Bonjour,

je ne dirais pas mieux que John, sauf pour Climens et Fargues qui sont plus difficiles à trouver. Pour les autres, sauf à vouloir des magnums ou contenants spéciaux, ce sont des vins largement diffusés, peu spéculatifs, sauf si Bobby nous sort un 101/100 , et fréquemment vendus au prix primeurs HT dans les foires aux vins 18 mois après.

Alors, pourquoi immobiliser cet argent, d'autant qu'avant d'acheter on pourra les goûter.

Hervé

Salut à tous,

j'ai lu hier soir les commentaires de la RVF sur les bordeaux 2007. Ce qui me surprend, c'est qu'il y a une flopée de vins avec une note de 16 et plus, c'est à dire globalement de très bons vins. Et j'ai l'impression qu'avec la RVF c'est chaque année pareil. A côté de ça on a bob qui dit clairement que 2007 est très moyen, à part peut-être 15-20 vins qui sont vraiment bons - mais à apprécier jeunes.

Est-ce que je comprends mal ce que je lis dans la RVF, ou bien la RVF a-t-elle un avis très différent d'autres spécialistes?

A+

JC

Ce sont les miracles de la notation relative...

Luc

Un article de DECANTER daté du 22/04

Jane Anson

The first few Bordeaux chateaux have released their 2007 prices at nearly the same level as 2006.

Chateau d'Arche is charging merchants €16.85 (£13.52/$26.85) – the same as last year, while Chateau Filhot is priced at €14.80 (£11.84/$23.60), just 3.5% less. Both are classified Sauternes properties. St Emilion Grand Cru La Fleur D'Arthus has come out €11.50 (£9.20/$18.33), just 5% less.

The majority of chateaux will wait until after wine critic Robert Parker publishes his scores – probably 30 April. Some may even wait until after the Vinexpo Asia-Pacific trade fair in May.

But this may be a risky strategy. For despite some positive commentary, the initial high prices and potential for negative reviews from Parker are causing merchants to maintain a bearish stance.

'We have been one of the biggest buyers of en primeurs for the last 23 years in Bordeaux, but unless the prices are realistic we are just going to opt out of the vintage,' Alan Rayne, chairman of Magnums, told decanter.com.

Edward Burns of Armit Fine Wines in London, said, 'We haven't offered anything that has come out so far. Even with Sauternes having a good year quality-wise, we can't see customers being interested at these prices. In previous years, we have offered wines with a proven history. This year we are only going to buy wines that have had specific enquiries from our customers.'

Berry Bros & Rudd sales director Simon Staples said, 'The chateaux are treading a very thin line waiting for those scores, which are being published at the same time as his final 2005 scores. If they release now, at a slight discount, at least they will be able to sell. If they wait until they get a bad score, as is likely for many of them, it may become much more difficult.'

Berry Bros has drawn up a list of 45 wines of particular interest this year, compared to 82 last year, and 180 in 2005.

Luc, cela veut-il dire qu'un 2007 qui a un 18 ou 19 est "exceptionnel" en regard de la moyenne du millésime, mais pourrait ne valoir qu'un 15 (par exemple) s'il était noté face à des 2005?

Merci

JC

Farpaitement...

Luc

The majority of chateaux will wait until after wine critic Robert Parker publishes his scores – probably 30 April. Some may even wait until after the Vinexpo Asia-Pacific trade fair in May.

Bravo, c'est là qu'on sent bien que Parker n'a pas un grand rôle, d'une aprt, et que, d'autre part, les châtelains bordelais sont de vrais artistes, ils attendent l'inspiration - mais extérieure - avant de fixer les prix.

Toutefois le métier devient bien difficile: il faut désormais tenir compte aussi du fait que le soleil se lève à l'Est (qui préfère néanmoins acheter des vins prêts à boire).

un 2007 qui a un 18 ou 19 est "exceptionnel" en regard de la moyenne du millésime, mais pourrait ne valoir qu'un 15 (par exemple) s'il était noté face à des 2005?

