Nous avons 2805 invités et 49 inscrits en ligne
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
Il me semble qu'avant de parler de cépages, il y a mille autres choses possibles pour s'adapter au réchauffement/changement climatique et continuer à produire, en Bourgogne, des pinots noirs aériens et floraux. Je donne quelques exemples :Hello agitateur,
J'imagine bien que la viticulture et la vinification vont permettre de gommer un peu les conséquences du RC sur le PN bourguignon mais jusqu'à quelle conditions climatiques peut-on produire un PN qui aura le profil aromatique de celui qui a rendu la region si attractive ?
Sur les terrasse du Larzac, plusieurs vignerons m'ont dit qu'ils allaient probablement arrêter la syrah à cause du RC.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
je partage cette analyse à ceci près que la bourgogne et le bojo sont peu comparables sur les effets. Autant le profil bourguignon change au détriment de la finesse parce le pinot est un cépage fragile face aux chaleurs et confit vite, alors que les sols du bojo, les expositions multiples et l'acidité naturelle des gamays mûrs (sans remettre en cause l'évolution favorable des process) bénéficient aux vins du bojo dans le cadre du RC.
Il me semble qu'avant de parler de cépages, il y a mille autres choses possibles pour s'adapter au réchauffement/changement climatique et continuer à produire, en Bourgogne, des pinots noirs aériens et floraux. Je donne quelques exemples :Hello agitateur,
J'imagine bien que la viticulture et la vinification vont permettre de gommer un peu les conséquences du RC sur le PN bourguignon mais jusqu'à quelle conditions climatiques peut-on produire un PN qui aura le profil aromatique de celui qui a rendu la region si attractive ?
Sur les terrasse du Larzac, plusieurs vignerons m'ont dit qu'ils allaient probablement arrêter la syrah à cause du RC.
- Réévaluer la qualité des terroirs --> déjà esquissé par Agitateur mais les GC ont en partie été reconnu pour leur propension à atteindre des maturités plus élevés. Et si aujourd'hui, le grand terroir n'était plus le même puisque les conditions climatiques changent ? Quid des expositions nord ? Quid de l'altitude ? Quid des terroirs dits froids comme St Romain par exemple ?
- La date de vendange --> sans basculer dans le pas mûr/vert, il y a probablement un travail à faire sur la date de vendange. Je prends un exemple que je connais bien car j'y vendange depuis 4, les crus du Beaujolais. On entend les mêmes réflexions sur le Beaujolais que sur le Bourgogne, avec des vins qui deviennent plus massifs. Mais enfin, quand j'y vendange chez Obora, nous sommes quasiment les seuls à vendanger à Chenas ou Juliénas. Résultat, les vins produist sont davantage sur la finesse que la puissance.
- Les extractions et l'égrappage --> Henri Jayer a révolutionné le style des vins bourguignons en égrappant à 100%. Ce temps-là n'est-il pas révolu ? Il me semble que certains domaine sont déjà répondu à cette question en n'égrappant de moins en moins.
Je m'arrête là mais on pourrait discuter des heures des solutions possibles.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
Je nuancerais ton propos sur le Beaujolais. La diversité des sols est très importante dans cette région. Pour discuter simplement du plus connu d'entre eux, le granite (puisque je parlais des crus), il me semble que ce n'est pas un cadeau car il est particulièrement drainant. En revanche, c'est vrai qu'avec les expositions il y a beaucoup à faire.
je partage cette analyse à ceci près que la bourgogne et le bojo sont peu comparables sur les effets. Autant le profil bourguignon change au détriment de la finesse parce le pinot est un cépage fragile face aux chaleurs et confit vite, alors que les sols du bojo, les expositions multiples et l'acidité naturelle des gamays mûrs (sans remettre en cause l'évolution favorable des process) bénéficient aux vins du bojo dans le cadre du RC.
Il me semble qu'avant de parler de cépages, il y a mille autres choses possibles pour s'adapter au réchauffement/changement climatique et continuer à produire, en Bourgogne, des pinots noirs aériens et floraux. Je donne quelques exemples :Hello agitateur,
J'imagine bien que la viticulture et la vinification vont permettre de gommer un peu les conséquences du RC sur le PN bourguignon mais jusqu'à quelle conditions climatiques peut-on produire un PN qui aura le profil aromatique de celui qui a rendu la region si attractive ?
Sur les terrasse du Larzac, plusieurs vignerons m'ont dit qu'ils allaient probablement arrêter la syrah à cause du RC.
- Réévaluer la qualité des terroirs --> déjà esquissé par Agitateur mais les GC ont en partie été reconnu pour leur propension à atteindre des maturités plus élevés. Et si aujourd'hui, le grand terroir n'était plus le même puisque les conditions climatiques changent ? Quid des expositions nord ? Quid de l'altitude ? Quid des terroirs dits froids comme St Romain par exemple ?
- La date de vendange --> sans basculer dans le pas mûr/vert, il y a probablement un travail à faire sur la date de vendange. Je prends un exemple que je connais bien car j'y vendange depuis 4, les crus du Beaujolais. On entend les mêmes réflexions sur le Beaujolais que sur le Bourgogne, avec des vins qui deviennent plus massifs. Mais enfin, quand j'y vendange chez Obora, nous sommes quasiment les seuls à vendanger à Chenas ou Juliénas. Résultat, les vins produist sont davantage sur la finesse que la puissance.
- Les extractions et l'égrappage --> Henri Jayer a révolutionné le style des vins bourguignons en égrappant à 100%. Ce temps-là n'est-il pas révolu ? Il me semble que certains domaine sont déjà répondu à cette question en n'égrappant de moins en moins.
Je m'arrête là mais on pourrait discuter des heures des solutions possibles.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
Des journalistes et chercheurs découvrent l'eau chaude.Changement climatique et vin: une étude jette un pavé dans le marc
information fournie par AFP•12/10/2023
www.boursorama.com/a...
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
La même info un peu plus développéeChangement climatique et vin: une étude jette un pavé dans le marc
information fournie par AFP•12/10/2023
www.boursorama.com/a...
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.