Rayas 2010
Bouteille ouverte, aérée et épaulée 15h avant le service. Les marqueurs de Rayas se devinent, mais le nez et la bouche sont fermés et austères.
Le lendemain au moment la dégustation à l’aveugle, le vin n’a pas évolué. Rayas est néanmoins reconnu, mais nous décidons de changer l’ordre des vins pour finir le repas avec, et opérons à un carafage vif.
La robe est sombre et trouble.
Le nez laisse deviner le combo classique fraise écrasée, oranges sanguines pétales de roses et épices, mais sans tranchant et l'élégance habituelle.
La bouche est brouillonne, le vin est concentré et alcooleux, l’aromatique complexe s'exprime mal. Seule la longueur exceptionnelle est au rendez vous.
C’est pas fou pour un Rayas, loin en l'état des millésimes 2001, 2003 ou 2006 dans mes souvenirs.
Ce n’est pas la première fois que j’ouvre la bouteille de l’allocation rapidement, mais j’avoue être déçu en particulier pour mes amis à qui je souhaitais partager ce plaisir.
A attendre.


 

Bu   ici

Château Rayas - Châteauneuf-du-Pape 2008

Icna :
Le nez est très ouvert sur les épices douces, la rose, le pamplemousse, on est au souk.
La bouche est riche, puissante, complexe avec un côté gingembre détonnant. Ça arrive à grader une belle fraîcheur et ça termine sur une grosse longueur. Excellent.

Enzo daviolo :
Nez complexe et envoutant sur les épices douces, la garrigue, le souk, typiquement dans le style de la maison. Très beau.
La bouche est dense, sudiste, gourmande, presque envoutante, glycérinée avec une légère amertume finale mais une énorme persistance. Ensemble très juteux, on a envie d’en boire encore et encore. Magnifique vin qui se met vraiment en place. Excellent.​​​​​​

 Château Rayas, Châteauneuf-du-Pape rouge 2005

Le nez est évolué mais garde la patte Reynaud avec du pomelos, de l'orange sanguine, des fruits rouges. Il y a aussi du sous bois, le côté oxydé du grenache.
La bouche est assez légère, plutôt aérienne, mêlant le côté infusé avec un côté sudiste, la garrigue. La finale est longue mais un peu chaleureuse. Ça manque un peu de répondant et de peps mais l'aromatique m'embarque.

Château Rayas, Châteauneuf-du-Pape rouge 2006

Ouvert 24h avant. Bouchon nickel, à peine imbibé.

La robe est relativement claire mais montre des signes d'évolutions.
Le nez, et quel nez, profondeur, complexité, fraicheur, changeant. Il évolue sans cesse pour une aromatique éclatante de fraise, framboise très pur, puis épices, les oranges sanguines, puis tout ensemble. 
La bouche est très fine, matière honorable, finale d'une grande intensité orange sanguine, fraise, épices douce. Une longueur incroyable mais sans réelle vibration.
Avec l'aération, il reprends plus de corps et d'amplitude, mais l'aromatique perds en tonus.

Au final très bonne bouteille avec un nez magnifique mais une bouche sans réelle émotion. Très belle accord avec Cachena, très forte en gouts.

Dom

*   
*Bouteille de 1ère main. L'étiquette c'était complètement décollé, je l'ai cellophané mais un peu de travers, c'est une vrai 

L'étiquette s'était complètement décollée

C'est donc bien une vraie !

Bonjour
A TAAAAAAAA ABLEE.
Pour accompagner 3 petits kilos de côte de boeuf de chalosse et 3kg de gratin dauphinois, après un Clos Velicane en apéritif, on avait décidé de poursuivre à l'aveugle avec 2 vins rouges.
Le 1er vin,  Chateau Rayas Pignan 2011, est ouvert le matin vers 8h pour être bu vers 13h30.
Les amis présents sont des amateurs mais ne connaissent de Mr Reynaud, que le Domaine des Tours et un Pialade dégustés ensemble. Ils habitent la Réunion, et le vin, comme tant d'autres choses, est très cher sur place. Je me faisais une joie de partager avec eux cette bouteille, mais avec la crainte qu'elle ne soit pas pas prête...(souvenir du Rayas 2011 bu en décembre décevant).
Elle l'est.
Dès l'ouverture, ça embaume, la fraise écrasée.
A table, la robe claire, légèrement trouble, fait dire à mon amie qu'elle a déjà  bu un vin de même type.
Le nez est exquis, on peut y passer des heures les nazeaux  au dessus.
La bouche est voluptueuse, douce, pas douceresue, mais s'élire finement.
C'est bon, c'est prêt, c'est un moment de pur bonheur.
Agnès, 
PS: un des convives n'a pas aimé.

