Chateauneuf du Pape Chateau Rayas Pignan 2011

Je partage à 100% le CR de Benoît Hardy d'octobre. Le vin est superbe. Ouvert et épaulé le matin pour le midi, servi autour de 15/16 degrés le vin est dans une très belle phase, ouvert, expressif complexe.
​​​​​​Du grand Reynaud.
Marc
 

Château de Fonsalette rouge 2011

Ouvert et épaulé à 11h. Carafé à 15h. Carafe bouchée à 19h00. Dégustation à partir de 23h.
Robe rubis profonde translucide, sombre.
Nez intense de pralin, de fraise, de garrigue, de menthe poivrée. Cuir, cassis, mûre, voire gelée de mûre.
Bouche fraîche, épicée, longue, très longue.
Comme pour Rayas 2006 l’année dernière, l’aération lui apporte un surplus de corps et de densité.
Un vin remarquable, parfaitement à point.
Magnifique !!!

Cordialement,

Hervé

Bonjour,
J'ai une opportunité pour m'offrir enfin un rayas, j'ai le choix entre 2006/2007/2008/2009 pour le même prix malheureusement je ne peux m'en offrir qu'une bouteille, vous choisiriez quel millésime ??

2007

Bonsoir, personnellement , n'ayant pas encore bu le 2009 qui nécessite de l'attente, j'aurais l'occasion de recroiser le 2008 (j'en ai redemandé sans succès)  je n'hésiterais pas une seconde.

A part 2008 les autres sont à garder encore longtemps. Mon conseil est de foncer sur 2008, millésime qui à Rayas à donner un vin d'une rare élégance (le marketing dirait façon grand cru de la Cote de Nuits). En plus c'est à boire maintenant, et donc tu sauras vite pourquoi Rayas est Rayas

pierrelepecheur post= écrit: … En plus c'est à boire maintenant, et donc tu sauras vite pourquoi Rayas est Rayas

cad : beaucoup trop cher et trop irrégulier pour le prix demandé 😁🤣 

Merci pour vos retours je vais essayer d’avoir le 2008 !

E Reynaux recommande le 2006 
Le 2008 et 2011 sont jouable pour ouvrir
Les autres à attendre pour spéculer 

2008 sans hésitation, le plus grand que j'ai eu l'occasion de croiser. Sinon 2006 qui est très beau également. 

Le 2006  il doit encore tellement attendre?

jlj

Pas spécialement, c'était plus dans une optique de prochaine régalade. Je pense que 2005, 2007, 2009 sont clairement à attendre par contre. 

Bu ici
Pignan - Châteauneuf-du-Pape 2011
lucas_mir
Quel romantisme, avec ses notes de rose et d'épices douces (même si pour certains, cela pourrait peut-être être too much, un vrai souk!), quelle beauté (cette luminosité!). Zidane contre le Brésil en 2006.

the_ej
Une robe rouge carmin plutôt claire, légèrement trouble, qui tranche avec les précédents.
Un nez envoûtant qui oriente immédiatement sur le géniteur : ça sent la fraise écrasée, les épices douces. Je comprends qu'à haute dose cela puisse lasser, mais en l'état c'est un véritable parfum !
La bouche est une synthèse entre vin sudiste et nordiste, avec cet équilibre idéal entre densité et finesse, avec des tanins complètement poudreux, apportant une sensation de velours, et pas la moindre sensation chaleureuse.

Au final, pas d'accord idéal à mon goût sur le plat, le Zaccharie étant trop ferme, le Chinon trop primaire pour la sauce bien corsée, et le Pignan pas assez sage (il aurait préféré un plat plus sudiste je pense, mais il reste le meilleur choix des trois).

Et évidemment, une bouteille de plus dans la longue série actuelle qui confirme la qualité de ce vin et la bonne fenêtre d'ouverture.

LPV Franche-Comté : Session "améliorée" par Le Teckel


Pignan - Châteauneuf-du-Pape 2011
Nez qui pète littéralement l'orange sanguine, avec en prime des notes de tabac brun.
Avec la superbe robe trouble, le géniteur ne fait que peu de doute à ce stade.
Bouche énorme de puissance, de longueur, d'aromatique et d'exubérance.
Avec l'aération, les épices débarquent...
Superbe vin, incrachable pour moi.  

Chateauneuf du Pape Chateau Rayas 2006

Magnifique nez kaléidoscopique sur l’orange sanguine, la fraise écrasée, la framboise et les épices. On y revient sans cesse. Lorsque la dégustation commence au nez, c’est que c’est prometteur!

La bouche possède une attaque très fine, sur la fraise et la framboise. Puis tout s'enchaîne, de manière très sereine, on part ensuite l’orange sanguine et ça déroule avec des épices et des arômes terreux. Le jus est ample mais à la façon bourguignonne, c’est à dire qu’il est difficile de déceler la chaleur de Chateauneuf malgré l’intensité du vin. Par contre, la finale, elle, est beaucoup plus alcooleuse, mais toujours intégrée à l’ensemble de sorte que cela reste cohérent avec le vin qui reste harmonieux sur une grande longueur.

Excellent, je manque de marqueur sur Rayas pour dire si c’est grand ou pas, mais cela reste une expérience qui ne s’oublie pas.

Chateauneuf du Pape Chateau Rayas Pignan 2009

Bouteille ouverte au restaurant sans préparation particulière comme le préconise le géniteur de ce vin.

Nez sur la cerise, le kirsch et la rose fanée.

Bouche assez austère, avec un jus qui peine à se livrer immédiatement mais qui atteint un bon équilibre après une bonne aération sur des arômes de cuir. Le vin possède un beau toucher soyeux mais il a terriblement besoin d’une aération importante. Finale plus alcooleuse avec des amers incisifs qui réhausse l’ensemble sur une finale fraîche avec de la framboise qui revient façon boomerang.

Très bon vin, pas dégusté dans des conditions optimales malheureusement. Mais le 2011 dégusté quelques mois auparavant m’avait plus impressionné, 2009 étant un millésime plus solaire et donc bien plus riche, ce n’est guère surprenant, cette bouteille a besoin de plus de temps devant elle.