Meursault Chaume des Perrières d'Auvenay 1989, Noix de St Jacques juste saisies, endive confite à la truffe blanche : L'accord parfait à très haute altitude...
C'était une magnifique soirée.
JPh

Dans deux catégories particulières.

Bouteille ouverte sur un coup de tête... immensément généreux en l'occurrence : Grands-Echézeaux DRC 2004...

Bouteille bue chez le producteur : Musigny Roumier 2007...

Jusqu'a présent,la plus émouvante fut Dom Perignon 1966 ...

puis... Romanée St-Vivant 1991 DRC / Chambertin 1993, A.Rousseau / Champagne Rosé, Sellosse

et quelques Barolos et Barbaresco d'anthologie...

bye
rda

Jean Philippe nous sommes d'accord

Xtof écrit: La meilleure?

Probablement la prochaine, bue en bonne compagnie et en toute quiétude, pour le seul plaisir de partager et d'être bien ensemble!

Christophe pareil pour moi.

Charles Musigny 2008 Roumier est magnifique aussi, j'ai ete renverse si je puis dire.

Amities
Didier

Charles, Musigny 2008 Roumier est magnifique aussi...

Didier,

Tout à fait d'accord avec toi !

J'ai simplement été plus ému par le 2007... une heure après.

Deux vins à taille humaine.

Domaine André Boxler : Riesling Grand Cru Sommerberg E 2007
Tenuta di Trinoro : Le Cupole 2004
Domaine Jamet: Côte Rotie, Côte Brune 2006
Domaine Seppi Landmann : Sylvaner Vin de Glace 2007

Je partage l'avis de Charles pour ce qui est du Musigny 2007, goûté dans des conditions similaires.

rda,

Le Chambertin 1993 Rousseau, c'était l'an dernier pour moi, et ce fut effectivement un sommet....avec encore un énorme potentiel de vieillissement.

Patrick,

Ce Boxler me tente diablement. Je me mets en chasse et je te dis

Christophe

Emotion : avec un Morgon 1963 de chez Etienne Jambon, bu simplement, accompagné de quelques cochonailles...

Febrilité : avec une GDP 94, pour marquer le debut d'une nouvelle aventure...

Respect : avec un Rioja 64 de chez Lopez des Heredia, une claque, simplement...

Humilité : avec un Cornas la Geynale 2002 de chez Robert Michel, sous l'oeil bienveillant et amusé de son geniteur...

Et pas d'étiquettes??? si, plein, l'année la plus riche de ma vie d'amateur même ! mais je les ai déjà oublié...

Un petit classement par région qui retrace l'année, trop de bons souvenirs pour choisir

Alsace Blanc : Domaine André Boxler - Riesling Grand Cru Sommerberg 2007 (servi par un ambassadeur de choc)

Alsace Rouge : Domaine Zind Humbrecht Pinot Noir Herrenweg de Turckheim 1996 (je ne dirai plus de mal du pinot noir en Alsace)

Bordeaux : Haut-Bailly 1961 (un vin qui remet les idées en place sur les Bordeaux!)

Bourgogne Rouge : Domaine Leroy - Savigny les Beaune les Narbantons 1992 (pas facile de n'en choisir qu'un)

Bourgogne Blanc : Domaine Raveneau Chablis Grand Cru Blanchot 2004 (trop jeune mais c'était une occasion particulière)

Languedoc : Montcalmès 2005 (du fruit et de la fraîcheur dans une ambiance très chaude)

Loire Rouge : Clos Rougeard Poyeux 2002 (en session gunthard, pas le même goût à la maison)

Provence : Clos Milan 2002 (tout en finesse et quel nez! le début d'une histoire avec mon caviste)

Rhône Nord : Delas - Hermitage Les Bessards 2004 (ah la Syrah sur granit!)

Rhône Sud : Beaucastel 1997 (une gourmandise qui ne se crache pas)

Quelle année, merci les camarades et bonnes fêtes

Marc

PS : mes excuses pour les régions manquantes, je me rattraperai

Une seule, celle fêtant l’arrivée de mon fils (le premier) cependant inutile de préciser laquelle, il ne s'agit pas d'un grand nom elle ne fera pas rêvée beaucoup de monde et pourtant c’est bien ma bouteille de l’année.

La bouteille de l'année et aussi la plus grande bouteille jusqu'alors:
Bonnes Mares 1955 Lalou Bize Leroy...un choc gustatif et emotionnel.

Manu

Je viens de lire, en détail, tes émotions

Bonne soirée,
Thierry

""La bouteille de l'année et aussi la bouteille de ma vie: ""
Bonnes Mares 1955 Lalou Bize Leroy...un choc gustatif et emotionnel.