Nouvelle preuve, s'il en était encore besoin, de l'absurdité de telles prétendues "mesures" de la qualité des vins.
Si on mesure une distance, il n'y a pas une distance selon l'année, selon que la route est nationale ou départementale, etc.
Ici les jobards nous donnent un repère dans l'absolu, mais qui ne s'avère néanmoins pas comparable selon les années, et dans le cas d'un caviste médiatisé (autrefois surtout) un 16 n'a pas le même sens selon que le cru est bourgeois ou classé.

Ne voyez-vous pas:

1) que la seule utilité de ces notes venant de médias (je ne parle pas d'amateurs qui jouent, y compris ici, à singer les semi-pros) est de faire monter les prix?
On attend par exemple que Parker, dans sa grand bienveillance (cf déjà l'arnaque sur les 2000)nous dise que finalement c'est bien meilleur qu'on ne le prévoyait.

2) que noter des primeurs est une absurdité? Un pro (Franck Dubourdieu)le dira mieux que moi:

[b]Réserve sur le jugement en primeur[/b]

La vente des grands crus bordelais en primeur aux particuliers est, depuis 1975 le prolongement d’une pratique historique entre le négoce et la propriété, pour réserver les vins après la récolte. En général, elle s'adresse aux crus classés et assimilés (200 crus environ dont 170 Crus Classés, 5% de la surface, 3% de la production), des crus ayant fait la preuve depuis de longues années de la supériorité de leur terroir. L'intérêt de cette pratique s'affirme pour les grands millésimes compte tenu de l’augmentation notable du prix lors de la livraison deux ans après. L'appréciation qualitative d'un vin six mois après la récolte n'est qu'un aperçu. Le vin est en barrique et l'assemblage définitif n'est pas toujours réalisé. Il reste parfois à décider des répartitions entre Grand Vin, second vin et troisième vin, des proportions de vin de presse à ajouter... De plus, pendant douze à dix huit mois d'élevage en barrique, le vin va subir diverses manipulations (soutirages, collage et filtration) jusqu'à la mise en bouteille. Ainsi, pour évaluer le plus objectivement un vin en primeur, il faut impérativement tenir compte des paramètres suivants :
1/ les conditions climatiques du cycle végétatif et spécialement celles des vendanges.
2/ la réussite relative (maturité, état sanitaire, rendement...) de chaque cépage et sa participation en pourcentages dans le grand vin.
3/ la dégustation du vin : couleur, arômes, structure, densité, fruit, qualité de la texture tannique, persistance, ainsi que les prémisses de la finesse, dont en particulier l'équilibre et la profondeur de la flaveur...
4/ le niveau du terroir, par la connaissance de son expression dans les millésimes antérieurs, ce qui autorise une filiation du vin nouveau avec des millésimes plus vieux au profil comparable.
5/ la réputation du cru : plus la marque est connue moins on est en droit de penser que le vin pourrait ne pas être à la hauteur de l'expertise initiale.

L'achat en primeur relève donc d'un acte de confiance.
Un avis sur la qualité d'un vin en primeur revient à faire une synthèse de tous ces facteurs afin d'imaginer sa qualité potentielle quand il aura atteint sa maturité optimale.

Tout jugement en primeur centré exclusivement sur l'immédiateté du goût, à l'aune des caractères de structure (puissance, densité, concentration) sans tenir compte du passé, juge suprême du terroir, est un non sens. Il amène à promouvoir artificiellement des crus ou des cuvées spéciales à des niveaux qu'ils ne méritent pas.
Il n'est plus un secret que, pour faire illusion au moment de ces dégustations, certains oenologues proches des média appliquent toutes sortes de recettes pour gonfler sinon farder les vins. Ces manipulations, non reconnues par la tradition, donc éloignées des pratiques communément admises dans les plus grands chais, fabriquent du prêt à plaire : le paradoxe d'une hyperconcentration et d'un charme racoleur associé - un malheur n'arrive jamais seul - à une imprégnation forte par le bois de chêne neuf et ses adjuvants de chauffe.

