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Réponse de alain_vin sur le sujet Liber Pater, Bordeaux

hannibal écrit: Dans les deux cas c'est embêtant quand on prétend vendre 30 000 euros une bouteille de vin.
Reste à savoir qui "achète" le vin en question, à quel tarif et dans quelles conditions

Je ne pense pas me tromper de beaucoup en disant 99.9% de gens qui n'y connaissent rien. Mais genre nada, keutchi, que dalle, nichts...
Et qui se foutent complètement du goût du vieux Bordeaux au delà du fait que ça sonne bien et authentique dans l'histoire du gugus qui leur a vendu le vin.
Et qui dans le business où ils ont fait fortune seraient sûrement plus avisés devant de telles sornettes, mais qui là se laissent prendre comme ça nous arrive aussi (à nos échelles et moyens respectifs bien sûr... ).

Rien de bien nouveau sous le soleil au final !

Alain

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Réponse de Vougeot sur le sujet Liber Pater, Bordeaux

Vous y allez à tire-la-Rigaud, dans ce sujet...

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Réponse de Jean-Paul B. sur le sujet Liber Pater, Bordeaux

Je suggère d’ouvrir un sujet «  le vin est-il une œuvre d’art ? »

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Jean-Paul

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Réponse de jean-luc javaux sur le sujet Liber Pater, Bordeaux

Pour ceux qui ont peur des cépages oubliés ou des rescapés du phylloxéra, il y a des "simples" sauvignon-sémillon comme l'Orage 2009 à prix plus modique...
Hannibal devrait d'ailleurs trouver son compte avec les autres vins proposés par Millesima.

jlj

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Réponse de Med sur le sujet Liber Pater, Bordeaux

« On retrouve la finesse des vins préphylloxériques. Liber Pater est le seul vin au monde à vous permettre de goûter le vin que buvait Napoléon. Cela revient à voir un dinosaure vivant. C’est pourquoi nous changeons le goût du vin et c’est pourquoi Bordeaux ment » clame Loïc Pasquet

Pour l’instant à dominante de cabernet sauvignon (98 %), Liber Pater affiche encore une faible part de cépages autochtones (castets, saint-Macaire, tarnay…), qui doit aller croissante à l’avenir (avec l’entrée en production de nouvelles parcelles). « Il y a encore peu de cépages autochtones. Certaines parcelles étant juste plantées, elles n’en sont qu’à la première ou deuxième feuille. Et ce n’est pas la quantité qui importe, des cépages peuvent être très expressifs » explique le chercheur Jacky Rigaux

« Des personnes cherchent la vraie rareté. Ces molécules qui sont réellement précieuses et pas le fruit du marketing. Loïc Pasquet a cette authenticité que l’on peut expliquer à des clients très exigeants » note ainsi un distributeur chinois.

Merci pour le lien Philippe, cet article est une petite perle !!!

Médéric

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Réponse de Raboso del Piave DOC sur le sujet Liber Pater, Bordeaux

Le goût du vin de Napoléon...
Le genre d'interview qui m'éloigne encore un peu plus de la presse vin... que je ne lis jamais

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Mon ami avait une vigne, sur un coteau fertile. Il la bêcha, il l'épierra, il y planta du muscat. Au milieu il bâtit une tour, il y creusa même un pressoir. Il attendait de beaux raisins : elle donna du verjus. (lsaïe, "Le chant de l'ami", 5, 1-7)

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