 Château Rayas, Châteauneuf-du-Pape, Pignan 2011

Sur les bons conseils vu ci-dessus j'ouvre cette bouteille le matin pour le midi.
Dès l'ouverture ça embaume la fraise. Le but est de faire goûter à une copine vigneronne à chateauneuf car le rayas 2005 bu récemment était décevant et il ne fallait pas rester sur cette impression.

 C'est assez typique du domaine, fraise, orange sanguine,  soyeux, un peu solaire mais jamais chaleureux avec une belle acidité pour équilibrer le tout. C'est vraiment classe avec le petit plus qui fait dire qu'on est  sur chateauneuf (par rapport au domaine des tours). Belle longueur. 
Ça ne fait que s'amplifier à l'aération. Une bouteille vraiment excellente digne de sa réputation. 

LPV Grenoble déguste les millésimes en "6"! par Oberlin


Château Rayas 2006
Robe claire et tuilée "à la Reynaud".
Nez très joli, conforme aux attendus, fraîcheur, complexité, agrumes, fruits, on a toute la palette qui nous fait aimer (ou pas) ces vins.
La bouche est chouette sans être très puissante, finesse, élégance malgré un alcool nettement présent. Ça se boit tout seul quand même!
A mon grand étonnement le vin se fait dominer par le plat.
Excellent.

Bu lors de cet évènement

 Châteauneuf-du-Pape Rayas 2008

Icna
Le nez est floral sur la rose, la fraise, typé !!
La bouche est assez concentrée avec un peu de glycérole, de la fraise, de l'orange sanguine et une belle longueur. Le millésime est trouvé, c'est très bon mais je pense qu'il peut encore s'améliorer au vieillissement.

Enzo d'Aviolo
Le nez est floral sur la rose, la fraise, typé !!
La bouche est assez concentrée avec un peu de glycérole, de la fraise, de l'orange sanguine et une belle longueur. Le millésime est trouvé, c'est très bon mais je pense qu'il peut encore s'améliorer au vieillissement.

Bu lors de cet évènement

 Châteauneuf-du-Pape Rayas 2001
2 bouteilles

Icna
Le nez est typé sur la fraise, parfumé, un peu sanguin avec un peu de volatile.
La bouche est sudiste mais fine avec un léger beurré, des agrumes, des épices et un petit côté métallique. Il n'y a pas de doute sur le domaine et le millésime 2001 est cité par plusieurs personnes.

Enzo d'Aviolo
Nez complexe et multiple à la Reynaud sur les épices douces, la rose fanée. C’est très élégant et pas excessif sur cette bouteille. Superbe.
La bouche est bien sudiste avec des tannins imperceptibles tant ça glisse sur le palais. C’est ample, chaleureux aussi mais juteux et vraiment très persistant. Très beau. Très Bien +.
 

Pignan, Châteauneuf-du-Pape, 2010

Je collecte mes allocations de ci de là. Je m'arrête à l'Auberge de Saugras. La coutume est d'ouvrir un Pignan ; ouvert le midi pour le soir sans être épaulé.
La robe un poil trouble est plus sombre que celles des rares déjà bus. Le nez est expressif, classe sans être dans la grande typicité du Domaine ; fruits murs, épices, léger trait d'agrume, ensemble dense qui ne se déliera pas le long du repas. La bouche est du même acabit, très jolie, complexe mais je la trouve sur la reserve, serrée. Il faut encore du temps au vin pour être excellent.