L'avenir du vin, sa qualité future, est la moindre des préoccupations de ces techniciens-gourous ; ce qui compte à leurs yeux c'est obtenir une bonne note auprès de certains dégustateurs étrangers et de vendre le plus cher possible.

Cette façon de juger, chère à des critiques anglo-saxons, relayée par des journalistes français sous influence (le « gustativement correct »), pour démocratique qu'elle soit, voire même mondialiste, proclame haut et fort un déni de terroir. Sauf à produire des effets médiatiques et à mettre en avant des crus qui n'ont encore rien démontré, cette conception de la dégustation n'est pas conforme à l'éthique du grand vin dont le niveau de qualité véritable se révèle au cours du vieillissement. Elle est à même de nuire à l'image des plus grands Bordeaux dont l'aura tient fondamentalement à l'historicité du vin en bouteille.

www.franckdubourdieu...

Bonjour,

Jean-Christophe écrivait:

---

> Salut à tous,
>
> j'ai lu hier soir les commentaires de la RVF sur
> les bordeaux 2007.

Ce qui signifie qu il y a un numero special(?) de la RVF sur les Bordeaux 2007 qui sort avant leur numero de Juin (qui generalement est consacré au millesime de l année n-1). Tiens, tiens. C est la première anneé/fois que la RFV fait ca, non ?

@+
Yan

'Ce qui signifie qu il y a un numero special(?) de la RVF sur les Bordeaux 2007 qui sort avant leur numero de Juin (qui generalement est consacré au millesime de l année n-1). Tiens, tiens. C est la première anneé/fois que la RFV fait ca, non ? '

C'est la course à l'échalotte. ca possède de moins en moins de sens mais c'est sûrement efficace. L'air du temps quoi !

'Luc, cela veut-il dire qu'un 2007 qui a un 18 ou 19 est "exceptionnel" en regard de la moyenne du millésime, mais pourrait ne valoir qu'un 15 (par exemple) s'il était noté face à des 2005?'

15 voire moins encore. Mais tu viens d'appuyer sur une chose justement bizarre.
Noter c'est mesurer, comparer, classer. Qui peut dire qu'un 18 en 07 vaut un 15 de 2005. Personne même pas les 'noteurs'.

Mettre une note; déjà, je trouve absurde, mettre une note sur les 2007, je trouve cela débile, pro ou pas.

jmm

Voyage en train vendredi et longueur du trajet oblige, j'achéte la rvf pour tuer le temps. Je dois avouer que pour le prix de cette revue, j'ai eu un very best of des blagues de carlos et un super épisode de pif gaget. Non sans rire les notes de la rvf sur les 2007 sont à mourrir de rire. Il aurait du indiquer 2007 le meilleur du pire*.... * notes non contractuelles ne tenant pas compte de la légéreté du produit fini et du contexte climatique défavorable.
Quel discrédit sur les notes. Tout à fait d'accord avec Jean Christophe, les vins sont notés les uns par rapport aux autres et non en fonction de la qualité générale. De ce fait c'est une illisibilité totale des notes que l'on trouve de plus en plus innutile. Je pense juste à ceux qui n'ont pas la chance de déguster en primeur ou à la propriété et qui cherche des repères noyés dans une somme de de notes illisibles. Difficile de rester en surface quand le mettre nageur de la rvf vous met des coup de perche sur le coin du bec... Absurde.

N'oublions pas que la RVF est davantage un journal au service des producteurs que des consommateurs...

Luc

Aucun doute, il suffit pour cela de lire le commentaire de la rvf sur de fargues... Il est vrai que la note est mise en concordance avec les propos de Alexandre De Lur_Saluces qui ne met que peu en valeur son vin, mais j'ai goutté ce vin et il est superbe selon moi. Finalement, je devrais me réjouir de ces commentaires qui rendront cette bouteille plus accessible. Ce doit etre difficile d'etre objectif avec un producteur quand on sollicite sa présence sur le salon lucrato-populaire que l'on organise, je présume.

