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Parmi les deux plus grands liquoreux que j'ai bus dans ma vie, deux avaient dépassé la limite autorisée et n'ont jamais été commercialisés : un Madame 2001 * de TLG (il y a une étoile collée sur la bouteille) un Riesling SGN de Kreydenweiss (89 ou 90, je ne sais plus trop). Mais c'est vrai qu'avec le sucre, ça passe mieux
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Bof... ici, je note surtout que tout le monde déteste si ça sent le vin natureJ'ai envie de dire, pour apporter ma pierre à l'édification de ce douloureux sujet et faire référence à un autre sujet tout aussi douloureux :
Si le vin est un truc de vieux, le vin nature est un truc de jeune.
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Je parle d'ici, en Finlande. Pas sur ce forum de vieux aigris.
Hyllos : Bof... ici, je note surtout que tout le monde déteste si ça sent le vin nature
Normal, y a que de vieux sur le forum (les jeunes vont sur des forums de vin nature, ou sur pas de forum du tout).
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J'ai toujours pensé que s'il y avait bien quelque chose qui ne devait en rien fixer les normes ou les règlements c'était bien le marché!
Comment ont été fixé ces seuils ? Sur quelles bases ? Par qui ? Faut-il les remettre en question car la notion de vin a évolué ?
Pour la volatile, il y a des seuils réglementaires donc ça me semble suffisant pour caractériser une déviance, au delà des seuils de tolérance.
Certains vignerons s'offusquent des propos de Sylvie A., et il est vrai qu'il est difficile de définir ce qu'est un défaut ; la tolérance à la volatile, aux bretts,... variant d'un individu à l'autre.
Pour les bretts, en effet à ma connaissance il n'y a pas de seuil réglementaire, pour autant au delà d'une certaine quantité de bretts, un vigneron sait très bien qu'il engendre une tromperie car une fois en bouteille l'évolution ira vers un vin imbuvable (sauf si l'on aime les odeurs fécales et les vins destructurés ou décharnés).
Sur ce débat, j'ai vu passer une réflexion intéressante de Claire Naudin ces derniers jours. S'il y a un marché pour des boissons à base de raisin avec des volatiles à 1,2, 1,5 ou même 2, pourquoi les déclarer non marchands ? Peut-être faut il inventer une nouvelle catégorie. Ce n'est plus du vin mais c'est une boisson qui a du sens et un public. Elle mentionnait notamment le cas des bières trappistes pour lesquelles l'acidité volatile est un critère important.
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logique, gustativement, le sucre compense le défaut. Mais heureusement l'immense majorité des vins liquoreux reste dans la norme de volatile et ne sont pas moins bons.
Parmi les deux plus grands liquoreux que j'ai bus dans ma vie, deux avaient dépassé la limite autorisée et n'ont jamais été commercialisés : un Madame 2001 * de TLG (il y a une étoile collée sur la bouteille) un Riesling SGN de Kreydenweiss (89 ou 90, je ne sais plus trop). Mais c'est vrai qu'avec le sucre, ça passe mieux
En effet Eric. Et on pourrait ajouter à ta liste les grands vins de Madère ou de Rivesaltes dont on peut soupçonner qu'ils dépassent dans bien des cas la limite autorisée.
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Parce que vous pensez qu'on fait du vin pour la beauté du geste ? Le vin est produit pour être vendu. Quand le marché se réduit à peu de chagrin, il reste quelques irréductible qui continuent à produire un style de vin mais ça reste très marginal. Prenons le cas des VDN du Roussillon par exemple. Si demain il y a une demande croissante, des producteurs se remettront à en faire. Aujourd'hui il ne reste que quelques courageux au nom d'une certaine culture, tradition ou d'un amour pour le produit mais ça ne va guère plus loin.
J'ai toujours pensé que s'il y avait bien quelque chose qui ne devait en rien fixer les normes ou les règlements c'était bien le marché!
Comment ont été fixé ces seuils ? Sur quelles bases ? Par qui ? Faut-il les remettre en question car la notion de vin a évolué ?
Pour la volatile, il y a des seuils réglementaires donc ça me semble suffisant pour caractériser une déviance, au delà des seuils de tolérance.
Certains vignerons s'offusquent des propos de Sylvie A., et il est vrai qu'il est difficile de définir ce qu'est un défaut ; la tolérance à la volatile, aux bretts,... variant d'un individu à l'autre.
Pour les bretts, en effet à ma connaissance il n'y a pas de seuil réglementaire, pour autant au delà d'une certaine quantité de bretts, un vigneron sait très bien qu'il engendre une tromperie car une fois en bouteille l'évolution ira vers un vin imbuvable (sauf si l'on aime les odeurs fécales et les vins destructurés ou décharnés).
