATARD MONTRACHET sur le millésime 2007 !
La parcelle fait 17 ares, avec des vignes qui ont une moyenne d'age de 80 à 85 ans. Jamais vendu jusqu'à aujourd'hui, il est proposé à la dégustation lors des visites au Domaine.

Le vin est extraordinaire de richesse, de puissance, loin... Très loin de l'idée du millésime 2007 !!
Sur des notes pâtissières avec un coté acidulé. Quelle complexité, quel VIN ! Je craque absolument et sans fin pour celui-ci ! EXCELLENT ++



Le temps s'est arrêté pendant toute la dégustation et s'est finalement en retrouvant le ciel bleu, que je m’aperçois que deux heures et demi se sont écoulés... Ce fut un beau moment de plaisir en compagnie d'un homme peu avare d'informations et de partages.

Merci Monsieur Bertrand de Villaine

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Après avoir dégusté les vins, il me semblait logique de visiter le "Foncier" La terre, point d'origine de la dégustation !
Plaisir des sens, plaisir des yeux !

Eric

Merci Eric pour ce splendide CR sur cette visite qui est un rêve pour beaucoup comme moi. Cela met le vin à la bouche

Didier

Merci Éric pour ce superbe reportage, alliant sobriété et sincérité.
Je mesure la chance pour tout amateur de toucher ainsi des yeux et du palais le Graal.
Tu nous livres sans esbroufe et dans leur plus noble simplicité ces images et tes commentaires appuyés.
A travers ce compte-rendu, je reçois les moments de partage avec Bertrand de Villaine que tu évoques si humblement.
Chapeau bas et merci de nous emmener rêver de si bon matin !



Olivier

Whaou on est gaté en beau reportage en ce moment

Sublime! Je me suis mis en retard pour partir bosser tant j'étais pris par la lecture! Merci pour ce reportage!

Bien cordialement,

Thibault

Merci Eric, rien de tel qu'une petite lecture comme cell-ci pour commençer la journée(tu)
Salutations vineuses,

Christophe