Un petit mail pour reagir sur les propos d'un colistier indiquant qu'il faut acheter des sauternes car leur prix vont flambés.

Rien n'est moins sur car :
- Il y a moins d'engouement sur les liquoreux et en particulier sur les sauternes ( et une plus grande concurrence aussi )
- La campagne 2006 en primeur n a ete une reussite.
- On trouve de tout et du yquem en FAV, sauf peut etre du climens et du fargues.

Perso je ne vais pas m'emballer surtout si les prix sont élévés.

Voici le classement des meilleurs bordeaux 2007, vu par trois sites (trois sources francophones):

gje.mabulle.com/inde...

bertrand.leguern.clu...

blog.cavesa.ch/index...

Luc écrivait:

"N'oublions pas que la RVF est davantage un journal au service des producteurs que des consommateurs... "

N'est-ce pas un jugement un peu dur? Je peux comprendre la difficulté pour la RVF de critiquer un vin dont le propriétaire dépense par ailleurs des fortunes en pages de pub dans la même RVF (quoique je pense qu'il devrait y avoir moyen de combiner une logique commerciale et une certaine impartialité dans le jugement). Cependant, j'apprécie tout de même la lecture de la RVF, notamment pour les divers reportages qui me font découvrir des vins, ou des choses sur le vin que je ne connaissais pas, et qui me donnent souvent l'envie d'acheter l'un ou l'autre flacon pour le découvrir. Bien sûr, in fine, ça profite aux producteurs puisque j'achète leur vin, mais je considère que cela m'apporte également, notamment de l'information et du plaisir.

Bref Luc, tu dis cette phrase comme si c'était une évidence. Quels sont les faits qui permettent d'affirmer cela? Ca m'intéresse car j'aimerais savoir si je dois vraiment prendre leurs évaluations avec des pincettes.

Merci

JC

C'est certainement un peu dur effectivement, mais c'est réellement l'impression que j'ai à la lecture de la RVF, que j'ai d'ailleurs depuis cessé.
Les derniers éditoriaux de Denis Saverot ont été la goutte qui a fait déborder le vase.

Luc

j'aimerais savoir si je dois vraiment prendre leurs évaluations avec des pincettes.

Je me fie plus aux commentaires de LPV aujourd'hui qu'à ceux de la RVF, même si je continue à la lire pour certains reportages ou découvertes de vins.

Le meilleur exemple en ce qui me concerne est celui de Belair 95. 5 étoiles dans la RVF de septembre 98, élu vin "le plus complexe" etc... J'en achète 3 btlles et le conserve dans une bonne cave... Le résultat? Un vin totalement indigne de son prix et de son classement et un véritable sentiment de s'être fait arnaquer (mais c'est surement moi qui ne l'ai pas compris comme me l'ont fait remarquer certains internautes )

fx

Du delire: sortie de Rieussec 2007 a 48 euros!

Et bien je leur laisse!!!!!
Ce vin ne m'a pas emballé outre mesure personellement...

Là je dois dire que cette confirmation de ma critique habituelle de la notation fait aussi que Jacques Perrin me déçoit (et il en va de même ensuite pour sa tentative de justification, suite à un commentaire défavorable: elle manque de logique):

blog.cavesa.ch/index...

J Perrin écrit: Un point important à signaler, ces vins ont été notés relativement au potentiel de ce millésime et non pas dans l’absolu, seule approche valable à mon sens, sinon l’effet dépressif évoqué au début de cette présentation vient biaiser le jeu. C’est ce qu’on a pu constater parmi certaines notes déjà parues çà et là… Cela dit, il est impératif que les propriétés entendent le message qui leur est adressé par le marché et, pour celles qui ont augmenté leur d'une façon substantielle ces dernières années, les ajustent sur cet effet du réel.

Autrement dit:

1) il ne faut pas noter 2007 "dans l'absolu" (plus loin il semble dire que ça n'est pas possible: alors de qui se moque-t-on? c'est bien toute notation qui est impossible dès lors!);

2) car on aggraverait la 'dépression' dont souffre ce millésime (et on sait l'inefficacité du Prozac, du moins sur le vin);

3) néanmoins nous espérons que dans leur grande et infinité bonté les châteaux sauront modérer leurs exigences en matière de prix.