Sur ce débat, j'ai vu passer une réflexion intéressante de Claire Naudin ces derniers jours. S'il y a un marché pour des boissons à base de raisin avec des volatiles à 1,2, 1,5 ou même 2, pourquoi les déclarer non marchands ? Peut-être faut il inventer une nouvelle catégorie. Ce n'est plus du vin mais c'est une boisson qui a du sens et un public. Elle mentionnait notamment le cas des bières trappistes pour lesquelles l'acidité volatile est un critère important.
Courrir derrière le marché c'est vendre son âme, ses usages et ses bonnes pratiques. Heureusement que tout le monde ne court pas derrière le marché sinon il n'y aurait plus aucun savoir faire artisanal dans ce pays.
Enfin, comme dit plus haut le vin n'étant pas du vinaigre et la volatile s'accompagnant en outre souvent d'autres déviances, il apparaît très utile de fixer une limite marchande pour que n'importe quel gougnafier ne puisse pas vendre sa mixture à n'importe qui.
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Je pense que l'un n'exclut pas l'autre : le marché influe certainement sur certaines normes, vous citez l'exemple des AOP. Mais il n'en demeure pas moins, et c'est comme ça que je comprends le propos d'Enzo, que certaines normes devraient être à l'abri d'une influence du marché. Les faits vont peut être souvent dans le sens contraire de cette vision idéaliste, mais il n'en demeure pas moins important d'avoir une telle vision, je trouve.
Parce que vous pensez qu'on fait du vin pour la beauté du geste ? Le vin est produit pour être vendu. Quand le marché se réduit à peu de chagrin, il reste quelques irréductible qui continuent à produire un style de vin mais ça reste très marginal. Prenons le cas des VDN du Roussillon par exemple. Si demain il y a une demande croissante, des producteurs se remettront à en faire. Aujourd'hui il ne reste que quelques courageux au nom d'une certaine culture, tradition ou d'un amour pour le produit mais ça ne va guère plus loin.
J'ai toujours pensé que s'il y avait bien quelque chose qui ne devait en rien fixer les normes ou les règlements c'était bien le marché!Michou post=1221473 userid=17375
Courrir derrière le marché c'est vendre son âme, ses usages et ses bonnes pratiques. Heureusement que tout le monde ne court pas derrière le marché sinon il n'y aurait plus aucun savoir faire artisanal dans ce pays.
Enfin, comme dit plus haut le vin n'étant pas du vinaigre et la volatile s'accompagnant en outre souvent d'autres déviances, il apparaît très utile de fixer une limite marchande pour que n'importe quel gougnafier ne puisse pas vendre sa mixture à n'importe qui.
Quant à la norme qui définit le marché, c'est très souvent le cas. C'est un critère essentiel dans la définition d'une AOC. La taille de l'aire géographique tient compte du marché potentiel par exemple.
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Bouzbou a bien compris mon propos. D'ailleurs il n'a jamais été question de ne pas vendre mais de ne pas vendr ede la merde car la merde ça se produit partout et à bien plus bas coût qu'en France. Les AOP puisque vous les citez, sont une protection d'origine qui valorisent et pour valoriser (donc pour vendre) il faut protéger et garantir une qualité minimale. Les normes sont là pour ça.
Parce que vous pensez qu'on fait du vin pour la beauté du geste ? Le vin est produit pour être vendu. Quand le marché se réduit à peu de chagrin, il reste quelques irréductible qui continuent à produire un style de vin mais ça reste très marginal. Prenons le cas des VDN du Roussillon par exemple. Si demain il y a une demande croissante, des producteurs se remettront à en faire. Aujourd'hui il ne reste que quelques courageux au nom d'une certaine culture, tradition ou d'un amour pour le produit mais ça ne va guère plus loin.
Quant à la norme qui définit le marché, c'est très souvent le cas. C'est un critère essentiel dans la définition d'une AOC. La taille de l'aire géographique tient compte du marché potentiel par exemple.
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Mais qui définit que c'est de la merde et comment ? Sur quelles bases ? J'aimerais beaucoup comprendre. Pas forcément pour remettre en question mais déjà pour comprendre la pertinence du choix. Une chose importante est que le vin soit marchand. Comment a été définie la limite pour l'acidité volatile ? Pourquoi ce n'est plus marchand à 1,2 ?
Bouzbou a bien compris mon propos. D'ailleurs il n'a jamais été question de ne pas vendre mais de ne pas vendr ede la merde car la merde ça se produit partout et à bien plus bas coût qu'en France. Les AOP puisque vous les citez, sont une protection d'origine qui valorisent et pour valoriser (donc pour vendre) il faut protéger et garantir une qualité minimale. Les normes sont là pour ça.