Manu ...tu comptes quitter notre bonne terre . !! :

Tu as raison Jean Luc, je modifie.

Manu

Il reste quelques semaines qui ne seront pas dénuées d' intérêt sans doute, mais à ce jour, tout en sirotant un Château La Pompe GCC du Brabant 2009 (faut préparer le terrain....) je retiendrai :
en Bourgogne:
Blanc :
Meursault 2005 Dom. Jean-Marie Bouzereau : Vin fruité, minéral, accompagne parfaitement un lotte réduite aux petits légumes et pomme verte.
Corton-Charlemagne 1999 Dom. Jacob : Vin fruité, gras et toujours si jeune à déguster, un vrai plaisir sur poisson et fruits de mer.
Rouge :
Chambertin 1992 Hubert de la Chapelle : rien à redire, bouche pleine, mature, c' est merveilleux à boire, on en redemande
Pommard 1978 Château de Pommard : le coup de coeur, nous y étions repassé après notre voyage de noces en Toscane, nous sommes maintenant un client fidéle de ce château. En bouche, c'est frais, vif, on ne s'en lasse pas. Pas loin du Château de Meursault, cela vaut la peine de séjourner quelques jours dans le coin. Je suis tombé par hazard au coté d'un reportage sur Hervé Bizeul sur un reportage de ce château que je connais bien : videos.tf1.fr/infos/...

en Bordeaux :
Blanc :
Non pas de blanc qui sort du lot. J' ai un problème avec les vins blancs non liquoreux de Bordeaux qui perdent si vite leur fruits et qui me laisse à moi une impression de plastique en bouche.... Si quelqu'un pouvait m' expliquer pourquoi un Graves blanc par exemple Chateau Avocat 2005 me semble si parfait, si bien fruité en 2007 et me laisse 2 ans plus tard une impression de fadeur, d' inexpression et de plastique en bouche (je précise que je viens de regouter du 2005 que mon vendeur vient de me proposer à acheter de nouveau, donc il ne s' agit pas de mes bouteilles achetées en 2007 qui seraient mal conservées)

Rouge :
Pomerol La conseillante 1999 : Que j'ai bien fat de sauter récemment sans hésiter sur une caisse disponible, il me reste maintenant bien des occasions de pleurer de bonheur en buvant ce nectar si velouté que le velours s'y perdrait... Cela confirme tout la puissance de plénitude que peut avoir cet ajout de violette au vin.... sensation aussi présente quoique diffuse par le temps dans une bouteille 1964 de ce cru bue il y a 3 ans.

Margaux Chateau Martinens 1989: une de mes dernières 89, et toujours aussi fin en bouche. les fruits sauvages (mures, cassis) sont toujours bien perceptibles mêlés aux odeurs de cuir et d'épices.

En Provence, Languedoc et Roussillon:

Malepère Domaine de Lassalle 2005 : mélange bien équilibré de Merlot, Cabernet Franc et Cabernet Sauvignon, très sur le fruit bénéficiant en plus d'un élevage en fut de chênes. A boire avec une viande.
Roussillon : Clos des Fées Vielles Vignes 2006 : surprenante puissance pour ce vin surtout quant on part avec des anciennes idées préconçues des vins de la région.

Cote de Provence Château de Saint Martin Cuvée Rohan Chabot 2001 Rouge : Un étonnement pour moi qui redécouvre le potentiel ignoré des régions sud de la France. Tant de fruits, tant de matières dans ce vin que je ne le vois pas s'éteindre avant encore bien des années.
En Liquoreux,
Barsac Broustet et Sauternes Guiraux 83 Sont des classiques de fin d' année depuis bien des années: après un petit creux il y a 5 ans (fermeture ou autre probleme? ) il continue à m' étonner par leur évolution toujours sur le miel.

Last but not least:
un vin chilien récemment acheté: cuvée AMPLUS 100% Carignan du domaine santa ema : étonnant de gout et de savoir faire, il vaut le détour.

. Si quelqu'un pouvait m' expliquer pourquoi un Graves blanc par exemple Chateau Avocat 2005 me semble si parfait, si bien fruité en 2007 et me laisse 2 ans plus tard une impression de fadeur, d' inexpression et de plastique en bouche

Je ne comprends pas bien...
J'ai encore des Clos Floridène blancs 1996, Graves du Professeur Denis Dubourdieu.
Il sont toujours superbes de jeunesse, ils débordent de fraîcheur...

