moi aussi je suis assez gêné des prix pratiqués qui me font éloigné des crus que j'aime, aimais, ou aurait aimé gouté.Dans les enchères c'est normal c'est la nature même des enchères mais chez certains cavistes ca devient assez pénible.
Je n'ai jamais vendu de vins que se soit aux enchères ou en privé (j'ai essayé une fois mais abandonné je tiens trop à mes bouteilles et à ce qu'elles contiennent),Le jus je le bois., je me tiens loin de la spéculation et à l'avenir je tournerai ma souris 10 fois avant de cliquer dans des ventes aux enchères. Ces clos rougeard auront toute une histoire quand je les boirai!!! dans la tête de certaines personnes, l'effet psychologique du prix influe sur leur appréciation, plus c'est cher, meilleur cela est! donc je viens sans m'en rendre compte d'améliorer la qualité de mes clos rougeard à 219 euros par rapport à ceux que j'aurai payé au bon prix()
je ne veux pas mettre tout le monde dans le même panier mais souvent se sont les mêmes qui s'offusquent et qui revendent leur vin à bon prix...
je ferai un CR des Clos Rougeard avec plaisir

Ayant acheté un Poyeux 1997 pour "seulement" 60E chez Lavinia j'ai presque l'impression d'avoir fait une affaire...

Non, pas vraiment, mais je voulais goûter une bouteille plus proche de la maturité (quitte à y mettre un certain prix car on les trouve difficilement) avant d'acheter d'autres sans être sûr que j'aime. D'autant plus que Poyeux 2003 ne m'a pas plu il y a deux ans - sans doute trop jeune et issu d'un millésime spécial

Et je n'étais pas décu - le nez est très fin sur la liqueur de poivron rouge et le paprika - en bouche on trouve les mêmes parfums avec une trame très fine : peu de tanins mais une belle acidité qui portera le vin encore quelques années et une grande longueur - excellent

je n'ai pas trouvé la minéralité calcaire tranchante que j'aime dans les Chinons mais plutôt le soyeux et la finesse d'un grand bordeaux de 20 ans ou plus

Clos Rougeard "Le Bourg" 2001
Dégusté aujourd'hui avec une côte de boeuf grillée accompagnée de girolles et de haricots verts.
Robe rouge assez claire. A l'ouverture un nez puissant et prononcé avec une odeur....de sang! C'est clairement la première impression qui m'est venue (je vous rassure je ne passe pourtant pas mes week-end à trucider des gens...). En bouche le vin est un peu fermé.
Après un carafage d'1h30 nous nous attaquons donc à la bête. Le nez s'est un peu civilisé. Je retrouve toujours ces notes sanguines mais avec également des parfums de petits fruits rouges. En bouche...et bien c'est splendide! Surprise d'abord car j'ai trouvé la matière plutôt légère, très "fluide" (peut-être l'effet 2001? ...c'est mon premier "Bourg" et je m'attendais à une matière plus imposante). Mais par contre les parfums explosent en bouche. En première bouche des notes de fruits rouges (groseilles), un ami dit également "grenade", et on retrouve aussi des parfums de viande. En fin de bouche des notes légères de mûres, de myrtille, agrémentées de quelques touches de cassis. La longueur n'est pas exceptionnelle, mais le contraste finesse de la texture / intensité des parfums et saisissant et reste pour moi une grande expérience.
Je ne sais pas si c'est très représentatif des "Bourg" mais j'ai beaucoup aimé.
18/20
Cordialement
Raoul

Ouvert récemment une bouteille du Bourg 2003
(Plus précisément ouverte sur un coup de sang après la déception d'une belle dégustation que j'ai dû quitter prématurément)

Carafée deux heures

L'élevage ne semblait pas encore intégré et le boisé excessif rendaient le vin limite désagréable, nous ne finissons pas la bouteille qui part au réfrigérateur pour la nuit.
Le lendemain, le vin se révèle un peu plus, sur les fruits rouges (pas de poivron ) la matière semble s'être densifiée(!!) et je le trouve beaucoup plus long en bouche,
La race s'impose alors (enfin!) avec évidence, mais on sent que le vin est encore sur la retenue et qu'il donnera beaucoup plus.