Parce que vous pensez qu'on fait du vin pour la beauté du geste ? Le vin est produit pour être vendu. Quand le marché se réduit à peu de chagrin, il reste quelques irréductible qui continuent à produire un style de vin mais ça reste très marginal. Prenons le cas des VDN du Roussillon par exemple. Si demain il y a une demande croissante, des producteurs se remettront à en faire. Aujourd'hui il ne reste que quelques courageux au nom d'une certaine culture, tradition ou d'un amour pour le produit mais ça ne va guère plus loin.
Quant à la norme qui définit le marché, c'est très souvent le cas. C'est un critère essentiel dans la définition d'une AOC. La taille de l'aire géographique tient compte du marché potentiel par exemple.
Enfin, si les AOC n'étaient construites essentiellement que sur la base de la taille des aires géographiques (une pure vue de l'esprit), je pense que l'uniformité recherchée n'existerait pas et ne se valoriserait pas.
Courrir derrière les modes (ça se vend) pour adapter la réglementation est une très mauvaise idée qui rapidement détruit la crédibilité et est une vision de très court terme dont on peut vite se mordre les doigts.
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Je ne pense pas que tu trouveras un amateur ici pour te dire que les vins de GD dont tu parles sont de bonne qualité. Au mieux ils sont sans intérêt.
Mais qui définit que c'est de la merde et comment ? Sur quelles bases ? J'aimerais beaucoup comprendre. Pas forcément pour remettre en question mais déjà pour comprendre la pertinence du choix. Une chose importante est que le vin soit marchand. Comment a été définie la limite pour l'acidité volatile ? Pourquoi ce n'est plus marchand à 1,2 ?
Bouzbou a bien compris mon propos. D'ailleurs il n'a jamais été question de ne pas vendre mais de ne pas vendr ede la merde car la merde ça se produit partout et à bien plus bas coût qu'en France. Les AOP puisque vous les citez, sont une protection d'origine qui valorisent et pour valoriser (donc pour vendre) il faut protéger et garantir une qualité minimale. Les normes sont là pour ça.
Parce que vous pensez qu'on fait du vin pour la beauté du geste ? Le vin est produit pour être vendu. Quand le marché se réduit à peu de chagrin, il reste quelques irréductible qui continuent à produire un style de vin mais ça reste très marginal. Prenons le cas des VDN du Roussillon par exemple. Si demain il y a une demande croissante, des producteurs se remettront à en faire. Aujourd'hui il ne reste que quelques courageux au nom d'une certaine culture, tradition ou d'un amour pour le produit mais ça ne va guère plus loin.
Quant à la norme qui définit le marché, c'est très souvent le cas. C'est un critère essentiel dans la définition d'une AOC. La taille de l'aire géographique tient compte du marché potentiel par exemple.
Enfin, si les AOC n'étaient construites essentiellement que sur la base de la taille des aires géographiques (une pure vue de l'esprit), je pense que l'uniformité recherchée n'existerait pas et ne se valoriserait pas.
Courrir derrière les modes (ça se vend) pour adapter la réglementation est une très mauvaise idée qui rapidement détruit la crédibilité et est une vision de très court terme dont on peut vite se mordre les doigts.
Et la notion de merde est toute relative. Comment qualifier les milliers d'hectolitres de vins chiants à mourir vendus en GD par exemple ? Pourquoi ces vins sans âme ni histoire sont jugés de bonne qualité ? Je cherhce juste à comprendre.
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Quand on a mangé toute sa vie du Babybel, du Saint-Morêt, et du Caprice des Dieux, le jour où on mange un Saint Nectaire fermier affiné 6 mois qui déborde de sa croûte, un Salers de 2 ans, ou un vieux Gaperon (pardonnez mon tropisme auvergnat), on comprend pas ce qu'il se passe. Ca pue, c'est dégueu.
On peut s'arrêter là. Ou bien on peut cultiver sa curiosité et son goût. Et quand on a pris goût à des fromages de paysan au lait cru (qui sont les vins naturels du fromage, vous avez compris), on revient quand même assez difficilement aux Chaussée aux Moines.
Parmi ceux qui sont passionnés, peu reviennent au Mouton cadet, pas besoin d'avoir suivi un parcours initiatique de plusieurs années sur les vins naturels.Autour de moi, je ne connais personne qui, après avoir découvert les vins naturels (et pour certains cela a pris plusieurs années avant d'être convaincus), ne soit revenus au Mouton Cadet.
