Petite précision : 26.50€ au domaine

 Domaine Stéphane Tissot, Arbois Pinot Noir En Barberon 2020

Robe intense
Très beau nez, cerise, rose, résine, vanille. Élevé mais racé.
Attaque sapide, végétale noble, pleine de vie.
Volume marqué.
Beaux tanins nobles, suivants.
Finale juteuse, de grande jeunesse, acidulée.
Un pinot noir de très bon niveau, encore fougueux, mais à l'aromatique intense et rare.
Grand potentiel.
Je ne serais pas surpris qu'il damne le pion à de grands nuitons dans une dizaine d'années.
Un domaine que ne m'a jamais déçu.
 

Tissot - Macvin de pinot noir base 2018

Le marc saute au nez, il est prégnant au départ.

Nez qui explose sur les fruits rouges de type cerises, relevé de belles épices.

Bouche complexe, équilibrée, fruits confits, beau moelleux, un poil prégnant tout de même mais l'aromatique est très belle avec beaucoup de fruits rouges et noirs et des notes de chocolat.

TB/TB+

Antoine

Domaine Bénédicte et Stéphane Tissot, Trousseau Singulier 2018.
Robe claire Nez un peu animal mais bien fruité, cerise, fraise. Bouche agréable sans tanins, mais avec une certaine richesse, à se demander si il n'y apas quelques sucres qui se promènent.
Ce n'est pas d'une grande précision mais  ça reste bien bon sur la jeunesse, ça devrait pouvoir vieillir tranquillement.
Marc

Bu ici :  Quelques "off" de LPV Franche Comté - Page 2 - La Passion du Vin - Results from #30

Domaine Stéphane Tissot "En Spois" - Vin de table
Longuement élevé en fût (4 ans)

 

Leteckel : Comment dire...alors que Tophe verse une larme de bonheur devant cette merveille de Savagnin (qu'on a eu bien du mal à identifier) à la vinification totalement hors-norme, j'en verse une de mon côté face à l'acidité dantesque de ce vin qui par moment me fait penser à un jus de pamplemousse pas (assez) sucré 

Bon, ce n'est que mon avis, et trèèèèès différent des 2 lascars qui s'embrassent presque tellement ils sont émus par le nectar !
Désolé Julien, mais je suis passé à côté de ce vin mais le bonheur de Tophe fait tellement plaisir à voir...
J'espère sincèrement que l'un et l'autre viendront "défendre" ce vin hors norme.
En tout cas, merci pour la rareté Julien !

Zapata : Pour finir, le vin de table de Stéphane Tissot "En Spois", une cuvée dont personne ou presque ne voulait à l'époque...il faut dire qu'on était assez loin des canons jurassiens, et que les sucres résiduels pouvaient quelque peu perturber le ressenti en dégustation. Cela me fait penser à un autre grand vin de Ganevat car c'est un Savagnin ouillé, mais dans sa complexité, on a aussi des notes oxydatives. Cela s'enfile comme du petit lait, et heureusement que Tophe a emporté le reste de la bouteille sinon je me serais relevé pour en reprendre la nuit...Totalement atypique s'il en est, magistral de réalisation (4 ans d'ouillage quand même)...et quel millésime !

 

Bénédicte & Stéphane Tissot, Arbois 'Les Bruyères' 2019

 

Robe or, brillante.

Le nez est démonstratif, très ouvert, il évolue surtout sur des arômes grillés (sésame ++) et de fruits jaunes mûrs en arrière-plan. Agréable mais un peu monolithique.

La bouche est est large en attaque mais possède une fine acidité qui titille la langue, c'est ample, gras sans être lourd, tapissant, le volume est impressionnant. L'aromatique est, comme perçu au nez, dominée par des notes grillées.

Bu sur deux jours, il évolue peu à l'aération. Un vin imposant, qui à ce stade impressionne par sa matière mais lasse un peu par le côté monolithique de son aromatique. S'il gagne en complexité, ce sera un très beau vin - à revoir dans une dizaine d'années, en gros. Et j'aimerais bien le voir à l'aveugle au milieu de gros terroirs bourguignons, alors.

Très bien -

Mathieu

Domaine Stéphane Tissot, Chardonnay Patchwork 2021, Arbois blanc
100% Chardonnay / Vignes âgées de plus de 25 ans sur sols majoritairement argileux et calcaires / alc. : 12,5%

Une cuvée que j’ai déjà goûtée sur d’autres millésimes (2015, 2016) mais que je découvre sur celui-ci.

Un vin bu dans le cadre de cette soirée .
 
Robe : très pâle, style eau de roche.

Nez : peu disert, sur les agrumes, quelques notes tourbées.