Une bouteille ouverte de manière sacrilège, je pensais que les Bourg 2003 seraient à maturité relativement tôt, et je crois désormais qu'il leur faudra 10 ans de plus au moins pour mériter l'ouverture, pour moi qui ne suis pas enclin à laisser vieillir, c'est un comble!

Ce vin est sans conteste un futur grand, à oublier très longuement,

PS: Ce vin m'a fait penser à une discussion que j'avais eu le jour même avec Patrice (TIPAT07) à propos de Clape 2003, et me rappelle cette question : Les Grands 2003 sont ils éternels???

Stéphane

La porte de la cuisine grande ouverte sur le jardin bruit d'un échange impromptu mais fécond entre une myriade de petits oiseaux joueurs et le chant du violon de Leonid Kogan.

L'osso bucco frémit de bonheur dans la vieille cocotte.

Le vin, au diapason, s'ébroue pour mieux délivrer avec assurance son message. Ni fard, ni gonflette, le corps svelte et délicatement parfumé des fruits rouges de la jeunesse dans son insolente beauté.

Suggestion d'un pont minéral osé avec un Premier Cru de Vincent Dauvissat du même millésime.

Loin des affres de l'actualité, une prosopopée, une communion, un moment d'abandon.

Pas même envie d'une promenade : autour des Poyeux ou du Bourg...

Bonsoir à tous,

En ce vendredi 9 octobre 2009, Le Bon Président annonce avec le ton débonnaire qui est le sien, que l’heure de la grande verticale du plus grand domaine de Loire est venue. A 20h précises, 5 prestigieux millésimes du Clos Rougeard sont alignés comme à la parade sur la table de la vip room, laquelle affiche sans surprise archi-complet : Robert Semon en vedette américaine, LBP himself, Marie S., Daniel G., Jean-François D., Jean-Luc F., Antoine A., Olivier M. et votre serviteur (Pierre-Alain B.).

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Appetizer : farandole de petits fours chauds & canapés au saumon fumé + Coteaux du Loir Bellivières 2002 VV éparses + Jasnières Bellivières 2002 Calligramme
Les accords avec le saumon fumé sont respectables, sans plus. Le Vielles Vignes éparses domine la confrontation sans totalement convaincre. Le style est plutôt large d’épaule avec un peu d’oxydation – on privilégie à la vip room un peu plus d’élégance – et la finale dégage une assez forte amertume, que le chenin ne peut assumer seul. Le Calligramme pêche par un sucre résiduel encombrant et une puissance alcoolique plus que certaine.

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Before : risotto à la crème de poireaux + Saumur Clos Rougeard 2000 Les Poyeux + Saumur Clos Rougeard 2003 Les Poyeux
Si l’accord est simplement lamentable, les deux bouteilles sont superbes et, sans surprise, révélatrices de leur millésime respectif. Le 2000 affiche une maturité un poil juste, mais il est transcendé par son élégance et sa longueur. Le 2003 propose une bouche beaucoup plus large, du fruit en barre, une acidité basse et une forte puissance. Le plaisir est tout à fait au rendez-vous.
Bon chrétien, Daniel G. annonce à la cantonade que Noël approche et qu’il a tout prévu. Certains envisagent le pire – un dîner arrosé d’Irouléguy – d’autres le meilleur – le service d’un grand vin de Champagne dont il a le secret – et ils ont raison. Tout à trac, il annonce avoir retrouvé dans sa profonde cave d’Ay, un magnum d’une mystérieuse et exceptionnelle cuvée d’un dénommé Boulard. Huit paires yeux se rivent au regard de Daniel G.

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Main course : jarrets de veau caramélisés & leur gratin dauphinois + Saumur Clos Rougeard 1997 Les Poyeux + Saumur Clos Rougeard 1995 Le Bourg + Saumur Clos Rougeard 1990 Le Bourg
L’accord jarret / Saumur n’appelle pas de commentaires négatifs. Le 1990 s’avère exceptionnel, présentant tout les atours d’un très grand vin : douceur, complexité et persistance. Le 1995 met la table en émoi. La bouche semble très changeante et plutôt liégeuse. Certains accusent le bouchon, son acheteur la matière originelle. Enfin, le 1997 clôt avec classe les débats. Il semble encore en tout début de carrière et affiche déjà un superbe équilibre : maturité, densité, longueur… Au final, les 4 bouteilles sont totalement rincées et le plaisir total.
Robert Semon, enthousiasmé par la découverte de Daniel G., fait jaillir très opportunément de sa valise deux coupes de Champagne à l’effigie du Président Obama, qui vont constituer à Noël, un formidable écrin au fabuleux nectar. Tout un chacun applaudit à tout rompre, convaincu que l’esprit pétillant de la fête est de retour au tgjp.