Bu lors de cette soirée.

Château Rayas – Châteauneuf-du-Pape Rouge 2004
Nez intense, assez précis ouvert et volumineux qui réussit l’équilibre entre la finesse, délicatesse et la puissance et le soleil. Aromatique sur la vieille confiture de fraises, orange sanguine, rose fanée, épices, réglisse. Des notes balsamiques, vendange entière, végétal noble. Très beau fruit.
Bouche puissante, peu extraite, soyeuse, joli toucher, solaire et le vin prend du volume en seconde partie avec une belle intensité sur les fruits rouges confiturés et aussi un côté végétal noble, menthol. Énorme longueur avec de la réglisse et un côté salivant.
Grand vin.
 

Les amis, c'est la vie !

Pignan, Châteauneuf-du-Pape, 2011

 

Oliv
Robe très claire, sur un œil de perdrix évolué.
Nez évident, gourmand, classique de la maison, sur la rose poivrée, la fraise sucré, des notes d'orange sanguine, d'épines de pin, avec une géniale pointe végétale qui va et vient dans le verre. C'est splendide !
Bouche gourmande, sur une attaque lascive à la sucrosité fraîche. Très belle relance et tenue de bouche qui évite l'effet bonbon qui me dérange souvent sur les Reynaud grâce à une acidité volatile très bien positionnée et qui porte des goûts délicieusement complexes dans un ensemble riche et frais à la fois.
Finale remarquablement longue en dégustation seule, sans aucuns tanins perceptibles mais qui semble un peu mangée par la chair fondante et la sauce succulente qui accompagne l'agneau.
Très beau vin de plaisir, au point d'équilibre et d'accessibilité parfait en l'état.

Enzo
Nez complexe et archétype de chez Reynaud sur le loukoum, les épices orientales, la fraicheur de la vendange entière, un kaléidoscope habituel et très avenants sans trop d’excès qui rendent ce nez plus que charmeur.
La bouche possède une forte gourmandise soutenue par une acidité haute (volatile qui ne me dérange pas, mais j’y suis tolérant), du gras conjugué avec une douceur tactile d’infusion. C’est long, sans excès d’amers. Vraiment très bon.
Très Bien +.

Karim
Je ne sais plus qui a dit que c'est un vin bordel ?
Bordel car le nez est très changeant. On passe du pamplemousse à la fraise, du 5 épices à la prune, de la résine de pin à l'abricot. Très bordélique !
La bouche conjugue la gourmandise et la richesse, aucun tannins, glycérine et une acidité trop géniale qui équilibre le tout.
Un gros pignan très accessible (mais moins géniale que le 08 quand même).

Bu ICI  

Château Rayas, Châteauneuf-du-Pape, Pignan 2011



La robe est grenat translucide.

Son nez est très  expressif, sur la rose fanée,  l'orange sanguine, la  framboise confite. J'avoue que dès le départ, je pense à un vin de Reynaud,  mais en même temps, il me rappelle également Pradel des Terrasses d'Elise sur certains millésimes.

La bouche est ronde, ample, douce, avec une matière caressante, aérienne, fraîche, délicatement veloutée, et une aromatique très florale, le tout étiré par une grande tension.  

La finale est  très ample, encore plus expressive, sur la violette, la rose, l'orange confite, le réglisse, l'eucalyptus....Effet wahou garanti 

 

Rayas 2004 invendu á la vente aux enchères de Steinfels d’hier à Zürich, il semble que la cotation corrige pour ne pas dire s’effondre : de + de 2000.- invendu à 800.-  … et pourtant le 2004 sans atteindre le sommet du 2003 ne démérite pas … 

pour tous ceux qui trouvent le prix encore beaucoup trop élevé et n’ont pas envie d’attendre 2 h en plein soleil du mois d’aôut devanr la porte du domaine  je recommande une alternative à 30€ :

 

robe translucide aux 1ers reflets évolués, je n’ai pas trouvé de fraise au nez par contre des notes d’agrumes délicatement épicées,
en bouche très belle finesse complexe, l’air de famille est frappant, si on aime le style Rayas cela vaut la peine de tenter l’essai

 

Bonjour à tous, 

Des avis sur Rayas 2012 ? 
De ce que je sais c'était un millésime frais.