Bouche : droite, tendue, fraîche, minérale … aromatique un peu timide sur les agrumes, quelques notes florales, les fruits secs et un peu de tourbe. Longueur moyenne.

On sent l’effet millésime : il y a de la tonicité et de la fraîcheur mais le vin manque de chair et de richesse aromatique pour mon goût. Bien sans plus : 14/20.

Fred 

Bénédicte & Stéphane Tissot - Arbois "Rose massale" 2017
Sélection massale de chardonnay rose plantée sur divers terroirs du domaine (Mailloche, Curon, Valière, Bruyères)

 

Le nez est dominé par des notes beurrées et vanillées. Il n'évoque pas que cela, il y a malgré tout du fruit à l'horizon mais j'ai du mal à dépasser ces notes trop en avant à mon goût.

La bouche est rondelette, elle possède un certain volume (mais moins que le Bruyères 2019 ci-dessus), une acidité mesurée mais suffisante pour équilibrer le tout, la longueur est correcte. Pas de problème d'équilibre donc, mais comme au nez l'aromatique est trop beurrée / vanillée pour moi. Ça s'améliore un peu à l'aération, où ces arômes s'atténuent mais ne disparaissent pas.

Pas folichon, j'ai rarement goûté aussi mal un blanc du domaine. Celui-ci ressemble à beaucoup de vins de la côte de Beaune où l'élevage a pris le dessus.

Assez bien + / Bien -

Mathieu

Bu à cette occasion

Crémant du Jura Bénédicte et Stéphane Tissot
La seconde bulle va bien bénéficier du caractère renfrogné de la précédente…de fines notes de noisette, de beurre et de viennoiserie émanent du verre. C’est gourmand et appétant et l’aromatique légèrement oxydative orientent les commentaires vers un beau champagne avec quelques années de cave. La bouche est élégante avec une bulle fine, de la relance en milieu de parcours et une finale fraiche et délicieuse. L’on se ressert avec plaisir…Très beau vin

 Bénédicte et Stéphane Tissot 2020 patchwork chardonnay

nouveau flacon (l'avant dernier après on passe au 21) toujours aussi bon, frais large, juteux, très très joli
grosse longueur saline et crayeuse
seul regret : que les prix cessent de monter... si ça continue ce sera sans moi
excellent...

Les Bruyères 2020 - Bénédicte et Stéphane Tissot

Chardonnay

Robe dorée.

Nez sur la fumée, le sésame grillé, la tourbe, fruit jaune, mirabelles et prunes façon clafoutis.

Attaque en bouche assez stricte et tendue, puis vient une ampleur aromatique impressionnante, sur la pomme au four, encore les fruits jaunes un peu confits, un côté anisé, tout juste ce qu’il faut de fraîcheur pour de ne pas tomber dans les amers. L’equilibre est d’école, la finale est marquée encore par cette fumée et la tourbe, elle est longue et persistante, jurassienne à souhait.

C’est déjà superbe.


 

Portrait 
A 53 ans, Stéphane Tissot incarne aujourd’hui l’une des plus grandes signatures du vignoble jurassien. A la tête de 50 ha en biodynamie près d’Arbois, il inspire et forme toute une génération de futurs grands vignerons.

avis-vin.lefigaro.fr...

 Bénédicte & Stéphane Tissot, Arbois, Rose Massale 2020

Un peu surpris par l'aromatique de ce vin que j'ai trouvé très florale, ce n'est pas sans rappeler des cépages aromatiques comme le Muscat ou le Gewurtz sans que ce soit tout à fait ça. En tout cas le vin reste du bon côté de la force et les aromes non sont pas entêtants.
La bouche est beaucoup plus classique, on trouve un vin à l'élevage maitrisé qui lui donne de la patine et intègre parfaitement l'acidité. Sans doute un petit déficit de matière et de longueur pour en faire un vin remarquable, mais ça reste très bon.

 

Bénédicte & Stéphane Tissot - Arbois Les Bruyères 2018

Contrairement à la bouteille du domaine du Pélican bue récemment qui m'a donné l'impression d'un vin bourguignon déguisé, je retrouve ici ce que j'aime dans les chardonnays jurassiens : un nez légèrement fumé, des fruits jaunes, et surtout une bouche vibrante, bourrée d'énergie, toujours avec cette pointe fumée, un peu de sésame et une fraîcheur superlative.

Un vin assez monolithique, qui manque certainement de nuance en l'état, mais qui se montre réconfortant et généreux comme une belle flambée un soir de grisaille.