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After : plateau de fromage du nord + millefeuille + Quarts de Chaume Suronde 1997
Le liquoreux fait ami-ami avec le dessert – qui ne le ferait pas ? La matière est totalement pure, plus sur l’élégance que la puissance – les sucres partiellement mangés – et la finale bien jolie. La tablée s’incline devant les good practices de son géniteur, Francis Poirel.

Pour le plaisir du roman photos, lire le texte dans son intégralité et pour tout connaître sur les moeurs raffinées du tgjp et de son Le Bon Président, y'a qu'une seule solution, cliquez www.tgjp.com , puis cliquez sur l'onglet "vins & plats", puis cliquez sur la soirée de votre choix. C'est gratuit à tous les sens du terme.

Bonne semaine dans l'humilité & le respect.

pierre-alain benoit

Brézé 1999

Robe jaune très claire et très brillante.
Le nez semble léger, aérien, sur des notes de miel, d'infusion (verveine / tilleul), un brin coquille d'huitre, réglisse et un côté floral. On soupçonne encore les agrumes. Des notes d'évolution très bien assumées. L'attaque n'est pas vive, elle s'exprime sur les notes de miel, l'acidité se développe doucement, mais ce n'est pas un monstre de tension. Le vin évolue tranquillement sur des notes florales, des amers discrets, des arômes marins. La fin de bouche s'exprime sur la réglisse, le fenouil, l'huitre et une très belle minéralité. Le vin n'est pas d'une grande vivacité et la tension est juste suffisante pour supporter l'ensemble. La finale est plaisante mais assez courte sur les agrumes, des amers délicats et une fraicheur marine.
Bref un vin intéressant pour sa finesse d'expression et sa belle fraicheur. Il était bon de le boire maintenant.

Bonsoir Sandrine,

Je suis nouveau inscrit.
A priori, je n'ai vu aucune réponse à votre mail.
Pour info, Nadi s'occupe de vendre les vins et Charly de son coté entretien les vignes. Mais "la paire" fonctionne très bien malgré de fort caractère.

@+

Bonsoir,
Effectivement le 2004, n'est pas encore sorti, toujours en cave a Chacé ! Peut etre l'année prochaine (mais peut etre aviez vous deja eu la réponse depuis Aout) !!!

Brezé 2005

Belle couleur miellée et limpide, brillance eclatante.
Au nez, la fraicheur citronnée se complete d'un volume non contenu, eclatant puis le vin se laisse aller entre un confit soyeux et des fruit a chair blanche croquants (Granny, Peche de Vignes).
Des le passage en bouche une fraicheur monocorde aiguise les papilles et le gras tapisse la bouche, le volume et le tranchant typé bourguignon me rappelle les Meursault de Roulot ! Le vin s'etend pour laisser place a une aromatique typé chenin mûr toujours soutenu par une tension plus vegetale, exemplaire, aucune fausse note !
Le vin dure en bouche et fini sur une touche iodée !

Je le pensais plus fermé a ce stade, mais va surement y venir, d'ici là, difficile de resister a ouvrir la petite soeur !!!:)o

Koni,

Je n'arrive pas à trouver le message d'origine pour ta réponse, et je m'interroge..
Le Bourg et les Poyeux 2004 sont bien sortis, ou alors, je suis hors sujet.

Cdlt
Denis

Je pense qu'il parle de Brézé 2004....

Merci Scoll
De toutes facons, je n'ai qu'une bouteille de Brézé 2002, que je tripotte regulierement en revant au jour ou j'oserai...

Ceci dit, à propos de ce Brézé 2004, j'ai effectivement entendu à plusieurs reprises qu'il n'était pas sorti (plusieurs cavistes notamment): quelle est la raison ?

