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A quel moment la présomption de culpabilité est devenue le standard ? Peux-tu nous expliquer comment cela se manifeste s'il-te-plaît ?Le problème n'est pas la masculinité (même si j'avoue aimer le BBQ) mais la présomption de culpabilité qui devient le standard.
Ralf
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Il parle notamment en détails des notions de classement sans suite et de non-lieu. Et notamment le fait que ce n'est pas parce qu'il n'y a pas condamnation, ou même pas de procès, qu'il ne s'est rien passé.
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Je te cite Denis :
"Il y a peut être aussi parfois de l'exagération. Il y a peut être aussi certaines femmes qui sont mal dans leur vie et qui, par l'effet d'entrainement MeToo, vont se "faire" un homme. Il y a peut être aussi un manque de sanctions appropriées à l'encontre des délations abusives."
Message du 20 juillet 2023 14h52. Mais peut-être qu'en effet il faut que j'apprenne à lire.
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Deux filles et je leur dis de se méfier des pères la morale, de ne jamais trouver normal des situations qui ne le sont pas et des effets de groupe, j'ai pas bon ?Le sujet ne vous intéresse pas, dixit Frisette, mais vous passez un temps pas possible à nous montrer à quel point ce genre de discussion vous fragilise. Tout cela m'amène à vous poser deux questions : avez-vous des filles ? Si oui, comment abordez-vous le sujet avec elles ?
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C'est quoi le rapport avec la choucroute ? Tu pars d'un constat pour dénigrer 100% d'une catégorie de population en raison de leur sexe réel ou perçu. Il me semble que cela pose un petit problème non (même si Charles a modéré par la suite) ? Dans ce cas ce n'est pas valide ?
J'attends ta démonstration pour expliquer les 10 % de la population française victime d'inceste...12 millions d'habitants en IDF, 50% de femmes sout 6 millions.La tranche 15-60 fait 4 millions environ.
En supposant qu'un homme emmerde une femme différente par jour et jamais deux fois la même, il suffit de 11 000 hommes environ pour que 100% de la population féminine subisse un harcèlement sur 1 an.
11 000 soit 0,3% des 4 millions d'hommes de 15 à 60 présents en IDF.
Étonnamment généraliser en disant que 100% de la population masculine est constituée de prédateurs ne pose pas de problème à certains malgré ces ordres de grandeurs mais je ne suis pas surpris quand on voit la qualité des arguments sur des thématiques connexes (on peut mentir tant que la cause est juste n'est ce pas ?)
Marc
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A quel moment la présomption de culpabilité est devenue le standard ? Peux-tu nous expliquer comment cela se manifeste s'il-te-plaît ?Le problème n'est pas la masculinité (même si j'avoue aimer le BBQ) mais la présomption de culpabilité qui devient le standard.
Ralf
Parce qu'à l'heure actuelle, les viols et agressions sexuelles sont subis à 90% par des femmes et commises à 90% par des hommes.
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Ce qui n'est absolument pas original dans tes propos c'est qu'au lieu d'avoir un débat intéressant sur le sexisme en discutant des chiffres, de la réalité des situations, on se sert du mot malheureux d'Eric en début de conversation pour ressasser le "pas tous les hommes" et "il y a peut-être aussi des femmes qui veulent se faire un homme". C'est bon messieurs, on a compris votre propos répété pour la milliardième fois. On peut revenir au sujet ?
Je te cite Denis :
"Il y a peut être aussi parfois de l'exagération. Il y a peut être aussi certaines femmes qui sont mal dans leur vie et qui, par l'effet d'entrainement MeToo, vont se "faire" un homme. Il y a peut être aussi un manque de sanctions appropriées à l'encontre des délations abusives."
Message du 20 juillet 2023 14h52. Mais peut-être qu'en effet il faut que j'apprenne à lire.
Je te confirme que tu ne sais pas lire.
Il y a peut-être aussi... C'est pour tempérer le fait que tous les hommes seraient des prédateurs.
Or, toi tu écris : "Parce que vos poncifs : les femmes sont des menteuses, elles exagèrent, elles veulent se faire un homme, etc etc."
Il y a une grande différence entre les femmes exagèrent et il y a peut être aussi parfois de l'exagération.
Tu vois, prendre des bouts de phrase et les réécrire pour aller dans le sens que tu veux leur donner, c'est de la mauvaise foi.
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Le problème de tout débat contradictoire, c'est que trop souvent il peut être amené à croire que ceux qui ne pensent pas comme nous pensent mal et disent donc des sottises.Désolé si mes propos paraissent virulents mais c'est fatigant d'entendre toujours les mêmes sottises.
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A quel moment la présomption de culpabilité est devenue le standard ? Peux-tu nous expliquer comment cela se manifeste s'il-te-plaît ?Le problème n'est pas la masculinité (même si j'avoue aimer le BBQ) mais la présomption de culpabilité qui devient le standard.
Ralf
Parce qu'à l'heure actuelle, les viols et agressions sexuelles sont subis à 90% par des femmes et commises à 90% par des hommes.
J'en profite pour mettre une pièce dans le cochon en parlant des auteurs des viols et tentatives de viol. D'après une enquête de l'INED de 2016, 94000 femmes ont subi un viol ou une tentative de viol au cours de l'année. Dans 91% des cas, la victime connaissait son agresseur. Donc les violeurs, ce sont des hommes que nous croisons tous les jours. Le viol part un type fou dans une ruelle est un fantasme. Comment on change ça ? Par l'éducation, dès le plus jeune âge.
Et au passage, je tiens à remercier tout particulièrement Frisette, Denis et Ralf de démontrer à chacune de leur intervention que le chemin est encore long mais que nous nous sentirons tous mieux lorsqu'il aura été parcouru. Parce que vos poncifs : les femmes sont des menteuses, elles exagèrent, elles veulent se faire un homme, etc etc.
Le sujet ne vous intéresse pas, dixit Frisette, mais vous passez un temps pas possible à nous montrer à quel point ce genre de discussion vous fragilise. Tout cela m'amène à vous poser deux questions : avez-vous des filles ? Si oui, comment abordez-vous le sujet avec elles ?
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Sans rire nous avions un cas concret avec Anne et Pierre BoissonAllo, Lalou ?
Faut qu'on cause...
www.liberation.fr/li...
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Merci d'avoir fait ce travail Jean-Paul B.Par curiosité, je viens de jeter un oeil sur l'étude, via le lien dans l'article de Libé.
La conclusion est en fait la suivante :
- un consommateur est prêt à payer davantage s'il y a un nom, masculin ou féminin, de vigneron sur l'étiquette, plutôt qu'un sticker "Vignerons indépendants" ou un sticker "Féminin" sans nom de vigneron.
- selon le style de l'étiquette, un consommateur est prêt à payer davantage pour une vigneronne si l'étiquette est moderne, et pour un vigneron si l'étiquette est classique, le tout restant dans les marges d'incertitude statistiques.
Bref, circulez, y'a rien à voir, au-delà du jargon militant.
Chapeau au journaliste de Libé pour avoir construit son article sur une telle vacuité.
On aurait une rubrique "l'article ridicule du jour", ce serait un bon candidat.
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