Antoine.

la dégringolade se poursuit, reçu aujourd'hui 

 THE DEAL OF THE DAY 
24 BTS RAYAS 2009 AT 890.- CHF PER BT
24 BTS RAYAS 2010 AT 890.- CHF PER BT
24 BTS RAYAS 2011 AT 800.- CHF PER BT 

à partir de 150.- j'en prends 

Château Rayas – Châteauneuf-du-Pape – Pignan – 2011

Bue  ICI

La robe claire se montre très évoluée par sa teinte fauve.
Le nez très intense, presque puissant, se révèle très Reynaldien par son aromatique de rose, d’orange sanguine, de fruits rouges, et étonne par sa belle fraîcheur.
Le profil de la bouche est très élégant, avec toujours une aromatique addictive en rétro-olfaction. Peu d’alcool est ressenti, au contraire d’une certaine vivacité, ce qui renforce l’harmonie et l’allonge.
Excellent

Jean-Loup

 Château Rayas, Châteauneuf-du-Pape, Pignan 2011

La mode est au Pignan 2011 sur LPV !

 
Merci Jerem pour la photo!

Bouteille ouverte le matin pour le soir avec juste un petit prélèvement pour vérifier la bouteille.
Robe très claire, tuilée sur l’ensemble de son corps  , reflets orange intense. Magnifique.
Nez extraverti sur les marqueurs du domaine plus orange que fraise, les épices douces. La bouche est puissante et surtout bien équilibrée, l’alcool est en retrait, le touché soyeux, presque glycériné. On a l’alcool sans l’alcool! Grande longueur, persistance.
Grand vin.

Bouteille ouverte en pleine forme grâce au forum. Merci LPV !

bu ici

Chateauneuf du Pape Chateau Rayas Pignan 2011

Nez sur des arômes intenses de fraise, garrigue et orange sanguine.

Bouche beaucoup plus aérienne que le nez ne le laissait croire. C’est velouté, sur la rose fanée, avec une grande tension qui étire un jus dense, mais tout en longueur. Cette sensation de fraise glycérinée est magnifique. Grande finale, puissante et fraîche à la fois sur l’orange sanguine. Longueur saisissante.

Excellent, vin lumineux et évident je ne bois pas souvent des Reynaud mais ce Pignan m’a conquis.

Rayas 2006 Blanc

Superbe vin d’un grand équilibre qui ne tombe pas dans les amers ni l’alcool. Nez assez fin, pas d’une grande exubérance mais précis sans cacher son origine sudiste. Bouche avec évidemment beaucoup de mâche et de concentration, mais le vin reste fluide, un poil minéral (ne parlons pas non plus d’acidité). Aromatique d’un Sauternes avec un peu d’âge sans le safran, plus herbacée et anisée.

Excellent.

Bu lors de cette série www.lapassionduvin.c...

Domaine Reynaud Chateauneuf du Pape Pignan 2011
Robe claire, nez mélange de fraises, d'oranges , bouche bien consistante, légèrement glycérinée , une petite richesse ressentie, connaissant Tonio, ce n'est pas un Château des Tours , donc Rayas ou Pignan, très beau mais comme d'habitude je n'en bois qu'un demi verre surtout étant le dernier de la série des rouges, merci Tonio, tu ne me l'avais jamais sorti.

Stéphane

Benoit Hardy écrit:

bu ici

Chateauneuf du Pape Chateau Rayas Pignan 2011

Nez sur des arômes intenses de fraise, garrigue et orange sanguine.

Bouche beaucoup plus aérienne que le nez ne le laissait croire. C’est velouté, sur la rose fanée, avec une grande tension qui étire un jus dense, mais tout en longueur. Cette sensation de fraise glycérinée est magnifique. Grande finale, puissante et fraîche à la fois sur l’orange sanguine. Longueur saisissante.