Moi aussi j'ai intégré ces vins dans ma consommation, mais de façon minoritaire, et ca n'a rien à voir avec une quelconque idéologie. En revanche, il y a des raisons "d'attaquer" les vins nature, ou plus précisément de les critiquer. La proportion de vins défectueux que je croise en nature est bien trop élevée. Et ça, il faut le signaler. On est sur un site de débat sur le vin, et quand le vin sent le poulailler ou le cheval, ou encore qu'il ressemble plus à un cidre qu'à un vin, oui je critique. Après on peut toujours débattre des goûts et des couleurs, mais on ne me convaincra pas que le poulailler c'est le bon goût du terroir qui s'exprime.Tous ont intégrés, dans des proportions variables, mais très souvent largement majoritaire, ces vins dans leur consommation. Si ce n'est par idéologie anti-bobo, anti-gauchiste, anti-ecolo (et je peux partager et comprendre une très large partie de l'exaspération qu'il y a derrière, et même si je connais personnellement des vignerons nature très hostiles à ces idéologies), je ne vois aucune raison pertinente de continuer à attaquer les vins nature. Si vous n'aimez pas ces vins (ou plus souvent si vous n'aimez pas ceux qui font ces vins), alors n'en buvez pas. Ca ne représente aucune menace au monde du vin "bien fait" que vous chérissez.
Mais parce que nous sommes sur un forum qui parle de vin, et que tout les sujets y sont traités.D'après ce que j'ai trouvé sur internet, les vins naturels représentent en France 3% de la production des vins, et 1% des vignerons. Pourquoi vous en faites un sujet, si ce n'est pour imposer aux autres une vision de ce qui est bon ou mauvais?
Pur procès d'intention. Il me semble au contraire que chacun respecte le goût des autres. ce qui nous intéresse, ce de comprendre le gout des autres, d'entendre les arguments des uns et des autres, et surtout de ceux qui n'ont pas les mêmes gouts.Vous vous transformez an ayatollah du goût, sous prétexte de lutter contre les ayatollahs de la bouse de corne. Tout ça est puérile, et ridicule.
Les vins "classiques" aussi ont attiré des anciens buveurs de bière; il suffit de faire goûter du bon vin, quelle que soit son origine.De manière objective, le bilan de ce que ces aventuriers du vin naturel ont apporté au monde du vin est excessivement positif. Ils ont amené beaucoup de gens qui n'étaient que des buveurs de bière à s'intéresser au vin (j'ai beaucoup d'exemple autour de moi).
Oui et non. Parfois on a du super fruit et c'est top. mais parfoison a du poulailler aussi. Et là je ne suis pas reconnaissant du tout, j'ai l'impression de me faire arnaquer. Surtout quand on fait remarquer diplomatiquement au vigneron que le goût est étrange, voire défectueux, et qu'avec aplomb il vous répond que c'est le goût du terroir, du vin d'antan.Tout amateur de vin doit être reconnaissant pour les horizons gustatifs qu'ils nous ont ouverts
et l'évolution des pratiques qu'ils ont inspiré (tout le monde, jusqu'aux GCC, en ont tiré quelque chose), poussant qualitativement le vin vers le haut.
C'est vrai, mais les "natureux" n'ont pas l'exclusivité de l'inspiration des pratiques plus respectueuses de la nature. les Bio ou BioD aussi, et ca s'inscrit en plus dans un mouvement général de la société.l'évolution des pratiques qu'ils ont inspiré (tout le monde, jusqu'aux GCC, en ont tiré quelque chose), poussant qualitativement le vin vers le haut.
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Ma remarque n'était pas tout à fait honnête. Je précise: les vins de moins de 10 ans qui m'ont le plus ébloui ces dernières années étaient des vins nature.Pour avoir bu un certain nombre de bouteilles avec Stalker, je peux certifier qu'il boit des vins nature de haut vol.
Par contre, contrairement à lui, les vins qui m'ont le plus ébloui ne sont pas nature.
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Je peux être plus ou moins d'accord sur tes 3 premiers points (je trouve cela dit l'analogie avec le fromage acceptable, pour faire les 2, vin et fromage je vois le lien, et le sulfitage précoce est l'équivalent d'une pasteurisation du lait pour moi) mais pas du tout sur le dernier. Vin nature ne veut pas du tout dire macération carbonique (je n'aime pas ça, et je suis d'accord que ça uniformise les vins), ni vins de fruits sans élevage. Il me semble que c'est une vision caricaturale du vin nature.
4/ Personnellement, ce que je reproche aux vins natures, c'est l'uniformisation de leur goût qui nivelle le cépage, le terroir (d'ailleurs, bien souvent il n'y en a pas) de par la vinification en macération carbonique ; même quand c'est sans défaut, ça reste des vins de fruit sans la complexité qu'un élevage travaillé peut apporter.
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