Cordialement,
Thierry

Meursault Coche Dury 2002, Bonnes Mares Leroy 1955, Cathelin 2000, Rayas 2002, Climens 1983. Tous magistraux dans leur registre. Dur de faire un choix. J'en oublie sûrement.

Pour ceux qui auraient oublié leur paire de lunettes près de la cheminée, la question initiale demandait, au singulier, votre bouteille de l'année, pas une liste de dégustation

Anthony, "à cause de" LPV on fait trop de belles rencontres et on boit trop de belles bouteilles, impossible de choisir après

Cordialement

Marc

Marc, tu ne me feras pas croire qu'il n'est pas possible de faire ressortir une bouteille qui t'a marquée peut-être un peu plus qu'une autre ...

En tout cas, si je vois l'intérêt de la question de nommer une bouteille par personne pour avoir une perception de ce qui a bouleversé les LPViens en dégustation en 2009, recevoir une liste en retour dilue cet intérêt et ne se différencie plus trop des noms que l'on a l'habitude de lire à longueur d'année.

On ne se refait pas. Dur d'en détacher qu'une seule, à chaque fois des grandes émotions : une préférence pour le Bonnes Mares 1955 : suspension intemporel.

S'il n'en faut qu'une ça sera Haut Bailly 1961 car, en plus d'être un très beau vin, il a mis un terme à mon questionnement sur la région

Marc

désolé d' avoir été un peu longuet , je suis u p'tit nouveau sur LPV, je tâcherai de respecter dorénavant les sujets un peu mieux.

Si je dois isoler la bouteille qui m'a apporté le plus d'émotions olfactives cette année, c 'est La Conseillante 1999

Anthony,

Une fois n'est pas coutume, je suis d'un avis différent du tien: je suis totalement incapable de dire quelle est ma bouteille de l'année

Je l'ai déjà dit, lors de notre assemblée générale chez Luc, parmi les 77 flacons il y avait de nombreuses bouteilles qui figurent parmi les plus belles que j'ai eu l'occasion de boire dans mon existence.
Il y a eu aussi les Bourgogne d'exception que DidierT a eu la gentillesse d'apporter à la maison.
Il y a eu quelques beaux vins sortant de ma cave ou de celle de Daniel...

Je ne peux que dire une chose: j'ai bu des choses remarquables en 2009

Amitiés,
Thierry

Thierry, si la question était si simple, elle ne serait pas si intéressante. J'ai noté 20 bouteilles bues depuis le 1er janvier et marquées 5* dans mon petit agenda .... intéressant de repasser en revue les 20 CR et ressortir celle qui au delà de la perfection olfactive et gustative me donne encore un petit frisson aujourd'hui, rien qu'en repensant aux arômes, aux effluves, au toucher de bouche, à mon émoi une fois la 1e gorgée avalée, à mon soupir de satisfaction ...

Effectivement pas facile de selectionner la bouteille.

Sinon Thierry, l'annee n'est pas encore finie on peut encore faire mieux, notamment dans 2 semaines dans le Nord.

Amities
Didier

Je n'en doute pas Didier, mais ce ne sera pas ton repas de l'année

Amitiés et à bientôt,
Thierry

Choix difficile... Et ben pour moi ma bouteille de l'année à l'heure actuelle n'est par une bouteille de vin. Mais une bouteille de cognac de Tesseron, numéro 53 (élevage de 53 ans en fûts). Je n'avais jamais dégusté un cognac aussi vieux. Et les arômes de rancio si typiques pour les très vieux cognacs sont tout bonnement exquis et incroyables.
Il me fût impossible de recracher lors de cette dégustation de travail. J'ai même gardé le verre pour pouvoir le déguster à la fin de la journée sur le canapé de l'hôtel.

pour ma part , un vin en cubi monoprix à 1,30 euro....UN CHOC GUSTATIF ET EMOTIONNEL. UNE ACIDITÉ DEVOILANT UN POTENTIEL DE GARDE UNIQUE!

MONSIEUR L'ADMINISTRATEUR, IL EST DE BON ALOI DE RECADRER TOUS CES "JEUNES" "PASSIONNÉS" QUI FONT DES DIGRESSIONS A LA HAUTEUR DES VINS QU'ILS DEGUSTENT. JAMAIS OOOOO GRAND JAMAIS UN SUJET N'EST RESPECTÉ ET UNE QUESTION SAVAMMENT ECOUTÉ. ET CETTE REMARQUE EST VALABLE POUR PRATIQUEMENT TOUS LES SUJETS!!!!

PS: je ne suis pas mieux avec mon histoire de cubi