Et ce qui est curieux, c'est que je l'ai vu à la carte de l'Auberge du Vieux Puits à Fonjontcouse cet été...et j'ai même vu la bouteille...on me l'a présenté par erreur alors que j'avais commandé le Saumur du neveu

Donc si quelqu'un à un début d'explications...

Stanislas

Perso j'avais moyennement goûté un Brezé 1999 qui avait une belle matière mais un boisé encore trop présent. J'imagine le 2005. Ce sont des vins de garde et à mon avis bien moins intéressant avant que le boisé se fonde. ( s'il se fond ???? )

Gouté courant octobre un Brézé acheté à l'époque chez les vignerons et bien gardé dans ma cave. Un pur moment de plaisir escortant un turbot somptueux. Je garde les 5 autres, rien ne presse.

Rien ne presse d'accord! mais si tu met pas l'année de conception? c'est quand qu'on plonge!

Oups
j'ai enchainé sur Mathieu qu avait peu apprécié un 99 et c'était aussi un 99 pour moi. Je les attends volontiers car en vin jeune yaduboiiii!!

Clos Rougeard - Saumur Brezé 2003

J'avais adoré ce vin bu en juin 2008.
2ème bouteille donc. A l'ouverture ça pétille sévère. Après un peu d'aération + agitation du verre cela s'arrange.
Un nez de fleur (mais je ne saurais dire laquelle...).
En bouche de légères notes de pamplemousse, de pomme et de poire avec une petite amertume. Ce n'est pas un vin qui tapisse le palais. Plutôt discret voire même un peu fermé en fait.
Bon vin mais un peu déçu par rapport à la première bouteille dégustée. Phase de fermeture?
15/20
Cordialement
Raoul

Bonsoir à tous,

Bouteille bue dimanche dernier, pas de prise de note sur l'instant. Les commentaires sont sur les "restes" terminés le dimanche soir, après une bonne aération donc.

Clos Rougeard 1999

Robe encore jeune. Nez très élégant, sur les fruits rouges et un côté floral. Des notes tertiaires discrètes apparaissent également.
Attaque fine, matière élégante, c'est souple et fondu. Une petite pointe d'acidité qui le rend vif également. Finale un peu douce mais délicate et longue.

Un beau vin, qui en a encore sous le pied !

Bien ++

J'ai eu l'occasion de déguster le Clos 2005 en attendant ma commande.
Je l'ai trouvé excellent. C'est déjà très agréable, bien mur, fin et long.
Je suis très content de mon achat malgré l'augmentation des prix.

Clos Rougeard, Saumur-Champigny Les Poyeux 2000

La robe est rouge sombre et le vin assez transparent (un peu comme un Bourgogne). Quelques reflets commencent à apparaitre.
Le premier nez s'exprime sur un registre végétal : herbes sèches, tabac, violette. Un peu de prune cuite, de cassis. On sent poindre des notes plus secondaires/tertiaires de sous bois notamment. Et de la fraicheur peut-être menthe poivrée ou réglisse. Le nez est envoutant et plutôt complexe.
En bouche le vin attaque sur un fruit encore un peu croquant, puis l'acidité s'allonge et avec elle des notes boisées très élégantes (une odeur de bois brut et naturel). Les tannins sont totalement fondus, le vin est très digeste, raffiné et d'une grande fluidité. La finale présente une petite amertume et une acidité qui rend le dernier souffle frais (avec une légère pointe de zan).
Ce vin me donne l'impression d'avoir été très bien travaillé à l'élevage, comme un beau cru bordelais, ce qui fait ressortir l'essence de bois et non le boisé.
Le cabernet semble avoir prit une autre dimension. C'est un vin qui semble sans prétention et se révèle très intéressant. Peut-être mon plus beau Poyeux à ce jour.

Clos Rougeard - Saumur Champigny Les Poyeux 2002 (35€ Caviste)

Servi non carafé (mais pas d'évolution notable sur les 2h de dégustation).
Le nez est superbe, du fruit, des épices
La bouche est toute en finesse, soyeusemais manque peut être d'un peu de présence
Par contre la finale est franchement courte.