Résultat, ci-dessus Rieussec sort bien plus cher que dans des millésimes aussi bons de la décennie précédente, même compte tenu de l'inflation.

Bordeaux aura bien mérité le krach qui ne manquera pas de se produire tôt ou tard après ces années de bulle.
Mais on y fonctionne sur le mode "ce qui est pris n'est plus à prendre"!

cela confirme si besoin était que la préoccupation est de faire de chaque millésime qui sort LE MILLESIME DU SIECLE
Cordialement

La notation relative est la plus intelligente mais elle n'est pertinente que vis à vis des connaisseurs.
Or, et ils le savent très bien, ceux qui la pratiquent sont lus par des amateurs qui ne savent pas déchiffrer cette notation relative.
C'est là que se situe le scandale de cette notation.

De plus les notes étants à lire derrière le prisme du millésime, il serait intéressant que ces mêmes critiques, en disent plus sur la qualité de chaque millésime : Chose qui n'est pas faite dans le guide de Bettane et dans le petit guide de la RVF.

Jmm

()

l'arithmetique de l'amateur peu eclairé:
note relative du vin dans le millesime: 18/20
note du millesime: 12 (ou 1*,le grand max pour 2007)

note réelle: 12/20 * 18/20= 10,8 /20 ??!

()

"""""N'oublions pas que la RVF est davantage un journal au service des producteurs que des consommateurs...

Luc """""

J'avais eu un peu cette impression lors du 1er salon de la RVF, lorsque j'avais constaté une "complicité" pour le moins surprenante entre certains journalistes et certains producteurs.

Par "complicité" je veux dire qu'il me semblait qu'ils étaient comme des "copains d'enfance" et j'avais ressenti alors une sensation désagréable.

.

minty écrivait:

---

> Du delire: sortie de Rieussec 2007 a 48 euros!

Bonsoir,

il y a comme des bizarreries dans ces sorties.

D'un côté 48 euros pour Rieussec, puis sur certains sites 51 euros, et enfin je reçois la proposition de Malet Roquefort 41 euros !!
En dehors d'une erreur de frappe toujours possible, on aurait, par bouteille, une différence de………………… 10 euros soit pour près de 70 francs d'avant l'euro.
Personnellement, vieux "routier" des primeurs je n'ai jamais vu de tels écarts sur ce genre de prix.

Alors (en excluant, je répète, toute erreur provenant du message de Malet-Roquefort), y-a-t-il eu une "rectification" devant les pieds des acheteurs potentiels qui traînent, ce qui m'étonnerait, ou bien… quoi ???????????
Ici, ce n'est pas la faute à la grande distribution !!

Bonne soirée.

Hervé

je me rappelle avoir acheté rieussec 2005 à 42 euros chez GVF alors qu'il est sorti à 49 euros partout ailleurs. Il faut dire que je viens d'apprendre à mes dépens que ceux-ci se rattrapent sur les frais de livraison...

Bonsoir,

Perronnet écrivait:

> D'un côté 48 euros pour Rieussec, puis sur
> certains sites 51 euros, et enfin je reçois la
> proposition de Malet Roquefort 41 euros !!

et la 53 € HT.
Mais bon c est un millesime exceptionnel

@+
Yan

Bonsoir Laurent,

mariposo66 écrivait:

---

> je me rappelle avoir acheté rieussec 2005 à 42
> euros chez GVF alors qu'il est sorti à 49 euros
> partout ailleurs. Il faut dire que je viens
> d'apprendre à mes dépens que ceux-ci se rattrapent
> sur les frais de livraison...

C est à dire ? A combien s eleve les frais de livraison chez GVF ?
Merci,
Yan

Bonjour,

rectification de Malet-Roquefort ce matin.

Rieussec n'est pas à 41 euros, mais………… 51. Quel soulagement !!

Hervé