Excellent, vin lumineux et évident je ne bois pas souvent des Reynaud mais ce Pignan m’a conquis.

 

Pignan est le seul vin de chez lui qui m'ait conquis à ce niveau d'excellence exponentielle.. C'était effectivement immensément grand... et même deux fois dans le cas de Pignan 2001.

LPV GRENOBLE

Le vin suivant est nettement plus sudiste dans l’esprit. Le nez est très beau, puissant, riche menthol/notes herbacée noble (comme sur Simone).
La bouche est puissante, grasse, citronnée, très longue, elle s’exprime encore sur le fruit et ne montre aucun signe d’évolution. Ça chauffe quand même un peu en final même si ça reste d’une grande finesse. Je pars sur un beau Châteauneuf, certains pensent directement à Reynaud qui a aussi sa « patte » pour les blancs.
Excellent et superbe sur le plat (Lotte au beurre blanc truffé)
Châteauneuf du Pape, Château Rayas, 2008
Marc

Rayas rouge 1998

Robe claire
La bouche est très épicée, confiturée, sucrailleuse, fruits cuits.
C’est un tableau un peu écœurant.
Moyen

LLDA écrit:

Rayas rouge 1998
Robe clair
La bouche est très épicée, confiturée, sucrailleuse, fruits cuits.
C’est un tableau un peu écœurant.
Moyen

Je l'ai goûté en 2012. C'était assez massif et puissant, un peu fermé. Tout à fait correct mais pas génial (surtout au vu du tarif demandé à l'époque). Intéressant developpement, le vin s'est manifestement ouvert mais semble avoir perdu en équilibre général... j'aurais pas forcément parié là-dessus.

NB : la robe n'était cependant pas claire du tout...

C'est le 1er millésime d'Emmanuel Reynaud, si je me souviens bien. Il devait se chercher encore 

Eric B écrit:

C'est le 1er millésime d'Emmanuel Reynaud, si je me souviens bien. Il devait se chercher encore 

Ca tombe bien celui qui devait nous l'apporter à notre prochaine soirée ne pourra venir.

 

Château Rayas, Châteauneuf-du-Pape, Pignan 2012

Bouteille ouverte la veille au soir pour le déjeuner du lendemain. La sommelière me confie que le vin était assez fermé fermé à l’ouverture et elle l’a donc épaulé.

La robe est superbe, sur un rouge carmin qui brunie avec des reflets tuilés.

Le nez est à tomber, c’est peu dire que le vin pinote, on est transporté par des effluves de fraises écrasées, de pivoine et de rose avec du menthol qui lui donne une certaine fraîcheur. Aucune sensation d’alcool ou de lourdeur, une aromatique d’une grande finesse qui nous transporte sur les terroirs de vosne.

La bouche est au diapason, et marque plus par sa finesse que sa densité ou longueur, avec un léger côté éthéré sans que les 15 degrés d’alcool ne se ressente.

Pas grand chose à rajouter à ce bébé Pignan qui se présente dans une phase que j’affectionne, quand le tertiaire n’est pas dominant. Beau moment d’émotion et de partage accompagné de mon papa pour son anniversaire.

Superbe en dégustation pure, et a bien accompagné un menu retour de chasse (palombe en paté croûte, Colvert fumé au céleri, côtelette de cerf et lièvre à la royale façon Antonin Carême.

 
 

Château de Fonsalette, Côtes-du-Rhône 2011
Simplement ouverte 48 heures avant. Nez intense sur l’orange, le chocolat. J’y trouve plus de finesse comparé aux bouteilles du domaine et château. La bouche présente une matière percutante, dense et profonde, on retrouve les marqueurs de la galaxie Reynaud. Concentration, longueur, gourmandise, équilibre, finale légèrement sucrée, totalement fan… Excellent.




Bu quelques jours avant ce Domaine des tours Reynaud 2015. Un jus de fraise poivré, orange sanguine, rondeur et sucrosité. Beaucoup de fruit. Pas de sensation alcooleuse ou déséquilibré. Moins de longueur, de profondeur et de complexité que le Fonsalette bien sûr mais quand même TB+.