Je suis un peu resté sur ma faim pour tout dire

Marc

La carafe aurait pu aider ....
Et peut-être en attendais-tu trop ....

La prochaine sera meilleure !

Marc C écrivait:

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> Clos Rougeard - Les Poyeux 2002 (35€ Caviste)
>
> Servi non carafé (mais pas d'évolution notable sur
> les 2h de dégustation).
> Le nez est superbe, du fruit, des épices
> La bouche est toute en finesse, soyeusemais manque
> peut être d'un peu de présence
> Par contre la finale est franchement courte.
>
> Je suis un peu resté sur ma faim pour tout dire
>
> Marc

des vins totalement surfaits.........a des prix délirants

franck

fcook41 écrit: des vins totalement surfaits.........a des prix délirants

Ca c'est une opinion argumentée !

Une attaque en règle bien sentie, et bien argumentée bravo!!
Plus sérieusement, concernant les prix, Franck, à quels tarifs faites-vous référence, ceux du domaine, somme toute raisonnables ou ceux des revendeurs? Dans le deuxième cas le mot délirant me semble juste et bien choisi!
A titre d'exemple, les prix pratiqués au domaine pour 2005(prix HT, je sais je suis paresseux mais il suffit de mettre la tva 19.6%, et le compte y est)
le clos 2005 15 euro
les poyeux 20 euro
le brézé 20 euro
le bourg 30 euro.

Pour ce qui concerne les vins, vous avez parfaitement le droit de les trouver quelconques, après tout ce ne sont que des raisins pressés et fermentés puis logés dans une barrique en bois, Haut-Brion, Ausone, le cros parentoux itou!! Et j'en oublie des tonneaux et des tonneaux...
Goûtez-les sans aucune idée préconçue (est-ce possible?), à table, sur plusieurs millésimes, comparez au plaisir que vous retirerez à boire d'autres vins de prix similaires et faites un beau compte-rendu que je lirai avec le plus grand plaisir.
bien à vous

Bonsoir,

Je ne suis pas le même Franck, mais tout ce que je peux affirmer quand j'entends parler de tarifs délirants chez les cavistes (certains probablement) et que je vois les tarifs HT d'Herbey, c'est que ceux qu'il indique sont les tarifs d'achat professionnels! Il ne faut donc pas s'étonner que les tarifs TTC des bouteilles vendues au détail soient le double de ceux indiqués...

En revanche, la qualité des vins ne souffre pas la critique éditée précedemment. Les 2005 sont magnifiques, comme l'étaient les 2002 et tant d'autres millésimes du domaine. J'ai encore des Bourg 1990 et je n'ai jamais le moindre regret de les avoir achetés! Quelconques?...

Ce domaine n'est pas le seul à produire des vins dans la région ... on est donc pas forcé d'en acheter mais apparemment ces vins sont très très recherchés, c'est donc qu'il y a une raison!

Franck B
Je sais (nous savons!!) que les cavistes doivent gagner leur vie et c'est tout naturel. Je suis particulier et client au clos depuis longtemps, je ne bénéficie d'aucun régime tarifaire de faveur. Les cavistes multiplient LEUR TARIF HT, par deux en moyenne pour ensuite vendre. Ont-ils le même tarif que le mien, je ne saurai dire mais il n'est pas interdit de penser qu'ils paient un peu moins que vous et moi. Certains domaines "surexposés" aux feux de la rampe voient leurs prix exploser en deuxième main ( cavistes et revendeurs de tout poils). Ces domaines sont connus, allez voir le débat dans une autre rubrique sur les domaines stars et les futurs stars!! C'est le cas du clos et tout particulièrement en 2005.

C'est le premier millésime du clos que j'achete, c'est effectivement cher, mais j'ai mis un prix qui correspond à ma bourse et je suis quand même satisfait d'avoir pu encaver ce 2005. J'ai gouté le clos "de base" 2005 et j'ai trouvé cela très bon. Je n'en veux pas à mon caviste de prendre un peu plus que d'habitude alors que certains se gavent. S'il survit, je continue a avoir une bonne source d'approvisionement comme je ne suis pas allocataire dans les beaux domaines .... j'estime que c'est du win win .... longue vie à lui.