Pinot Noir Sous la Tour Arbois 2018 - Bénédicte et Stéphane Tissot

Joli nez légèrement fumé et réduit sur le végétal, la ronce, un peu terreux mais une belle trame de fruits rouges (cerise, groseille) et d’épices (cannelle, girofle).
Un vin assez sérieux en bouche, pas tout à fait ouvert encore, le fond est assez fin, toujours un peu épicé, presque piquant, mais il y a du plaisir nonobstant, finale étirée avec de beaux tannins.

À attendre encore je pense, mais du potentiel.

Stéphane Tissot, Arbois, Clos de la Tour de Curon, 2005

 

Nez légèrement grillé, agrumes, un peu de brioche et de tourbe
Bouche puissante, riche, d'une très belle longueur.
Une magnifique bouteille au niveau des plus beaux Meursault bourguignons.
Aucune urgence à boire, tout ça va encore tenir longtemps.

 Domaine Stéphane Tissot Chardonnay Arbois Patchwork 2020
​​​​​​​
Robe dorée
Beau nez nature, vernis, boisé, végétal, 'jurassien' 
Bouche ample et tendue, citronnée
Grande pureté et énergie
Finale vive et salivante
Longueur notable
Une entrée de gamme de haut niveau.
Cuvée plus 'typique' que Mailloche.
92
Garde possible

Domaine Bénédicte et Stéphane Tissot - Arbois pinot noir Sous la Tour 2020

Ames sensibles s'abstenir, ce CR est le récit tragique d'un infanticide. Mais nous avons des circonstances atténuantes : il faisait soif, la bouteille nous faisait du gringue, il fallait bien ouvrir quelque choses sur les brochettes et, je ne sais plus si je l'ai déjà dit, nous avions soif. Alors voilà, on n'a pas su résister et plop !

La robe est superbe, couleur fraise écrasée. Le nez propose une belle trame de fruits rouges avec un petit côté fumé. Ca donne envie. La bouche est aérienne, un taffetas de fruits, avec de petits tannins innocents comme des agneaux qui viennent de naître. Le vin est tout en finesse mais peine néanmoins à s'affirmer au-delà de la première impression d'intense gourmandise. Il aurait fallu lui laisser du temps !

Moralité, ne faites pas ce que je fais mais faites ce que je dis. Et je vous dis d'oublier cette cuvée en cave quelques années. 

En Barberon Côtes du Jura 2019 - Stéphane Tissot

100% Chardonnay
Nez non marqué par la réduction/fumé ( ) habituelle du domaine, c’est prononcé sur la pomme au four, la mirabelle, une légère touche anisée et mentholée. Très jurassien dans l’esprit donc.
En bouche c’est assez ample, pas d’une grande complexité, peut-être un léger manque d’acidité et de tension comparé aux autres parcellaires du domaine. C’est néanmoins bien gourmand, assez juteux et d’une belle persistance.
Un joli vin.

Quel millésime ce vin, Atmosphère ?

Oups, 2020 pardon, je corrige.

Et pas de 2021 prévu pour cette cuvée au domaine d'ailleurs.

Jura
Un vigneron d’Arbois s’équipe d’un robot enjambeur : une première dans le Jura.

www.leprogres.fr/env...

Par Steko78


Domaine Stéphane Tissot, Côtes du Jura, Chardonnay Les Graviers, 2013

Nez réduit allumette/pétard, qui dévoile ensuite une belle et originale aromatique médicinale évoquant le génépi ou la chartreuse. la bouche est dense, énergique, s’ouvre sur des notes acidulées, puis fruitées, avant une finale persistante sur les cailloux.
J’aime beaucoup.
93-94

Stéphane Tissot, Clos de la Tour Curon, Arbois 2004

Jean-Paul B. post= écrit: Stéphane Tissot, Clos de la Tour Curon, Arbois 2004

Nez bien mûr et complexe, fruits rôtis, abricot, ananas, peau d’agrumes, un trait de tension.
En bouche, c’est une très belle liqueur complexe, avec une légère réduction résiduelle qui apporte une tension salivante.
Grande longueur.
J’adore.


 

Toujours dans la même veine, avec une légère pointe d'oxydation, ce qui, en toute bonne logique chimique, devrait être exclusif de la réduction salivante toujours présente.
Allez, Noël approche, innovons.
Ce vin développe donc maintenant une très légère pointe d'oxydo-réduction.
En tout cas, c'est toujours très bon.

À moins, Jean-Paul, que ce soit une acidité salivante qui ait pris le relais ?

Jean-Loup 

André & Mireille Tissot - Arbois Sélection 1989


Bouchon souple en parfait état.
Belle robe d’or.

Il y a une dizaine d’années, ce Sélection 1989 (assemblage 70% chardonnay - 30% savagnin) nécessitait encore un débouchage deux à trois jours auparavant, suivi d’un carafage de plusieurs heures, pour faire redescendre à une altitude buvable son acidité stratosphérique (cf. par exemple www.lapassionduvin.c..., le vin n° 5).

J’ai donc été surpris dernièrement de le découvrir accessible et agréable dès l’ouverture de la bouteille : l'acidité est très peu présente, et les arômes d'agrumes (ascendant grand-marnier) s’expriment davantage sur le côté suave d’une orange douce, plutôt que sur l’agressivité hérissante d’un jus de citron !

A l’ouverture, la matière est fluide, voire mince - et même limite aqueuse -, mais elle retrouve du corps à l'aération.

Cet assemblage jurassien chardonnay-savagnin de type « Tradition » se livre aujourd’hui tout en douceur, son fond de puissance, encore perceptible, s'étant assagi avec les années.

Très bon - et au final c'est quand même après 2 jours d'ouverture qu'il était le plus épanoui.

Domaine André et Mireille Tissot, Arbois "La Mailloche" 2013

 

Jolie robe d'un doré soutenu.

Le nez est puissant, dominée par des notes grillées (sésame grillé, pop corn) et fumées, classiques de la cuvée. Il présente aussi un fruité bien mûr qui évoque la mirabelle, la pomme cuite, l'orange. Très joli.

La bouche est grasse, large, impactante, c'est un vin qui tapisse la bouche. L'acidité est là qui l'équilibre, mais cette bouche est aussi ronde et gourmande, assez longue, avec une finale qui rappelle ces notes grillées.

Très joli vin, qui paraît à maturité.

Très bien

Mathieu

Domaine André et Mireille Tissot - Savagnin - Arbois 2011

Bouteille achetée 32€ récemment aux enchères dans un lot de 6 partagé à plusieurs.

"Ce vin est issu de terroirs argileux du Trias. L'élevage en fût a duré 32 mois sans ouillage sous un voile de levures. Mis en bouteille en Novembre 2014."

 

La bouteille est ouverte tôt le matin pour midi. Le bouchon est ferme et très bon, imprégné sur 5 mm. C'est vraiment rare mais je passe un moment à le sentir car il révèle déjà une puissance et une complexité d'arômes hors du commun, fruits, légumes (céleri), épices (carvi). C'est un bon présage.

La couleur est vraiment dense, vieil or, presque cuivrée, grasse, brillante.
Le nez est de suite puissant et typé par la noix verte et des épices discrètes, on devine à peine de la pomme verte. C'est surtout ce végétal puissant de noix verte qu'on sent.
L'agitation apporte quelques nuances vanillées et fruitées de pomme mais l'ambiance "jaune" est bien dominante, pas facile de mettre des mots dessus.
La bouche attaque équilibrée avec de la rondeur et une acidité nette mais le vin est bien enrobé et glisse tout seul. Il remplit bien a bouche par sa présence d'arômes et sa puissance qui est soudain amplifiée dans la finale. Il reste une impression acidulée sur les côtés de la langue. Plus j'en en bois, plus je sens le contraste entre l’attaque presque fine et la finale puissante (ma non troppo), c'est une belle sensation. Les arômes sont difficiles à décrire, mélange d'acidulé et de douceur, légèrement épicés mais frais et nets. L'amertume apparaît doucement ensuite.

En mangeant (reste de poulet avec champignons de Paris, vin blanc, épices et crème, la version du pauvre du poulet au vin jaune, en somme), il se simplifie un peu et semble plus vif. Il retrouve du tonus sur le fromage.
Les jours suivants, le nez prend des arômes plus puissants de champignon séché (morille) mais la bouche est toujours au point.

C'est donc un oxydatif d'école qui laisse des sensations que peu de vins peuvent offrir. Le parcours en bouche est mémorable, mélange de claque et de caresse.
Une bouteille parfaitement à point et, donc, beaucoup de plaisir. Du beau travail!

Patrice

Quedubon, quedubouchon


Domaine Bénédicte et Stéphane Tissot, Trousseau Singulier, 2016

Un bouchon monumental, une vraie horreur...
ED

Bénédicte et Stéphane Tissot - Arbois chardonnay Patchwork 2018

Deuxième millésime que je goûte de cette cuvée après 2016 et c'est toujours aussi bien. La robe est couleur paille et le nez délicatement fumé (j'adore) propose des arômes de fruits blancs et jaune (mirabelle).

La bouche est pêchue, on a affaire à un vin puissant, moins vif que le 2016, mais plus facile, aguicheur, avec une pointe saline qui relance la finale. Bien qu'en dessous du 2016, c'est très bon. Décidément, ce Patchwork est une belle cuvée.